dimanche 29 novembre 2009

Gilles Carle (1928-2009) : la triste fin d'un colosse affaibli, mais heureux!








Aujourd’hui, je suis en deuil, car, hier, un (autre) grand Québécois est mort : Gilles Carle! Il avait 81 ans.

Ce cinéaste utilisait souvent ses films pour nous raconter l’Humain, de même que notre Histoire. On n’a qu’à penser à Les Plouffe ou à Maria Chapdeleine. D’ailleurs, Stéphane Laporte résume bien, dans son dernier billet, toute la force de ce libre penseur. Oui, Gilles Carle était libre de toutes les contraintes que voulait lui imposer l’industrie cinématographique. Il a, sûrement, été le meilleur ambassadeur de ce que devrait être réellement l'art : libre de tout port d'attache, étatique ou non! J’ai vu Les Plouffe. Ce film résume à merveille le Québec d’avant la Révolution tranquille. Juste pour ce film qui a tant marqué le Québec, il a sa place parmi les plus grands et il restera à jamais dans notre mémoire collective!

Gilles Carle était, à l’instar d’un Pierre Falardeau, un féru d’Histoire, de notre Histoire et de l’Humain. Son long combat contre la maladie de Parkinson, qui l’a forcé à rester cloué sur un fauteuil roulant et qui l’a empêché de parler, pendant les dernières années de sa vie, a ému le Québec en entier. Je n’ai rien connu de l’époque glorieuse de Gilles Carle, le grand cinéaste qui représentait, presqu’à lui tout seul, le Québec au Festival de Cannes. Je n’ai connu qu’un Gilles Carle malade, affaibli et dépérit par la maladie, recevant les bons soins de sa conjointe, la chanteuse et actrice Chloé Sainte-Marie. Je n’ai connu qu’un Gilles Carle qui était le symbole pour la reconnaissance des aidants naturels, grâce au militantisme de Chloé Sainte-Marie pour cette cause.


Le député péquiste, Pierre Curzi, qui jouait le rôle de Napoléon, dans le film Les Plouffe, ne peut pas dire mieux, lorsqu’il dit ceci, à propos de Gilles Carle :






Il comprennait les rapports de création du cinéma et, comme c'était un joueur d'échecs, il savait mettre en place toutes les pièces de son jeu pour réussir à faire l'oeuvre qu'il avait en tête. C'était un homme attachant [...], il était perspicace et d'une grande intelligence. Même sa maladie aura enrichi le Québec d'une conscience aiguë de ce que cela peut être que d'être prisonnier d'un corps qui déraille!






Peu importe le Gilles Carle tristement malade que j’ai pu connaître, son oeuvre colossale parle d’elle-même. Gilles Carle est un grand Québécois qui a été l’un des pionniers de notre cinéma. Il était, en quelques sortes, le Maurice Richard du cinéma québécois. C’est lui qui a tracé la voie à suivre à des centaines d’autres cinéastes québécois pour donner une vie et une fortification des plus solides à notre cinéma. Sans Gilles Carle, plusieurs talents québécois seraient restés dans l’ombre et le cinéma québécois ne serait pas ce qu’il est, aujourd’hui. Il mérite amplement, donc, les funérailles nationales à lesquelles il aura, bientôt, droit.


Monsieur Carle, aujourd’hui, le Québec en entier pleure votre départ et il salut le grand Québécois engagé que vous étiez, en retraçant, ainsi, à merveille, notre Histoire dans vos films!

Salut à vous, l’historien!

Salut à vous, le cinéaste!

Salut à vous, l’artiste!

Salut à vous, le Québécois!

Pour vous rendre hommage, monsieur Carle, voici une chanson qui, grâce à votre film Les Plouffe, a marqué le Québec : Il était une fois des gens heureux!

Vous saluerez Pierre Falardeau au ciel.

jeudi 26 novembre 2009

Ô toi, mon pays qui se fait le complice de la fraude que constitue le réchauffement climatique...








…ce billet s’adresse à toi!


La fausseté n’a jamais empêché une vue de l’esprit de prospérer, quand elle est soutenue par l’idéologie et protégée par l’ignorance. L’erreur fuit les faits, lorsqu’elle satisfait un besoin.

- Jean-François Revel




Encore une fois, John-James Charogne nous prouve, par A + B, qu’il est complétement déconnecté de la réalité économique du Québec! Le Québec n’est pas exactement la région économique la plus prisée en Amérique du Nord, ni par les entrepreneurs, ni par les investisseurs. La liste des négatifs est longue : l’indice de liberté économique est le pire, les lois du travail augmentent la bourreaucratie déjà omniprésente et elles ont besoin d’un sérieux décrassage, le taux de syndicalisation est le plus élevé, les charges sociales sont, aussi, les plus élevées, les infrastructures sont d’une vieillesse lamentable et elles sont dans un état de décrépitude totale, le régime règlementaire est digne des économies communistes et il se détériore à vue d’oeil, les allégations de corruption fusent de toutes parts, etc.!

Pour Charogne, tout ceci n’est pas suffisant! Il faut ajouter, à cette longue liste de négatifs, celui d’un objectif de réduction des gaz à effet de serre le plus exigeant au monde. Maintenant, je comprends mieux pourquoi la Caisse de dépôt a été obligée de s’engager à nous voler encore plus de nos fonds de pension pour lui permettre d’investir au Québec, car personne d’autres ne voudra le faire!


De plus, Charogne est complétement
fou de s’acoquiner avec la secte environnementeuse pour nous téter des votes. Ou bien, il est un total imbécile qui ne s’informe pas! Ou bien, il se cache la vérité! Ou bien, il nous prend pour des valises!

D’abord, il y a eu
cette histoire complétement abracadabrante où on interdit la publication d’un rapport de l’EPA qui va au-delà des idées reçues en prouvant, statistiques à l’appui, les faits suivants :


1) L’Homme n’est sûrement pas à l’
origine du réchauffement climatique de la planète. Dans le passé, des périodes de refroidissement ont alterné avec d’autres périodes de réchauffement de l’atmosphère.


2) Les
graphiques montrent que la planète a, plutôt, tendance à se refroidir et que les émissions de CO2 n’ont strictement aucun impact sur la température globale.

3) Les
prévisions apocalyptiques des climatologues devraient être corrigées par les scientifiques. Il n’existe aucune preuve exacte qui devrait nous inciter à prendre des mesures coercitives contre le réchauffement de la planète.

Le
rapport suggère, également, une approche beaucoup plus scientifique des problèmes climatiques et il demande aux politiciens de laisser le climat à la science.

Ensuite, il y a eu
cette histoire complétement surréaliste où le directeur général de Greenpeace, Gerd Leipold, a admis, sur les ondes de la BBC, que son organisation manipule les faits pour empirer la situation.

Il a eu à défendre cette affirmation-là, lors d’une entrevue avec Stephen Sackur de la BBC, et son explication est assez troublante :




Leipold : We, as a pressure group, have to emotionalize issues, and we are not ashamed of emotionalizing issues. I think it is a fact.


Sackur : You call it emotionalizing ; others would call it scare tactics. Will you sit here now in all honesty and tell me you do not believe that the Greenland ice sheet is not going to melt by 2030?


Leipold : I don’t know, I don’t think it will be melting by 2030.

Sackur : So, in fact, would you say that it was a mistake for your organization to put that out?

Leipold : That may have been a mistake. I don’t know the specific press release. I don’t check every press release.



Ensuite, il y a eu ce que l’on peut, maintenant, appeler le Climategate.

La semaine passée,
un black hat a réussi à infiltrer les ordinateurs du Climate Research Unit (CRU), le Centre d’études climatologiques de référence du GIEC, qui est vertement critiqué par Vincent Courtillot dans ses vidéos pour son refus de communiquer ses données brutes, et dont son directeur, un certain Phil Jones, est soupçonné de fraude scientifique. Le black hat en question a réussit à mettre la main sur 72 documents et sur 1073 courriels.

Si les informations que contiennent ces documents et ces courriels sont
véridiques, nous sommes en présence de la plus grande fraude scientifique de toute l’Histoire de l’Humanité. Qui plus est, cette fraude scientifique, qui est la pire depuis celle de Trofim Denissovitch Lyssenko, entache, sérieusement, certaines personnes très influentes dans les milieux réchauffistes et dont les travaux sont à la base des rapports du GIEC.

Ce tableau Excel, que des internautes se sont empressés de publier sur Google docs, montre les sommes considérables que Jones a collectées, depuis les années 1990. Imaginez! Plus de 13 millions de livres sterling, au total!

Voici des extraits intéressants qui ont été cités par
Watts, Motls, The Examiner, et bien d'autres et qui ont été traduits par «domip» sur lepost.fr :






From : Phil Jones


Subject : Diagram for WMO Statement

Date : Tue, 16 Nov 1999 13:31:15 +0000



Dear Ray, Mike and Malcolm,

Once Tim's got a diagram here, we'll send that either later today or first thing tomorrow. I've just completed Mike's Nature trick of adding in the real temps to each series for the last 20 years (i.e. from 1981 onwards) and from 1961 for Keith's to hide the decline. Mike's series got the annual land and marine values, while the other two got April-Sept for NH land N of 20N. The latter two are real for 1999, while the estimate for 1999 for NH combined is +0.44C wrt 61-90. The Global estimate for 1999 with data through Oct is +0.35C cf. 0.57 for 1998. Thanks for the comments, Ray!


Cheers

Phil



Prof. Phil Jones
Climatic Research Unit, Telephone + 44 (0) 1603 592090

School of Environmental Sciences, Fax + 44 (0) 1603 507784


NR4 7TJ

UK

(...)

Je viens de terminer d'utiliser l'
astuce «Nature» (ndt : la revue scientifique) de Mike (ndt : Michael Mann??) qui consiste à incorporer les vraies températures à chaque série, depuis les 20 dernières années (çad, depuis 1981) et depuis 1961 pour celles de Keith (ndt : probalement Keith Briffa), afin de masquer le déclin.






À noter que le déclin dont il est question ici est, probablement, celui des températures! Par contre, Phil Jones affirme que ce n'est sûrement pas cela, mais qu'il ne se souvient plus de quoi il parlait à l'époque, ce qui n'a rien d'étonnant, d'ailleurs. L'astuce «Nature» est décrite ici par Stephen McIntyre, un statisticien de formation.






D'autres font part de leurs propres doutes quant à la réalité du réchauffement :

The fact is that we can’t account for the lack of warming at the moment and it is a travesty that we can’t. The CERES data published in the August BAMS 09 supplement on 2008 shows there should be even more warming, but the data are surely wrong. Our observing system is inadequate.

Le fait est que nous ne savons pas expliquer l'absence de réchauffement, actuellement, et c'est ridicule. Les données du CERES publiées dans le supplément d'août BAMS 09 en 2008 montre qu'il devrait y avoir encore plus de réchauffement, mais les données sont certainement fausses. Notre système d'observation est déficient.

D'autres évoquent la suppression de preuves, au moment de l'affaire du Freedom of Information Act qui exigeait que leurs données brutes et leurs algorithmes soient révélés :


Can you delete any emails you may have had with Keith re AR4? Keith will do likewise. He’s not in at the moment, minor family crisis. Can you, also, email Gene and get him to do the same? I don’t have his new email address. We will be getting Caspar to do likewise.

Peux-tu effacer tous les emails que tu as échangés avec Keith re AR4? Keith fera pareil. Peux-tu, également, écrire à Gene (note de JLP : ?????) et lui dire de faire de même? On va demander à Caspar (note de JLP : ????) de faire pareil.


Ici est évoquée la tentative de masquer la période de l'Optimum Médiéval (une période médiévale pendant laquelle il faisait plus chaud qu'actuellement) :

I think that trying to adopt a timeframe of 2K, rather than the usual 1K, addresses a good earlier point that Peck made w/ regard to the memo, that it would be nice to try to “contain” the putative “MWP”.

Je pense que le fait d'utiliser une période de 2000 ans, plutôt que 1000 ans, répond au problème soulevé précédemment par Peck (note de JLP : ????), par rapport au mémo, et que ce serait bien pour essayer de "contenir" le soi-disant "OM" (ndt : Optimum Médiéval).


On y apprend, également, les pressions exercées sur les revues scientifiques, afin que les études réfutant le réchauffement climatique ne soient pas publiées :

I think we have to stop considering «Climate Research» as a legitimate peer-reviewed journal. Perhaps we should encourage our colleagues in the climate research community to no longer submit to, or cite papers in, this journal? We would, also, need to consider what we tell or request of our more reasonable colleagues, who currently sit on the editorial board. What do others think?

Je pense qu'il va falloir cesser de considérer «Climate Research» comme une revue à comité de lecture légitime. Peut-être devrions-nous encourager nos collègues de la communauté de la recherche climatique de ne plus soumettre d'article à ce journal, ni citer d'articles de ce journal? Nous devrions, aussi, penser à en parler à nos collègues plus raisonnables qui siègent au comité éditorial. Qu'en pensez-vous?





Si tout ceci est authentifié, et même Real Climate semble le reconnaître, tout en minimisant maladroitement, bien sûr, le contenu de ces messages, c'est un gigantesque Climategate qui se profile, ainsi, à l’horizon. Les protagonistes avouent, sans ambage, dans leurs échanges, qu'ils «retravaillent» les données pour les faire coller à leurs hypothèses et ils recommandent même la destruction de documents, alors qu'ils sont sous le coup d'une investigation au titre du «Freedom of Information Act» du Royaume-Uni, ce qui est illégal et qui tend à indiquer qu'il y aurait quelque chose à cacher.

Rappelons que les données de températures du présent et du passé fournies par le CRU, qui, je vous le rappelle, refuse de communiquer ses données brutes, sont réutilisées par des milliers de scientifiques dans le monde, dans des travaux qui étudient la
relation entre les températures et toutes sortes de phénomènes géologiques, zoologiques, historiques, etc.!

Une fraude aussi importante sur les données de températures récentes obligerait des centaines d'
équipes de travail dans le monde à reprendre les résultats de leurs recherches. Les dégâts de cette possible fraude dépasseraient sans doute le cadre des changements climatiques. Les coupables de telles manipulations doivent être arrêtés et jugés.

Source :
Objectif Liberté


Complément d’informations





De plus,
Antagoniste.net nous informe que les programmes informatiques du CRU ont, aussi, été piratés et que ces programmes informatiques soutiennent le modèle qui a été utilisé par les chercheurs pour prouver leur théorie. Des programmes indépendants ont commencé à analyser ces dits programmes et ils ont découvert qu’ils étaient truffés d’erreurs et d’astuces visant à manipuler les résultats générés par le modèle. Comme si ce n’était pas assez, le très prestigieux magasine Science affirme que les chercheurs du CRU pourraient avoir commis un acte criminel, en tentant de supprimer des données qui étaient visées par la Loi sur l’accès à l’information.

Pas de dangers que
Radio-Poubelle-Cadenas nous parle de ça, n’est-ce pas? En lieu et place de nous donner une information pertinente sur le Climategate, on nous informe, plutôt, que Al Gore n'est pas content que Stephen Harper laisse l’Alberta développer les ressources naturelles qu'elle a sur son territoire en paix. En plus, on continue de faire peur aux matantes sur cette fraude abominable, tout en cassant, comme d’habitude, du Stephen Harper.


Allô,
crédibilité journalistique! Où es-tu?


Vive le Québec, s’tie!

Je crois que, avec cette histoire,
la Conférence de Copenhague qui aura lieu au mois de décembre est morte-née. D’ailleurs, c’est une très bonne chose et je remercie même le black hat, car il a rendu un fier service à la science, en démasquant les fraudeurs du réchauffisme. Aujourd’hui, les masques tombent et ce qu’il y avait derrière eux est très laid. Tout ceci n’aurait jamais pu être possible, sans son aide!

Si vous saviez combien j’en ai vraiment plus qu’assez de
débattre sur un mythe comme le réchauffement climatique et, en plus, avec des fraudeurs, semble-t-il! L’environnementerie, c’est vraiment une secte! Tout ce que je souhaite, c’est que Stephen Harper fasse dérailler toute entente à Copenhague. Les environnementeurs ne méritent que ça, pour nous avoir mené en bateau, et ce, depuis des décennies.

Il n’y en a pas de problèmes avec le climat de notre planète qui n’a jamais été
fixe. Il est cyclique et il change continuellement, et ce, depuis des milliards d’années. De plus, depuis quelques centaines de millions d’années, les ères glaciaires sont fréquentes et elles sont même plus longues que les périodes interglaciaires, dans laquelle nous nous trouvons depuis, seulement, 11 400 ans, ce qui est, tout à fait, normal. Rentrez-vous ça dans la caboche, une bonne fois pour toute, les réchauffistes!

Il faut se fier sur des FAITS et non pas sur des opinions de
hippies environnementeurs en manque de combat à mener, qui n’ont aucune connaissance scientifique et qui se fient, uniquement, sur les discours de Al Gore et Internet comme référence. Un moment donné, il faut apprendre à penser par soi-même et à aller contre-vérifier par nous-mêmes ce que nous disent les médias!

D’ailleurs, pour moi, ce n’est pas vraiment une
surprise, puisque je savais déjà que le réchauffement climatique causé par l’Homme est un mythe que même Patrick Moore, fondateur de Greenpeace, dénonce aujourd’hui comme étant une idéologie anti-humaine. En fait, nous voguons sur un plateau depuis 1998, l’année la plus chaude jamais enregistrée, et ça, c’est la réalité.

En fait, on n’a pas la moindre preuve que la hausse du
taux de CO2 de quelques parties par millions est la cause des changements climatiques du siècle dernier. Par contre, on se rend compte en regardant les chiffres et les faits de façon rigoureuse que les catastrophistes/environnementeurs nous mentent en pleine face et qu’ils oublient énormément de faits. Par exemple, ils négligent de nous dire que le CO2 n’est pas un polluant, mais plutôt un gaz essentiel à la photosynthèse et au cycle même de la vie sur Terre. Si le CO2 devait être un polluant, tout le monde devrait cesser de respirer sur le champ, car lorsqu’on expire, on libère du CO2 et, donc, des gaz à effet de serre, dans l’atmosphère. On voit, maintenant, qui sont les vrais ennemis de la Terre. Les environnementeurs ne détruiront JAMAIS ma planète.


Par contre, si le réchauffement climatique est un mythe, le climat, lui, a, comme il le fait à chaque fois qu’une période interglaciaire se termine, changé de
cycle et nous sommes, maintenant, en période de REFROIDISSEMENT climatique et, d’ailleurs, pour la première fois en 250 ans, les glaciers s’étendent en Alaska.


Mais ça,
le charlatan qu’est Steven Guilbeaut, de même que sa secte, n’en parleront pas.


Bref, si Harper fait dérailler la
Conférence de Copenhague, il retrouve mon vote, et ce, peu importe toutes les conneries key-key-key-keynésiennes qu’il a pu faire, depuis le début de l’année. Pour moi, détruire la secte environnementeuse est quelque chose de 1 000 000 fois plus important que l’application du libéralisme économique intégral, et ce, même si je suis libertarien. Les environnementeurs sont une menace 1000 fois plus grande pour nos libertés que peut l’être l’État, car l’environnementerie emmène l’étatisme.

Si on écoutait parler les environnementeurs, ben, moi, je suis absolument convaincu que le
développement économique serait à zéro avec un taux de chômage absolument effarant, une inflation galopante, une bourreaucratie de plus en plus omniprésente, une dette de plus en plus incontrôlable et une socialisation de plus en plus constante de notre économie! C’est ça qui va nous arriver, si Harper ne met pas son poing sur la table et si il ne met pas un frein dans les desseins de cette secte.


Je veux que les environnementeurs paient pour leur
arnaque (je vous prépare une bonne série de billets sur ce sujet, bientôt) et pour le brainwashage anti-scientifiques et anti-humains qu’ils commettent depuis des décennies, et ce, peu importe qui les feront payer! D’ailleurs, je serais curieux de savoir ce que Patrick Moore, fondateur de Greenpeace (qu’il décrit lui-même comme étant la honte de sa vie) et écologiste lucide à l’esprit scientifique, pense de tout ça.

Pis quand je pense à l’annonce de John-James Charogne qui s’acoquine avec les environnementeurs et les
charlatans à la Steven Guilbeault pour nous téter des votes, j’ai envie de le…AAAAAAAAAAAAAARGH!!!!!!!!

Je suis dominé par la
rage, rien qu’à y penser!

Je vous dis, moi, que, si j'avais le temps et si j’avais plus de cash, je me monterais une gang pour aller tiré des
pierres à tous ces fraudeurs de hippies de Greenpeace, à tous ces médias biaisés et complices et à tous ces quêteux de subventions pour la recherche dans le Nord à Copenhague pour nous avoir monté la plus grande fraude scientifique depuis Lyssenko.


Pas des
roches, là!


DES PIERRES, OSTIE!!!!


Quand tu es journaliste ou scientifique, tu n’as pas le droit de dire, de faire et/ou d’appuyer des
niaiseries.

mardi 24 novembre 2009

Le sanglot de l'idéologie censurée et un autre chapitre dans le fameux dossier de la corruption








Publié le 23 novembre 2009 à 06h42 Mis à jour à 06h44
L'impossible droite

Mario Roy




En mars 2007, l'Action démocratique du Québec a fait élire 41 députés, en récoltant près du tiers des votes. On a vu les réactions : l'ADQ «exploite le même filon de l'intolérance que le Front national en France», «les réacs ont la cote» et un «lot de valeurs xénophobes, homophobes et démagogues»! Enfin, la plus succincte et accablante condamnation : «Montée de la droite!»!

Car, ce seul mot, la «droite», se suffit à lui-même! Il est à ce point
péjoratif, si clairement identifié au Mal (avec une majuscule), qu'il est inutile d'y ajouter quoi que ce soit, si le but est de pourfendre ou d’insulter.

Ce
déchaînement d'animosité, presque unanime, à en croire les médias, était, évidemment, une sorte de déni démocratique. Il a servi à enfermer, dans le cachot de la honte, ce pauvre peuple qui, à la hauteur de 31%, n'avait pas «voté du bon bord». Il a servi à condamner ces «citoyens mis à l'écart, parce qu'ils ne sont pas de gauche ou parce qu'ils ne font pas semblant de l'être» (Être de droite : un tabou français, de Éric Brunet).


Mais, il s'agissait d'autre chose, aussi, soulevant plus d'
inquiétude à long terme : à savoir qu'un parti de droite ne peut pas avoir de légitimité intellectuelle et médiatique, au Québec! Même si il est populaire! Même si il ne s'écarte que d'un malheureux millimètre de la zone du centre, à partir de laquelle tous les partis gouvernent, car on sait que la droite québécoise est, selon les critères européens ou américains, extraordinairement modérée! Elle n'est, ni religieuse, ni morale, et, en économie, elle reste «middle of the road», comme disent les Slovaques.


C'est d'autant plus remarquable que s'
excentrer, même de façon assez considérable, est fort bien vu à gauche. Québec solidaire, dont le statut intellectuel et médiatique est enviable, est là pour le prouver.

* * *

Depuis ce temps, avec le
déclin (rapide) et la chute (pathétique) de l'empire adéquiste, l'infirmité politique de la droite s'est montrée sous un autre jour, encore plus accablant.


On dirait qu'au Québec, les partis situés de ce côté-là de
l'échiquier politique finissent, invariablement, par s'autodétruire. Souvenons-nous de l'agonie de l'Union nationale! Triste et interminable! Ou de toutes les déclinaisons du créditisme, qui auront, au moins, eu le mérite de nous divertir, pendant des décennies!

S'inscrivant, plus ou moins, dans cette continuité, c'est, aujourd'hui, le nouveau chef adéquiste,
Gérard Deltell, qui, pour employer l'image devenue iconique, a les deux mains sur un volant…privé de roues, de carrosserie, de banquettes et de moteur!

Il serait étonnant que ce véhicule, qu'on
rafistolera vraisemblablement avec de la broche, parvienne à renverser l'Histoire de la droite québécoise.







Non mais, c’est vraiment incroyable, ça, c'est rendu que même la
police la demande, cette calice de Commission d’enquête-là, et John-James Charogne ne veut toujours rien savoir! Ça vous dis-tu combien le PGCSDLCUL est croche en christie, ça, hein? Le seul moyen que je vois pour qu’on l’aie, cette Commission d’enquête-là, c'est de faire un recours collectif auprès de la Cour suprême pour obliger Charogne d’agir comme un premier ministre responsable. Je ne peux pas croire que l’on va être obligé d’aller jusque-là. Nos dirigeants n'écoutent même plus la populace, c'est pour vous dire combien Charogne se contre-calice éperdumment bien de nous-autres!!!


C'est évident qu'il désire se rendre jusqu’aux vacances de
Noël, le tout en espérant très fort que la population aura tout oublié, quand l’Assemblée nationale reprendra ses travaux en février. Charogne prouve, une fois de plus, qu’il est responsable de la démobilisation constante des électeurs(trices), en cultivant, ainsi, le cynisme de la population et la corruption de son gouvernement. Bref, une fois de plus, John-James Charogne met en péril notre démocratie. Il n’est, ni plus, ni moins, qu’un danger pour la démocratie. Mais, cette fois-ci, si il pense s’en tirer à si bon compte, il se trompe royalement! En fait, pour lui, la fête ne fait que commencer! Tiens-toi le bien pour dit, mon p’tit mouton frisé, toi, là!

En tout cas, moi, de par leur
refus de vouloir faire toute la lumière sur tout ça, mon idée est faite sur la gang de véreux de Charogne. Peu importe ce que vous me direz pour me convaincre du contraire, je suis convaincu qu'ils trempent, du premier jusqu’au dernier, dans la collusion et dans la corruption jusqu’au cou et qu'ils ont vendu le Québec à la mafia. J'en suis convaincu! Je n’ai jamais voté libéral, ni au fédéral, ni au provincial, et ce n’est pas avec ça que je vais commencer. Bien au contraire, ça va prendre bien des années, avant que je commence à voter pour cette espèce de pomme pourrie remplie de vers de terre qu’est le PGCSDLCUL!

Autres nouvelles en vrac




Pour les deux ou trois fans des CHaudrons de Mouyial qui existent encore, au Québec, et que ça pourrait intéresser : Guillaume Latendresse s’en va, maintenant, se traîner les pieds au Minnesota!


Je vais brailler là-dessus, tout comme je vais sûrement brailler sur le fait que
le RMQ ait fermé sa permanence à Québec. Snif!