samedi 4 juillet 2009

God Bless America!









J’aime ce pays. Depuis toujours, les États-Unis ont été à l’avant-garde pour véhiculer le message de la liberté et du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. Que leur gouvernement soit démocrate ou républicain, socialiste ou libertarien, ouvert aux droits des gays ou homophobe, pro-choix ou pro-vie, protectionniste ou libre-échangiste, etc., on ne peut pas enlever le fait que le pays en bas de nous est le chef de file de la liberté, de la justice et de la démocratie sur cette Terre.

Malgré le fait que les Américains aient connu deux administrations socialistes (
Franklin D. Roosevelt et Jimmy Carter) et trois autres administrations socialistes de suite (Bill Clinton, George W. Bush et Barack Obama), celles de Clinton et de Bush ayant déclenché la crise économique actuelle avec leurs politiques socialistes, ce peuple a toujours les enseignements des Lumières ancrés en lui. Les grandes manifestations des Tea Parties qui se sont déroulées en avril dernier en sont les exemples les plus patents. N’en déplaise aux idiots utiles anti-américains et anti-capitalistes de service, les volontés politiques ne sont pas nécessairement les volontés populaires!


Ce peuple en est un de bâtisseurs de symboles majestueux de la liberté, comme
la Cour suprême, le Capitole et la Maison Blanche (je ne compte pas la Statue de la Liberté, puisqu’elle a été donnée aux États-Unis par la France en 1886) et une séparation stricte des pouvoirs. Ce peuple a vaillamment combattu et contribué à éliminer le fascisme et le nazisme, libérant ainsi l’Europe et le monde de deux terribles fléaux. Plus tard, il a réussi à en faire autant avec le communisme, malgré la résurgence de cette idéologie meurtrière en Amérique du Sud. Aujourd’hui, il essaie de faire la même chose avec l’islamisme, une idéologie qui ressemble à tout point de vue au nazisme.


J’aime ce pays pour
la lucidité de ses Pères fondateurs et pour sa méfiance envers tout ce qui est étatiste. Barack Obama ne pourra pas changer cette mentalité ancrée dans la tête de son peuple, car, quand on a goûté à la liberté, au moins, une fois dans sa vie, c’est dur de s’en départir par la suite. Ce n’est pas pour rien que tous les pays de l’Europe de l’Est ont presque tous viré à droite aujourd’hui. Ils étaient nos ennemis. Ils sont maintenant nos alliés pour poursuivre le combat de la liberté et de la démocratie (États-Unis, Israël) contre la tyrannie et l’oppression qui menace la sécurité de ce monde, ainsi que nos libertés, les nôtres et celles de leur peuple (Iran, Syrie, Hamas, Hezbollah, Chine, Russie, Corée du Nord, Cuba, Venezuela).

L’Amérique que j’aime est l’Amérique
des Pères fondateurs et non pas l’Amérique qui perdure depuis 1913 et sûrement pas l’Amérique que nous pouvons voir depuis l’administration Clinton. J’espère qu’un président avec des convictions profondes lui fera retrouver un jour les racines lucides de ses Pères fondateurs et qu’elle continuera à veiller sur la liberté des peuples du monde.

Le monde a trop besoin d’une Amérique forte et qui sait où ce qu’elle s’en va, contrairement à ce qui semble se produire depuis quelques années.

This Land Is Your Land, comme le chantait
Bruce Springsteen et Pete Seeger! Les Américains les prennent encore aux mots aujourd’hui en voulant se réapproprier leur pays contre la dictature étatiste. Je n’ai pas de mots pour exprimer l’émotion que je ressens en constatant ce fait qui s’est révélé en avril dernier avec les grandes manifestations des Tea Parties.





This Land is Your Land





As I was walking that ribbon of highway,

I saw above me that endless skyway

I saw below me that golden valley

This land was made for you and me


This land is your land

This land is my land

From California to the New York island

From the red wood forest to the Gulf Stream waters

This land was made for you and me


I've roamed and rambled and I followed my footsteps

To the sparkling sands of her diamond deserts

And all around me a voice was sounding

This land was made for you and me


This land is your land

This land is my land

From California to the New York island

From the red wood forest to the Gulf Stream waters

This land was made for you and me


In the square of the city

In the shadow of the steeple,

By the relief office I saw my people

As they stood there hungry, I stood there whistling

This land was made for you and me


Was a big high wall there that tried to stop me,

Was a great big sign that said, Private Property

But on the other side, it didnt say nothing

That side was made for you and me


This land is your land

This land is my land

From California to the New York island

From the red wood forest to the Gulf Stream waters

This land was made for you and me


Nobody living can ever stop me,

As I go walking that freedom highway

Nobody living can ever make me turn back

This land was made for you and me


This land is your land

This land is my land

From California to the New York island

From the red wood forest to the Gulf Stream waters

This land was made for you and me




À toi, terre de la liberté et patrie des braves, bonne fête de l’Indépendance! Célèbre ta liberté que tu as acquise de notre envahisseur colonisateur britannique le 4 juillet 1776 par le sang de tes compatriotes et continue à veiller sur le monde pour que nos libertés ne soient jamais détruites!

Paix aux hommes de bonne volonté et merci pour tout ce que tu as fait pour nous dans l’Histoire de ce monde, Amérique!





Oh say, can you see by the dawn's early light
What so proudly we hailed at the twilight's last gleaming?
Whose broad stripes and bright stars, through the perilous fight,
O'er the ramparts we watched were so gallantly streaming?
And the rocket's red glare, the bombs bursting in air
Gave proof through the night that our flag was still there.
Oh, say does that star-spangled banner yet wave
O'er the land of the free and the home of the brave?

2 commentaires:

  1. "on ne peut pas enlever le fait que le pays en bas de nous est le chef de file de la liberté, de la justice et de la démocratie sur cette Terre."

    Ça, c'était avant que Barrack Obama ne vienne tout scrapper et courber l'échine devant les communistes et les islamo-fascistes en imputant directement la faute aux USA (de George W Bush s'empresserait de dire Normand Sphincter au 98,5FM).

    Et comme disait son pasteur d'église de la haine des blancs et des juifs, le révérand Jeremiah Wright: "It's not God Bless America, it's God damn America."

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  2. @ Tym.

    Ne m'en parlez pas!

    Non seulement, Obama a gardé et multiplié par 10 les bailouts de Bush, mais il n'a même pas les couilles d'appuyer le peuple iranien dans sa révolution légitime pour la liberté, la justice et la démocratie dans leur pays.

    Par contre, il se mêle bien du dossier du Honduras. Mais ça, Richard Têtu a bien pris soin de ne pas relever cette double mesure.

    Il ne faut pas chercher à comprendre.

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