dimanche 12 juillet 2009

Le vrai Gilles Taillon (8e partie) : une équipe plus soi-disant libérale qu'adéquiste dirigée par un ami personnel de John-James Charogne!






Gilles Taillon en a surpris plusieurs en se lançant dans la course à la chefferie de l’Action démocratique du Québec. Dans les médias et sur le Plateau, il passe pour un pur produit du privé et pour un réactionnaire d’extrême-droite qui va complètement démanteler notre merveilleux système socialiste culbécois de bord en bord. Pour nos amis adéquistes, il passe pour un réformateur qui va réduire la taille de l’État et réformer le modèle québécois.

Malheureusement pour eux, ces affirmations ne tiennent pas debout une seule seconde à l’analyse des faits. Durant les prochains jours, je vais vous montrer le vrai visage de l’ex-député adéquiste de Chauveau. Je vais vous montrer à quel point nos médias, le Plateau et les adéquistes se trompent éperdument sur son compte et qu’il n’est pas l’homme qu’ils s’imaginent connaître.

Avez-vous remarqué que les trois membres les plus en vue de l’équipe Taillon sont tous
des soi-disant libéraux dans l’âme, hein?


Gilles Taillon est, d’abord et avant tout, un fan et un ami personnel de
John-James Charogne, l’actuel ennemi no. 1 du Québec. En 1998, lorsque Charogne quitte la direction du Parti progressiste-conservateur du KKKanada pour prendre celle du Parti des guidounes charognardes soi-disant libérales du Culbec, Gilles Taillon est tenté de se présenter dans son équipe soi-disant libérale pour les élections de la même année. En 2003, Taillon «parle de «Jean» comme on parle d’un ami».

Du côté de
François Bonnardel, on peut littéralement dire qu’il couche avec le PGCSDLCUL. D’ailleurs, si on apprenait que sa relation avec Nathalie Normandeau date d’avant les élections du 8 décembre dernier, on comprendrait un peu mieux le fameux «mystère Granby».


Dans les plans de
Linda Lapointe, elle aurait été candidate soi-disant libérale dans le comté de Groulx pour les élections de 2007. Malheureusement pour elle, John-James Charogne avait encore confiance en Pierre Descoteaux, député soi-disant libéral sortant, malgré son coming-out souverainiste et la tentation que celui-ci avait eue de rejoindre le PQ avant la fin de son mandat de 2003-2007. Ses ambitions soi-disant libérales mises à terre, Linda Lapointe rencontre Mario Dumont une semaine avant le début de la campagne électorale et entame, alors, une conversion instantanée digne de Paul sur le chemin de Damas.

Conclusion :
La loyauté de l’équipe Taillon ne va pas à l’ADQ, mais bien au PGCSDLCUL. Ces gens seraient tous des soi-disant libéraux aujourd’hui, si le sort n’avait pas joué contre eux et qu’ils ne s’étaient pas ramassés à l’ADQ faute de mieux (Linda Lapointe), ou si ils avaient écouté leur instinct qui leur disait de se présenter pour le PGCSDLCUL (Gilles Taillon), ou si ils s’écoutaient pour aller rejoindre leur blonde de l’autre côté de l’Assemblée nationale (François Bonnardel)

Les convictions adéquistes de l’équipe Taillon sont interchangeables au fil du temps et de leur humeur. Bref, bravo à ces trois putes politiques-là pour leurs belles convictions coulées dans le béton! Plus girouettes que ça, vous mourez!

Source :
LBII.



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