jeudi 30 avril 2009

Le pool des séries 2008-2009 de la LNH : deuxième ronde

Les séries éliminatoires de la saison 2008-2009 de la Ligue nationale de hockey ont commencé hier. Votre blogueur préféré est un grand fan des séries de la LNH. L’an dernier, j’avais publié un pool des séries, soit les prédictions que j’aurais fait pour chacune des séries, si j’étais analyste sportif ou bien si j’étais gambler. Cette année, je récidive.

En première ronde, j’avais prédis que les Bruins de Boston élimineraient le Canadien de Montréal en 5 matchs. Ce fut plutôt en 4. Ma moyenne pour cette série est donc de 50%. Au moins, maintenant que le Canadien est éliminé, on va peut-être avoir droit à du vrai hockey.

J’avais aussi prédis que
les Rangers de New York élimineraient les Capitals de Washington en 7 matchs. Ce fut plutôt Washington en 7, ce qui me donne une moyenne de 50% pour cette série.

J’avais prédis que
les Devils du New Jersey l’emporteraient en 6 matchs contre les Hurricanes de la Caroline. Ce fut plutôt la Caroline en 7 matchs, ce qui me donne une moyenne de 0% pour cette série.

J’avais prédis une victoire
des Penguins de Pittsburgh en 6 matchs contre les Flyers de Philadelphie et c’est ce qui s’est produit, ce qui me donne une moyenne de 100% pour cette série.

J’avais prédis une victoire
des Sharks de San José en 7 matchs contre les Ducks d’Anaheim. Mais, encore une fois, les Sharks ont choké en séries, et ce, en 6 matchs, me donnant une moyenne de 0% pour cette série.

J’avais prédis un balayage en 4 matchs
des Red Wings de Détroit aux dépends des inexpérimentés Blue Jackets de Colombus et c’est ce qui s’est produit, ce qui me donne une moyenne de 100% pour cette série.

J’avais aussi prédis une victoire
des Blues de Saint-Louis en 6 matchs contre les Canucks de Vancouver. Tu parles, oui! Les Blues se sont plutôt fait laver en 4 matchs, me donnant une moyenne de 0% pour cette série.

Finalement, j’avais prédis une victoire
des Flames de Calgary en 7 matchs contre les Blackhawks de Chicago. Malheureusement, les Flames n’ont jamais réussi à se mettre en mode séries, se faisant plutôt battre en 6 matchs contre les Hawks, me donnant ainsi une moyenne de 0% pour cette série.

En tout, ma moyenne pour la première ronde est de 37,5%, ce qui n’est quand même pas si mal. Je tâcherai de faire mieux en deuxième ronde. D’ailleurs, voici tout de suite mes prédictions pour la deuxième ronde!




La Conférence de l’Est



Bruins de Boston contre Hurricanes de la Caroline


Cette fois-ci, les Canes devraient rencontrer leurs maîtres avec les Bruins de Boston. Le système de Claude Julien est idéal pour les séries et la profondeur de cette équipe viendra à bout de la troupe de Éric Staal et de Cam Ward. Je prévois donc une victoire de Boston en 6 matchs contre les étonnants Hurricanes.


Capitals de Washington contre Penguins de Pittsburgh


Alexander Ovechkin contre Sidney Crosby! C’est sûrement la série à ne pas manquer. Même si je prends pour Pittsburgh, je dois avouer qu’une équipe comme Washington qui réussi à surmonter un déficit de 1-3 dans une série contre les Blue Shirts peut aller loin et facilement mettre en échec la puissante machine d’attaque de Sid the Kid et compagnie, surtout avec un gardien en confiance comme Semen Varlamov. J’y vais donc avec la prédiction suivante : Washington en 7, puisque j’ai l’impression que l’on aura droit à une série serrée ici!



La Conférence de l’Ouest



Red Wings de Détroit contre Ducks d’Anaheim


Les champions en titre de la Coupe Stanley affrontent les champions d’il y a deux ans. Comme on a pu le voir en première ronde dans leur série contre San José, les Ducks regorgent de surprises et jouissent d’une très bonne machine de hockey, mais les vieilles jambes des Wings arrivent presque toujours à bien décoder la machine de leurs adversaires, sans parler des troisième et quatrième trios de cette équipe qui ont, contrairement à ceux du Canadien, du coeur au ventre. Ces deux trios-là donneront tout pour leur équipe, vous pouvez en être sûrs et certains. C’est pour ça que j’y vais avec la prédiction suivante : Détroit en 6!


Canucks de Vancouver contre Blackhawks de Chicago


Les Hawks m’ont beaucoup surpris en première ronde contre Calgary. Par contre, Vancouver devrait venir à bout de la troupe de Nikolai Khabibulin. Roberto Luongo a été formidable en première ronde et le fait qu'il ne soit pas dans les choix pour l’obtention du Trophée Vézina va sûrement lui donner une motivation supplémentaire pour montrer sa valeur à la Ligue nationale. Enfin, j’espère, car j’aimerais bien la présence d’un club canadien dans les finales d’associations! Bref, Vancouver en 6!


Et vous, quelles sont vos prédictions?

Plus ça change, plus c'est pareil!

Alors qu’aujourd’hui le 30 avril 2009, c’est le jour limite de l’impôt au Québec et au Canada, il est bon de se rappeller les paroles de Frédéric Bastiat sur le sujet, paroles qui sont toujours d’actualité aujourd’hui.






Ne vous est-il jamais arrivé d'entendre dire :

«L'impôt, c'est le meilleur placement ; c'est une rosée fécondante? Voyez combien de familles il fait vivre, et suivez, par la pensée, ses ricochets sur l'industrie : c'est l'infini, c'est la vie!».

Pour combattre cette doctrine, je suis obligé de reproduire la réfutation précédente. L'économie politique sait bien que ses arguments ne sont pas assez divertissants pour qu'on puisse dire : Repetita placent. Aussi, comme Basile, elle a arrangé le proverbe à son usage, bien convaincue que dans sa bouche, Repetita docent.

Les avantages que les fonctionnaires trouvent à émarger, c'est ce qu'on voit. Le bien qui en résulte pour leurs fournisseurs, c'est ce qu'on voit encore. Cela crève les yeux du corps.

Mais, le désavantage que les contribuables éprouvent à se libérer, c'est ce qu'on ne voit pas, et le dommage qui en résulte pour leurs fournisseurs, c'est ce qu'on ne voit pas davantage, bien que cela dû sauter aux yeux de l'esprit.

Quand un fonctionnaire dépense à son profit cent sous de plus, cela implique qu'un contribuable dépense à son profit cent sous de moins. Mais, la dépense du fonctionnaire se voit, parce qu'elle se fait ; tandis que celle du contribuable ne se voit pas, parce que, hélas, on l'empêche de se faire.

Vous comparez la nation à une terre desséchée et l'impôt à une pluie féconde. Soit! Mais, vous devriez vous demander aussi où sont les sources de cette pluie, et si ce n'est pas précisément l'impôt qui pompe l'humidité du sol et le dessèche.

Vous devriez vous demander encore s'il est possible que le sol reçoive autant de cette eau précieuse par la pluie qu'il en perd par l'évaporation.

Ce qu'il y a de très positif, c'est que, quand Jacques Bonhomme compte cent sous au percepteur, il ne reçoit rien en retour. Quand, ensuite, un fonctionnaire dépensant ces cent sous les rend à Jacques Bonhomme, c'est contre une valeur égale en blé ou en travail. Le résultat définitif est pour Jacques Bonhomme une perte de cinq francs.

Il est très vrai que souvent, le plus souvent si l'on veut, le fonctionnaire rend à Jacques Bonhomme un service équivalent. En ce cas, il n'y a pas perte de part ni d'autre, il n'y a qu'échange. Aussi, mon argumentation ne s'adresse-t-elle nullement aux fonctions utiles. Je dis ceci : si vous voulez une fonction, prouvez son utilité! Démontrez qu'elle vaut à Jacques Bonhomme, par les services qu'elle lui rend, l'équivalent de ce qu'elle lui coûte! Mais, abstraction faite de cette utilité intrinsèque, n'invoquez pas comme argument l'avantage qu'elle confère au fonctionnaire, à sa famille et à ses fournisseurs ; n'alléguez pas qu'elle favorise le travail!

Quand Jacques Bonhomme donne cent sous à un fonctionnaire contre un service réellement utile, c'est exactement comme quand il donne cent sous à un cordonnier contre une paire de souliers. Donnant donnant, partant quittes! Mais, quand Jacques Bonhomme livre cent sous à un fonctionnaire pour ne recevoir aucun service ou même pour recevoir des vexations, c'est comme s'il les livrait à un voleur. Il ne sert à rien de dire que le fonctionnaire dépensera ces cent sous au grand profit du travail national ; autant en eu fait le voleur ; autant en ferait Jacques Bonhomme s'il n'eu rencontré sur son chemin, ni le parasite extra-légal, ni le parasite légal.

Habituons-nous donc à ne pas juger des choses seulement par ce qu'on voit, mais encore par ce qu'on ne voit pas!

L'an passé, j'étais du Comité des finances, car, sous la Constituante, les membres de l'opposition n'étaient pas systématiquement exclus de toutes les Commissions ; en cela, la Constituante agissait sagement. Nous avons entendu monsieur Thiers dire : «J'ai passé ma vie à combattre les hommes du Parti légitimiste et du Parti prêtre. Depuis que le danger commun nous a rapproché, depuis que je les fréquente, que je les connais, que nous nous parlons cœur à cœur, je me suis aperçu que ce ne sont pas les monstres que je m'étais figurés.».

Oui, les défiances s'exagèrent, les haines s'exaltent entre les partis qui ne se mêlent pas ; et si la majorité laissait pénétrer dans le sein des Commissions quelques membres de la minorité, peut-être reconnaîtrait-on, de parts et d'autres, que les idées ne sont pas aussi éloignées et, surtout, les intentions aussi perverses qu'on le suppose.

Quoi qu'il en soit, l'an passé, j'étais du Comité des finances. Chaque fois qu'un de nos collègues parlait de fixer à un chiffre modéré le traitement du président de la République, des ministres, des ambassadeurs, on lui répondait :

«Pour le bien même du service, il faut entourer certaines fonctions d'éclat et de dignité. C'est le moyen d'y appeler les hommes de mérite. D'innombrables infortunes s'adressent au président de la République et ce serait le placer dans une position pénible que de le forcer à toujours refuser. Une certaine représentation dans les salons ministériels et diplomatiques est un des rouages des gouvernements constitutionnels, etc., etc.».

Quoique de tels arguments puissent être controversés, ils méritent certainement un sérieux examen. Ils sont fondés sur l'intérêt public, bien ou mal apprécié ; et, quant à moi, j'en fais plus de cas que beaucoup de nos Cantons, mus par un esprit étroit de lésinerie ou de jalousie.

Mais, ce qui révolte ma conscience d'économiste, ce qui me fait rougir pour la renommée intellectuelle de mon pays, c'est quand on en vient (ce à quoi on ne manque jamais) à cette banalité absurde, et toujours favorablement accueillie :

«D'ailleurs, le luxe des grands fonctionnaires encourage les arts, l'industrie, le travail. Le chef de l'État et ses ministres ne peuvent donner des festins et des soirées sans faire circuler la vie dans toutes les veines du corps social. Réduire leurs traitements, c'est affamer l'industrie parisienne et, par contrecoup, l'industrie nationale!»

De grâce messieurs, respectez au moins l'arithmétique et ne venez pas dire devant l'Assemblée nationale de France, de peur qu'à sa honte elle ne vous approuve, qu'une addition donne une somme différente, selon qu'on la fait de haut en bas ou de bas en haut!

Quoi! Je vais m'arranger avec un terrassier pour qu'il fasse une rigole dans mon champ, moyennant cent sous. Au moment de conclure, le percepteur me prend mes cent sous et les fait passer au ministre de l'Intérieur ; mon marché est rompu, mais monsieur le ministre ajoutera un plat de plus à son dîner. Sur quoi, vous osez affirmer que cette dépense officielle est un surcoût ajouté à l'industrie nationale! Ne comprenez-vous pas qu'il n'y a là qu'un simple déplacement de satisfaction et de travail? Un ministre a sa table mieux garnie, c'est vrai ; mais, un agriculteur a un champ moins bien desséché et c'est tout aussi vrai. Un traiteur parisien a gagné cent sous, je vous l'accorde ; mais, accordez-moi qu'un terrassier provincial a manqué de gagner cinq francs! Tout ce qu'on peut dire, c'est que le plat officiel et le traiteur satisfait, c'est ce qu'on voit ; le champ noyé et le terrassier désœuvré, c'est ce qu'on ne voit pas.

Bon Dieu! Que de peine à prouver en économie politique que deux et deux font quatre ; et, si vous y parvenez, on s'écrie : «C'est si clair que ça en est ennuyeux.». Puis on vote comme si vous n'aviez rien prouvé du tout.

mercredi 29 avril 2009

Fermeté devant les fanatiques musulmans et que Khadr soit livré aux Afghans!

Si il y a une chose d’utile que j’ai retenu de mes cours d’Enseignement religieux au secondaire, c’est dans le cours de secondaire 3 où la professeure nous avait fait visionner le film «Jamais sans ma fille», un chef d’œuvre basé sur une histoire vraie.

L’histoire est vécue et racontée par Betty Mahmoody, une Américaine mariée à un médecin iranien. Ils ont eu une fille ensemble. Quand cette fille a eu 5 ans, ils sont allés en vacances pour 15 jours en Iran pour que la famille du père puisse voir leur petite fille. C’était après l’exil
du Shah d’Iran et la Révolution islamique iranienne avec l’ayatollah Khomeiny.

HORREUR!

Le vrai visage de son mari est alors apparu. Alors qu’ils ne devaient passer que deux semaines en Iran pour rendre visite à la famille de cet homme, celui-ci devient rapidement aveuglé par sa famille
fanatique. Il est devenu violent, autoritaire et décidé à rester en Iran pour toujours et à ne plus retourner aux États-Unis. Gardée de force en Iran, passeport confisqué, Betty était considérée comme étant Iranienne dans ce pays par son mariage et sa fille aussi, vu qu’il était le père, même si les coutumes locales les choquaient et qu’elles ne voulaient que retourner aux États-Unis au plus vite. Cela lui a pris à peu près 2 ans et demi pour pouvoir regagner leur liberté avec l’aide de quelques rares personnes bien intentionnées là-bas, non sans avoir subit humiliation et violence physique chez la famille du père. Elles ont dû fuir par la Turquie au péril de leurs vies, à cause de la guerre Iran-Irak qui faisait rage à cette époque, et à regagner les États-Unis. Tout un périple! Je recommande ce film à tout le monde. Revenue aux États-Unis, cette femme est devenue journaliste et écrivaine et elle a écrit son histoire!

C’est une histoire vraie adaptée au cinéma en 1991 par
Brian Gilbert par l’intermédiaire du livre que Betty a écrit pour raconter son calvaire et le titre «Jamais sans ma fille» s’explique par le fait que plusieurs personnes lui avaient conseillé de quitter l’Iran sans sa fille, chose qu’elle a toujours refusé de faire.

Si je vous raconte ça, c’est parce que je revois ce film dans ma tête, dès qu’il est question dans les médias de
cette pauvre idiote qui est prisonnière de son trou de cul de mari en Arabie saoudite.

Jamais je ne comprendrai pourquoi des filles s’en vont marier des musulmans à tour de bras. Si elles savaient dans quoi elles s’embarquaient, les pauvres. C’est une vie d’enfer qu’elles signent en blanc à leur époux fanatique. Il est bien beau et bien fin au départ, comme le gars dans le film, mais quand il obtient ce qu’il veut, il vous montre son vrai visage. Cette pauvre idiote s’est laissée prendre à ce jeu stupide.

ON NE MARIE PAS UN MUSULMAN ET ON SE TIENT LOIN DE LA SECTE MUSULMANE ET DE CES PAYS DE FOUS-LÀ, IL ME SEMBLE QUE C’EST CLAIR!!!!!!!!!!!

Si cette p’tite dinde sort vivante de cette mésaventure, j’espère que ça lui servira de leçon, qu’elle se rappellera toujours de cette expérience et qu’elle ne recommencera pas.
La mère de Nathalie Morin peut bien mettre le gouvernement fédéral en demeure pour qu’il intervienne dans ce dossier, mais n’empêche que la condition des femmes en Arabie saoudite et dans les pays islamiques en général n’est pourtant un secret pour personne! Peut-être que Nathalie Morin aurait gagné à visionner «Jamais sans ma fille» au moins 3 ou 4 fois pour que ça lui rentre dans la caboche. Son cas est si similaire au film, que je me demande si Saeed Al-Sharhani n’a pas tout simplement copié le film. Qui a dit qu’un film ne pouvait pas transcender la réalité, hein?

Le gouvernement fédéral a beau faire des pressions sur le gouvernement saoudien, mais ce que fait Saeed Al-Sharhani ne va à l’encontre d’aucune loi saoudienne. Le gouvernement canadien ne peut pas dicter sa conduite au gouvernement saoudien, ni forcer le mari de les laisser partir et, considérant le fait que le gouvernement fédéral n’a pas encore réussi à sauver
Mohammed Kohail et son frère, Sultan, de la décapitation dans le même pays, je ne vois pas très bien ce que le Ministère des Affaires étrangères pourrait faire de plus, si Saeed Al-Sharhani ne veut pas entendre raison. Envoyer des troupes? Bien sûr que non!

Malheureusement, il y a une limite à ce que l’État peut faire pour protéger ses citoyens d’eux-mêmes, et ce, que ce soit à l’étranger ou en les empêchant de consommer de la drogue ou du tabac ou de l’alcool ou de la malbouffe, etc. Dans le film «Jamais sans ma fille», Betty Mahmoody a dû se démerder toute seule. Heureusement pour elle, elle a pu trouver des gens sympathiques qui l’ont aidé. Mais, même le gouvernement américain, le gouvernement le plus puissant du monde, ne pouvait pas l’aider, c’est pour tout dire.

ALLUMEZ LES FILLES!!!!!!!!

Si je vous parle de ça, c’est parce que nous, au Québec, on aime dorloter
les terroristes, ce qui est tout à fait normal quand on marche avec un drapeau du Hezbollah. Prenez le cas d’Omar Khadr, «le pôve petit enfant-soldat qui ne savait pas ce qu’il faisait en tuant l’infirmier de l’armée américaine en Afghanistan de sang froid»! Ben, je vais vous dire de quoi, moi : ça ne m’émeut pas!!!!! Moi, je ne veux pas de Khadr ici. C’est un terroriste qui n’a jamais vécu au Canada, qui a passé, lui et sa famille, le plus clair de son temps à cracher sur nos valeurs les plus fondamentales des droits de l’Homme, de la liberté, de l’égalité et de la démocratie et il veut maintenant jouir de ces valeurs qu’il n’a pas arrêter de dénigrer??????? La liberté, la démocratie, les droits de l’Homme et l’égalité pour lui et seulement quand ça fait son affaire, c’est ça, hein? Son père est un chum d’Oussama Ben Laden et il a envoyé son fils s’entraîner dans des camps d’Al-Qaida en Afghanistan. Il a tué l’infirmier de l’armée américaine en Afghanistan de sang froid en lui maudissant une grenade par la tête. Le cas de Khadr relève strictement de la police afghane, point à la ligne. Ce n’est pas le ressort du Canada.

Regardez qui il est, enfin!

Désolé, c’est en anglais, mais c’est quand même la vidéo que nos bons p’tits journalistes gau-gauchistes ne nous montreront jamais, parce que c’est plus payant de faire un martyr de ce p’tit con de terroriste-là!

Ras-le-bol de tous ces terroristes de merde qui crient «
Allah Akbar» et qui appellent au djihad contre tout ce qui est occidental et qui sont protégés par la gau-gauche naïve! Ce n’est pas parce que Khadr est né ici, que, seulement à cause de ça, il bénéficie de facto de la citoyenneté canadienne (la preuve que le Canada n’est qu’une passoire pour terroristes) et qui n’est revenu ici deux ou trois fois, seulement pour y faire soigner un mononcle ou une matante en profitant grassement de tous nos beaux programmes sociaux coûteux, qu’il est notre problème. Bien au contraire, son cas relève de la police afghane, rien de plus rien de moins. Qu’on le rende à la police afghane et qu’il soit jugé selon le Code criminel afghan, point à la ligne! Khadr n’est pas Canadien, en ce qui me concerne.

Pour ceux et celles qui disent que ça entache la réputation du Canada à l’étranger, ce qui est l’argument le plus mouton que j’entends dans ce dossier-là, je tiens à dire qu’on s’en sacre de ce qu’on pense de nous à l’international. C’est la gau-gauche qui nous sert toujours cette même putain de cassette-là seulement pour nous infantiliser à sa guise.
Stephen Harper tient son bout là-dedans et c’est tant mieux, ostie. Qu’il laisse Khadr aux Afghans et qu’ils se débrouillent avec lui! Sa soeur cachée derrière son torchon et qui se dit si fière de ce qu’il a accompli comme petit terroriste de Ben Laden ne viendra certainement pas brailler sur mon épaule. En passant, pour ceux et celles qui pensent toujours que Khadr est un enfant-soldat, je tiens à vous dire que les conventions sur les enfants-soldats ne s’appliquent que dans les cas où il est spécifiquement prouvé que les enfants ont été enrôlés de force. Or, ce n’est pas le cas de Khadr. Un enfant-soldat est kidnappé et enrôlé de force contre sa volonté. Or, Khadr était très conscient de ce qu’il faisait dans la vidéo de Dailymotion, vidéo que, bien sûr, nos bons p’tits journalistes partiaux envers la gau-gauche ne nous ont pas montré, car ils préfèrent faire un martyr de ce p’tit terroriste à la con.

De toute façon, les journalistes ont toujours été à la solde de la gau-gauche et ils ont le tour pour faire passer des messages subliminaux. Le meilleur exemple est Marc Godbout de
Radio-Poubelle-Cadenas qui a toujours l’air choqué, dès qu’il parle des conservateurs, mais qui a les yeux brillants, dès qu’il parle des libéraux. Je n’ai jamais vu un journaliste aussi biaisé que lui qui se trahit par son simple regard, c’est fou, hein? Comme si le fait que le gouvernement Harper soit conservateur est la nouvelle de l’année. Je suis tellement écoeuré de les voir pourchassé Harper pour le faire plier sur le dossier du terroriste Khadr. Il est seulement né ici. Il n’a pas vécu ici et il a craché sur nous et sur nos valeurs pendant toute sa vie. Donc, Khadr n’est pas Canadien. Tout ce qu’il a pour être Canadien, c’est sa citoyenneté canadienne qu’on lui a donné par CAPITULATION, seulement parce qu’il est né ici. Ses parents ne sont même pas Canadiens et ils ont profité grassement de tous nos beaux programmes sociaux coûteux. Ils ne sont pas Canadiens et lui non plus, d’ailleurs. Qu’on le livre pieds et poings liés à la police afghane, là où est sa place! Sa place n’est pas au Canada, point à la ligne. Si les Autorités canadiennes s’étaient tenues debout face aux parents intégristes de cet intégriste meurtrier aussi, ce p’tit con de terroriste-là ne serait pas notre problème.

Derteil Zeit Berliner et le Brouilleur d’ondes ont soulevé chacun un autre point intéressant sur leur blogue respectif et je dois dire que je suis d’accord avec eux.

Si on le rapatrie au Canada, notre bon système judiciaire dur comme du jello va écouter les soi-disant libéraux,
l’inutile Mal de Bloc et son clown de chef et les pleurnichards et encore plus centralisateurs néo-médiocrates et balancer Khadr dans le Tribunal de la jeunesse où il pourrait être condamné à (mon Dieu!) faire deux semaines de travaux communautaires ou à faire des conférences dans des écoles secondaires pendant six mois ou, au pire, à purger deux ou trois ans moins un jour de prison avec possibilité de libération conditionnelle au tiers de la peine. Pour meurtre, espionnage, conspiration, trahison et terrorisme???? Pourtant, le monde a été beaucoup moins clément avec un criminel comme George W. Bush, et ce, même si l’ex-président américain n’a jamais eu droit à un procès que nos chers gau-gauchistes exigent pour Omar Khadr. Par contre, pour Bush, ces mêmes gau-gauchistes se sont fait jury, juges et bourreaux. Absolument deux poids, deux mesures!

Et puis,
c’est prouvé qu’il n’y aurait aucune accusation contre Khadr, si il était rapatrié au Canada. J’ai même fait par exprès de prendre une source communiste, afin que mes «amis» communistes du Reactionism Watch comprennent bien la situation. Moi, les sanglots de Khadr ne m’empêcheront pas de dormir, parce que c’est un terroriste qui ne sera jamais jugé au Canada. Par contre, si on veut être cohérent dans notre condamnation de la prison de Guantanamo, on doit le remettre à la police afghane. Il ne doit pas venir au Canada et il faut le sortir de Guantanamo qui sera (enfin!) fermée bientôt par le président Barack Obama, alors donnons-le à la police afghane! Il faut se tenir debout de façon ferme devant les fanatiques musulmans qui ne veulent que renverser l’ONU et établir leur gouvernement mondial pur et dur basé sur la charia.

Si on avait plutôt le cas d’un jeune Juif de 14 ans né au Canada, mais qui n’y a jamais vécu (comme Khadr, dans le fond), et qui aurait tué un soldat palestinien, je peux gager 1000$ avec vous que l’opinion publique s’en contre-calicerait. En fait, ce jeune Juif n’aurait tout simplement pas droit au 1/5 de tous les égards auxquels a droit le terroriste Khadr.

Le monde me met en crisse et le dossier Khadr me donne envie de hurler ma rage. On a vraiment une société de crétins rongés. Par-dessus le marché, quand je pense
au cas de cette fillette qui a gagné en cour contre son père, parce qu’il a OSÉ la priver de sortie scolaire, je me dis que notre société s’en va tout droit dans le mur et ça ne me donne pas le goût pantoute d’avoir des enfants.

En fait, je me sentirais tout simplement lâche de mettre au monde un enfant par pur égoïsme de me bâtir une descendance dans une société qui reconnait des droits à un p’tit salaud de terroriste, parce qu’il est jeune. Quand tu abjures la société, la société ne te dois plus rien.

dimanche 26 avril 2009

Le bout de la marde

Si je vous parle du projet de loi C-268, vous allez forcément me dire : «Mais, de quoi tu parles, JLP?».

Il s'agit d'une
Loi modifiant le Code criminel pour obtenir une peine minimale pour les infractions de traite de personnes âgées de moins de 18 ans. Ce texte modifie le Code criminel, afin de prévoir une peine d'emprisonnement minimale de 5 ans pour l'infraction de traite de personnes âgées de moins de 18 ans.

Voici un extrait de ce projet de loi :



279.011 (1) Quiconque recrute, transporte, transfère, reçoit, détient, cache ou héberge une personne âgée de moins de dix-huit ans, ou exerce un contrôle, une direction ou une influence sur les mouvements d'une telle personne, en vue de l'exploiter ou de faciliter son exploitation commet une infraction passible, sur déclaration de culpabilité par voie de mise en accusation :

a) d'un emprisonnement à perpétuité, s'il enlève la personne, se livre à des voies de fait graves ou une agression sexuelle grave sur elle ou cause sa mort lors de la perpétration de l'infraction ;

b) d'un emprisonnement de cinq à quatorze ans, dans les autres cas.



Plus clairement, le gouvernement conservateur de Stephen Harper a proposé (enfin!) de durcir les lois pour les criminels qui s'attaquent aux enfants par séquestration, enlèvement ou pour en faire le trafic, mettant ainsi fin aux sentences-bonbons dans ce genre de crimes. En lisant ce projet de loi, l’Affaire Cédrika Provencher me revient immédiatement en tête, car il combat l’exploitation sexuelle des enfants, une forme pure de trafic humain. Qui est pour le trafic humain? J'imagine que je ne suis pas le seul à m’indigner face à ce genre de crimes. Ça fait des années que j’écoute les lignes ouvertes à la radio et deux ans que je lis les blogues et je dois dire que les sentences-bonbons dans ce genre de crimes font hérisser les poils de bien du monde, les miens en premier. Je ne peux que saluer ce projet de loi conservateur qui a été adopté le 22 avril dernier en deuxième lecture à la Chambre des Communes par 232 voix contre 47.

Mais, par contre, il y a une crosse et toute une à part de ça. Les 47 députés qui ont voté contre le projet de loi sont TOUS des députés de…
l’inutile Mal de Bloc culbécois. Alors que les soi-disant libéraux et les néo-médiocrates, de même que les 2 députés indépendants, ont convenu du bien-fondé de mieux protéger nos enfants en votant avec les conservateurs là-dessus, le caucus de Ti-Gilles le clown a refusé d’emboîter le pas dans cette révolution du gros bon sens que n’importe quelle personne normalement constituée ayant des enfants appuierait sans broncher. Je n’en reviens pas. Ça me dépasse totalement. Ti-Gilles le clown et sa bande de BS corporatifs, si ils ont des enfants, devraient se les faire littéralement et immédiatement enlever. Ils ne méritent pas d’avoir la garde de jeunes enfants, ils en sont INDIGNES.

Mais, il y a 49 députés bloquistes à Ottawa. Pour arriver au chiffre 47, il faut donc en soustraire 2.

D'abord,
Gérard Asselin était absent pour ce vote. Par contre, il était en Chambre pour le vote précédent sur le projet de loi C-268, de même que pour le vote suivant. Quel malaise a donc bien pu avoir le député de Manicouagan pour l'empêcher d’aller voter sur le projet de loi C-268, hein? Tout porte à croire qu'il se serait abstenu de voter pour ne pas offusquer son Grand Timonier, oups, son chef.

Ensuite, la députée d’Ahuntsic, Maria Mourani, a carrément voté pour le projet de loi. La porte-parole adjointe bloquiste en matière de Sécurité publique, qui est également l'auteure d'un ouvrage sur le phénomène des gangs de rue, est certainement la mieux outillée dans le caucus bloquiste pour comprendre les rouages de cette question et c'est probablement ce qui l'a amené à faire bande à part. Je ne peux que l’applaudir des deux mains et elle, elle mérite mon plus profond respect là-dessus, de même que monsieur Asselin.

Par contre, maintenant qu’ils ont affiché leur divergence avec Ti-Gilles le clown sur un dossier, c’est tout juste si leur vie n’est pas menacée dans l’inutile Mal de Bloc culbécois. Je vous le dis, mais vous ne me croyez pas : il y a de la graine de dictateur sanguinaire dans cet homme-là. Un Québec dirigé par Ti-Gilles le clown, je n’en veux pas pour tout l’or du monde.

Ti-Gilles le clown aime fréquemment se draper dans le linceul des valeurs québécoises. Sa campagne électorale
haineuse, démagogique, anti-Alberta et anti-américaine (donc, raciste) de l’automne dernier, tout ça au nom des sempiternelles valeurs québécoises qu’il n’a jamais clairement définit, est là pour le prouver. J'aimerais donc qu'il m'explique en quoi mieux protéger nos enfants contre la criminalité va à l'encontre de ces valeurs. De plus, comment se fait-il que les seuls médias qui abordent ce sujet soient le Winnipeg Free Press et le FM 93,3, hein?

Sylvain Bouchard a fait une entrevue avec le député conservateur de Charlesbourg-Haute-Saint-Charles, Daniel Petit, là-dessus. Monsieur Petit a dit que le Bloc a mis tout son poids parlementaire pour barrer la route aux conservateurs sur ce projet de loi-là. Ce faisant, il a agit à l’encontre des familles québécoises et canadiennes. Le Bloc se justifie en disant que les peines minimums obligatoires iraient à l’encontre du fait que le juge ne pourrait pas juger le criminel au cas par cas.

Quel argument bidon, je n’ai jamais vu ça!

C’EST EXACTEMENT CE QU’IL FALLAIT FAIRE DEPUIS LONGTEMPS : ENLEVER LA DISCRÉTION AU JUGE POUR PROTÉGER NOS ENFANTS PAR L’INTERMÉDIAIRE D’UN SIGNAL DE LA SOCIÉTÉ, BON!!!!!!

Les médias gau-gauchistes de Mouyial n’en ont pas parlé, parce qu’ils ne voulaient pas mettre le Bloc dans la marde et leur faire perdre des votes dans cette île de Gilligan. Les journaleux n’ont pas fait leur job pour dénoncer le fait que le Bloc n’a pas agit en père de famille, afin de le protéger contre le ras-le-bol populaire. Honteux! Scandaleux! Dégueulasse! Idéologie étroite! Mais, le Bloc ne perdra aucun vote à Mouyial et au Québec, PARCE QUE PERSONNE N’EN PARLE!!!!!!

Butch a ensuite parlé à Réal Ménard, le député bloquiste d’Hochelaga, et écoutez ses non-arguments là-dessus, vous n’en reviendrez pas. Imaginez, on n’aurait même plus le droit de dire sentence-bonbon, ordre du Grand Timonier Ti-Gilles le clown!

Ces deux médias sont les seuls à parler de ça. Il y n’y en a pas d’autres. Où sont les André Prout, Gilbert Lavoie, Vincent Marissal, Patrick Lagarce et les journaleux de Radio-Poubelle-Cadenas, hein?

Je n’en reviens pas. L’inutile Mal de Bloc culbécois est le seul parti canadien à avoir voté contre ce projet de loi-là et à prendre le parti des criminels, alors que même le NPD, un parti que l’on peut difficillement associer à la droite, a voté pour le projet de loi. Donc, ce n’est même pas une question gauche contre droite, mais plutôt une question de gros bon sens, soit que le Canada est contre le trafic humain et souhaite se doter d’une loi pour punir ce crime odieux et inhumain. C’est aussi simple que ça. Si il y a quelque chose qui doit être assumé par l’État, c’est bien ça, simonac. Même le NPD a compris ça, sauf le Bloc moins 2.

Parfois, j’ai vraiment l’impression que le ROC a raison de dire qu’on est différent au Québec. Quelques fois, les attaques du ROC sur notre façon de penser, qui, comme vous êtes supposés tous et toutes le savoir, est reflétée par Ti-Gilles le clown et ses BS corporatifs, sont bien méritées. Usurper les valeurs d’un peuple et se les approprier de façon la plus nationaliste possible pour promouvoir un agenda marxiste, c’est digne du national-socialisme et c’est agir en dictateur en envoyant chier les gens qui ne pensent pas comme lui. Si il était le président du Québec souverain, je serais certainement envoyé au goulag, à cause de mes idées. J’y serais sûrement envoyé avec Jacques Brassard, Joseph Facal, Ghislain Lebel, Lucien Bouchard, René Laurin, Bernard St-Laurent, Suzanne Tremblay, Louise Thibault, Pierre Brien, etc., tous des souverainistes qui, dans le fond, n’en sont pas vraiment, parce qu’ils ne sont pas communistes, selon le très inclusif Reactionism Watch. Même Guy Chevrette était trop à droite pour le Papier-Q-Libre, c’est pour tout dire. Mais, comme vous le savez, je ne veux plus parler de l’Affaire Reactionism Watch.

L’histoire du projet de loi C-268 nous aura véritablement permit de voir, dans toute sa splendeur ou plutôt dans toute sa laideur, le vrai visage de Ti-Gilles le clown et de sa bande de BS incohérents qui se disent «souverainistes» qui lui servent de couvres-sièges, mais qui acceptent l’argent d’Ottawa, principalement celui de la méchante Alberta dégueulasse, argent qui est créé en partie par les méchantes pétrolières (oh noooooooooon!!!), sans le moindre scrupule. Quelle incohérence, quelle lâcheté devant les criminels et quelle trahison et quelle nuisance face à la nation québécoise que constitue leur seule présence à Ottawa!

Un jour, Ti-Gilles le clown et sa bande de BS incohérents soi-disant «souverainistes» qui lui servent de couvres-sièges devront répondre de leurs actes. Je rêve du jour où ces espèces de traîtres-là croupiront tous et toutes en prison pour nous avoir retardé aussi frauduleusement dans notre libération nationale en ayant plongé le Québec dans le conformisme le plus crasse qui soit depuis 1993 et pour avoir court-circuité la vie politique de notre voisin canadien pendant des années, alimentant ainsi le Quebec-bashing qui a prit des proportions hallucinantes lors du psychodrame politique de l’automne dernier à Ottawa tout en s’en mettant plein les poches sur le dos d’un gouvernement étranger et, par extension, sur notre dos, nous qui votons aveuglement pour eux depuis déjà trop longtemps.

Si, au moins, le Bloc était toujours la coalition gauche-centre-droite de Lucien Bouchard, la pilule serait moins dure à avaler, mais là, ce non-parti est devenu une véritable caricature du Parti communiste chinois. À ce stade, l’Alberta, le Vermont et même l’Ontario ont des chances de devenir souverains avant nous.

Si notre langue et notre culture disparaissaient dans le néant KKKanadian, ce sera entièrement la faute de Ti-Gilles le clown et de ses BS soi-disant «souverainistes» qui lui servent de couvres-sièges.

Ce n’est pas pour dire, j’ai presque le goût de voter libéral aux prochaines élections (les conservateurs ne sont plus dans la course au Québec) pour que ces BS et leur clown de chef retournent à leur vraie place : le bureau d’aide sociale.

Voici les résultats de mon dernier sondage!



Que retiendrez-vous principalement du bilan de Monique Sacoche-Forget?



L'équité salariale
0 (0%)

La merde keynésienne que constitue le programme des infrastructures
2 (11%)

La gestion des finances publiques
0 (0%)

Le scandale de la Caisse de dépôt et placement du Québec
2 (11%)

L'Affaire Michael Sabia
0 (0%)

Le syndrome de la pépine
2 (11%)

Le fiasco du CHUM
0 (0%)

La formule des PPP
1 (5%)

La manipulation comptable
0 (0%)

Les baisses d'impôts de 2007 avec l'argent du déséquilibre fiscal
1 (5%)

Les budgets déficitaires de 2008 et de 2009
0 (0%)

La hausse des tarifs et de la TVQ
0 (0%)

Les mensonges de l'élection de 2008
4 (22%)

Son manque de respect envers ses adversaires politiques
0 (0%)

Sa partisanerie chronique
0 (0%)

L'image de la sacoche
0 (0%)

Autre
0 (0%)

Toutes ces réponses
3 (16%)

Je ne sais pas
1 (5%)

Enfin, elle est partie!!!!
2 (11%)



Nombre de votes jusqu'à présent : 18
Sondage terminé

vendredi 24 avril 2009

Laissez le couple Normandeau-Bonnardel tranquille (pour le moment)!

Alors, ma gang de p’tits curieux vous-autres, vous aimez vous rincer l’oeil depuis hier sur les faits et gestes de la vice-première ministre soi-disant libérale étatiste, mais baisable, Nathalie Normandeau, et du député adéquiste de Shefford, François Bonnardel, juste parce qu’ils sont tombés amoureux l’un de l’autre, n’est-ce pas? Sommes-nous devenus une société où régnerait le puritanisme et la castration de tous nos élus avant qu’ils ne foulent le parquet du Salon bleu? J’espère que non, parce que ce serait plate, triste et dangereux en maudit!

Si Nathalie Normandeau et François Bonnardel sont heureux ensemble, ce n’est pas de mes affaires et ce n’est pas de vos affaires, mes chers petits curieux puritains et voyeurs adeptes de Zouf Story et de Pénétration débile! Je suis heureux pour eux et je leur souhaite tout le bonheur qu’ils peuvent avoir, surtout dans une société aussi puritaine et étatico-autoritaire que le Québec.

Bernard Descôteaux du Devoir nous dit qu’il n’y a aucun problème d’éthique dans l’«Affaire» Normandeau-Bonnardel :




Il n'y a pas de problème éthique dans cette relation qui relève pour l'essentiel du domaine privé. Le choix qu'ont fait Mme Normandeau et M. Bonnardel leur appartient. En raison de la nature de leurs fonctions et de leurs responsabilités respectives, ils devaient toutefois révéler l'existence de leur idylle, question de transparence. La chose étant sue, il sera désormais possible de s'assurer que l'un ou l'autre ne se place pas en situation de conflit d'intérêts.




Le couple Normandeau-Bonnardel n'avait pas le choix de faire preuve de transparence devant la population après s'être assuré du sérieux de leur relation, ce qu'il a fait. Autrement, ils n'ont pas, par exemple, de comptes à rendre à propos de quelconques aventures passagères. Les parlementaires aspirent aussi au respect de leur vie privée et ils y ont droit. Cependant, il y a clairement un hic. Que se passerait-il, si, par mégarde, un secret du caucus adéquiste devait aboutir chez les libéraux ou si, toujours par mégarde, un secret du caucus libéral devait aboutir à l’ADQ, hein?

Hier,
Gilbert Lavoie du Soleil est allé encore plus loin que moi :




C'est sur le plan politique que la situation devient problématique. Imaginez un peu que le caucus de l'ADQ décide, la semaine prochaine, d'une stratégie pour mettre la ministre Normandeau dans l'embarras sur un dossier scabreux concernant son ministère!

Les adéquistes pourraient-ils préparer leur plan d'attaque en toute confiance en présence de leur collègue Bonnardel? J'en doute.

Autre exemple : imaginez un peu que les maires de la circonscription du député aient besoin d'un lobby efficace auprès du ministère des Affaires municipales pour régler un dossier! Que feront les fonctionnaires aux prises avec les demandes du député? S'ils lui facilitent la tâche, ils donnent l'impression d'avoir tenu compte de sa relation avec leur patronne. À l'inverse, la machine bureaucratique peut jouer d'une trop grande prudence pour ne pas se faire accuser de favoritisme. Dans ce cas, ce sont les concitoyens de M. Bonnardel qui seraient pénalisés.





D’un point de vue étatiste, Gilbert Lavoie a raison là-dessus.

Puis aujourd’hui,
il déraille en disant que François Bonnardel devrait être le seul à «payer» l’«odieux» de son amour pour Nathalie Normandeau en quittant l’ADQ et en siégeant comme député indépendant.

Premièrement, je me demande depuis quand l’amour est devenu une chose odieuse que les gens doivent payer. Ils n’ont pas tué personne, là. Quand je vous parlais de puritanisme plus haut, ça voulait dire ça, aussi. Deuxièmement, je ne vois pas pourquoi Bonnardel serait le seul à «payer» pour ça. Bonnardel étant l’homme, c’est lui qui doit payer. C’est presque ça que nous dit Gilbert Lavoie, car ses arguments pour défendre son point sont plus que boîteux et ça cache les sentiments d’un homme rose qui s’est fait brainwasher par la propagande fémi-fasciste. Jusqu’à preuve du contraire, le député de Shefford ne pèse pas lourd dans la balance, sauf peut-être en ce qui concerne la course à la chefferie de l’ADQ où il a donné son appui à Gilles Taillon. Contrairement à Gilbert Lavoie, je ne vois pas en quoi cet appui vient le discréditer, puisque ça ne concerne pas sa vie amoureuse. Il s’agit plutôt d’un choix politique qui ne concerne pas la vice-première ministre Normandeau.

À mes yeux, la position de Nathalie Normandeau est beaucoup plus délicate. En tant que vice-première ministre du Québec et ministre des Affaires municipales, elle détient des informations que monsieur Bonnardel, un député de l’opposition, ne possède pas. L’information qu’un député de l’opposition détient (pour le peu qu’il en possède) ne sera jamais aussi grosse et détaillée que celle que peut détenir un ministre qui, en plus, est le no. 2 du gouvernement. Pour reprendre la question que je me posais plus haut, que se passerait-il, si, par mégarde, un secret du caucus adéquiste devait aboutir chez les libéraux ou si, toujours par mégarde, un secret du caucus libéral devait aboutir à l’ADQ, hein? Ben, la réponse, c’est qu’on accuserait tout de suite l’un des deux tourtereaux de trahir son parti pour faciliter le travail de son amoureux et le tourtereau en question a de forte chance d’être Nathalie Normandeau, car, politiquement parlant, c’est elle qui est en position d’autorité et c’est elle qui a le grand bout du bâton dans cette histoire.

À pareille date l’année passée, on plantait
Maxime Bernier parce qu’il sortait avec la criminelle Julie Couillard en disant qu’il devait écoper pour ça, parce que c’était lui le ministre. Ben, je m’excuse, mais la ministre dans l’histoire de cette année, c’est Nathalie Normandeau, et, d’un point de vue étatiste, si on veut être cohérent avec ce qu’on a fait subir à Maxime Bernier, parce qu’il était le ministre, on devra blâmer Nathalie Normandeau, ministre et vice-première ministre, dans l’éventualité où l’ADQ ne puisse pas assumer son rôle de deuxième groupe d’opposition convenablement ou si le gouvernement ne puisse pas assumer son rôle convenablement, SI ET SEULEMENT SI la relation Normandeau-Bonnardel est pour quelque chose dans cet hypothétique blocage de la machine étatique ou du deuxième groupe d’opposition. Vu que la ministre et vice-première ministre, c’est elle, madame Normandeau devra alors prendre ses responsabilités en main et démissionner du Conseil des ministres et du Parlement ou siéger comme députée indépendante pour débloquer le tout, ce qui affaiblirait encore plus le gouverne-maman soi-disant libéral de John-James Charogne, ce qui serait bénéfique pour le Québec. François Bonnardel n’a pas à payer pour ça, puisque, étant un député de l’opposition dans un Parlement majoritaire, il n’a aucun pouvoir concret, contrairement à la vice-première ministre du Québec. Mais, en tant que libertarien, si il y a un blocage, que ce soit au gouvernement ou à l’opposition, je m’en sacre.

Pour le moment, cette relation semble fonctionner et le couple est heureux ensemble. Souhaitons leur bonne chance et beaucoup de bonheur dans leur vie de jeunes amoureux! Je lève mon verre à leur santé.

Pour conclure le billet en beauté, j’offre au couple Normandeau-Bonnardel cette chanson de circonstance :
Tout près du bonheur de Marc Dupré et de Céliiiiiiiiine.

jeudi 23 avril 2009

Les CHaudrons sont partis au golf...

…et on reconstruit…encore!

J'TANNNNNNNNNNÉÉÉÉÉÉÉÉÉ!!!!!!!!!!!!!



Dégradation

Auteur inconnu



Ton arrière-arrière-grand-père les écoutait à’radio
Ton arrière-grand-père a connu son stéréo
Et pis ton grand-père a trippé sur Jean Béliveau
Pis ton père, Shutt-Lafleur-Lemaire, ça c’était tout un trio
Et pis toé, mon p’tit gars, tu sais pus ce que tu dois faire
Le Canadien de Montréal, c’est devenu la risée de l’hiver
Bob Gainey bouge pas, toé si t’étais propriétaire
Tu rêverais la nuiiiiiit
D’avoir su’a’glace rien que des gars fieeeeeers.

Ton arrière-arrière-grand-père, y en a vu des défilés
Ton arrière-grand-père a touché à’Coupe Stanley
Et pis ton grand-père les voyait gagner ben c’t’année
Pis ton père, la grosse équipe pis ses 4 Coupes d’affilée
Et pis toé, mon p’tit gars, c’fait 16 ans que t’es écoeuré
Quand tu regardes le CH, t’as une face de découragé
Y a des soirs qu’tu t’endors et tu te mets vite à rêver
Qu’Gainey, Koivu, Kovaleeeeeev
Y se mettent tous à travailleeeeeer.

Ton arrière-arrière-grand-père, les joueurs étaient dans’misère
Ton arrière-grand-père, on le payait avec d’la bière
Et pis ton grand-père, y ont joué avec des pas pires salaires
Ton père qu’y est a vu gagner, y avait pas un millionnaire
Et pis toé, ma p’tite jeunesse, chaque partie est un vrai calvaire
Pas moyen d’faire les séries, 100 piasses le ticket, ça fait cher
Sont tous ben trop occupés à checker leur compte bancaire
Quand l’printemps est venuuuuuuu
Y traversent tous les frontièèèèèères.

Tes arrières-arrières-grands-parents ont trippé sur le hockey
Tes arrières-grands-parents, le Canadien était leur fierté
Pis tes grands-parents r’gardaient La Soirée du hockey
Tes parents, c’taient des accros, c’t’au Forum qui s’sont rencontrés
Et pis toé, mon ami, RDS, t’es écoeuré
Éteint dont ta TiVi, faut p’t’-être juste les boycotter
Le Canadien de Montréal, en février, se met à choker
Pis l’automne venuuuuuuu
Prenne des promesses de gagneeeeeeeeeeeeer-eeeer-eeeer-eeeer.

mercredi 22 avril 2009

Retour sur mon billet sur le Reactionism Watch et réfutation de la haine gau-gauchiste de l'argent

(Note du blogueur : Je sais que la mise en page du billet est pourrie et je ne sais pas ce qui s'est passé quand j'ai publié le billet, mais on dirait que le blogue n'a pas enregistré les paragraphes que j'ai fait. Je ne sais pas c'est quoi le crisse de problème et ça me fait chier tout comme vous, mais je n'ai pas le temps d'y voir tout de suite. Désolé pour la lecture pénible que cette merde pourrait occassionner à certaines personnes! Si vous voulez vous plaindre, plaignez-vous à blogspot!)
Bon ben, chose promise, chose due! Je vous avais annoncé à la fin de ce billet que je réfuterais la haine gau-gauchiste de l’argent. C’est aujourd’hui que ça se passe. Par contre, avant de réfuter cette haine, je tiens à vous faire part de la p’tite controverse que ce billet-là a déclenché dans la blogosphère.
Dans le billet, j’avais qualifié le meurtre de Nancy Michaud de crime gau-gauchiste, puisque Francis Proulx a dit avoir tué madame Michaud parce qu’il détestait la société et surtout les riches, à l’image des Éric Harris, Dylan Klebold, Kimveer Gill, Cho Seung-Hui et autres. J’avais aussi lié la misogynie de Proulx à celle de Marc Lépine.
Pour prouver mon point voulant que plusieurs gau-gauchistes étatistes communistes soient habités par la même haine à laquelle Francis Proulx était habité envers la société et les riches, haine qui est le plus souvent alimentée par une psychose, j’ai sorti des citations assez incriminantes merci du blogue Reactionism Watch, le plus grand repère d’idiots utiles de la blogosphère. J’avais ensuite dit de ces citations qu’elles étaient remplies de lubies meurtrières, surtout dans le cas de Sylvain Guillemette qui souhaite la mort de ses adversaires idéologiques, d’une haine de la société dans laquelle ils vivent (Occident), d’une haine de pays libres et démocratiques (Israël, États-Unis, etc.), d’une haine du système économique qui les nourrit (le capitalisme), d’une déification de dictatures meurtrières, comme Cuba et la Corée du Nord, et de groupes terroristes, comme le Hamas et le Hezbollah, d’une vénération de leur idéologie communiste, anti-américaine, antisémite, anti-individus et anti-liberté, autant qu’Éric Harris vénérait le darwinisme social et Adolf Hitler, et de théories conspirationnistes à la noix sur les attentats terroristes du 11 septembre 2001, etc.!
J’avais également dit que l’on pouvait aisément qualifier le Reactionism Watch de blogue-poubelle alimenté par des fous furieux aux visées particulièrement violentes.
D’ailleurs, j’avais conclu mon billet ainsi :
Alors, devrait-on craindre le Reactionism Watch? Ma réponse serait oui. Se pourrait-il que, à l’image des gens qui avaient presque les mêmes sentiments de persécution à l’égard des riches et de la société, comme Cho Seung-Hui et Francis Proulx, les auteurs du Reactionism Watch, portés par leurs délires psychotiques qu’ils rejettent sur la société et le système, prendraient les armes et pourraient faire un massacre digne des fous que j’énumérais au tout début de ce billet? Quand on pense que Guillemette souhaite la mort de ses adversaires idéologiques, ma réponse serait oui.
Leur idéologie est totalitaire, sectaire, meurtrière et dangereuse. Je ne serais vraiment pas surpris, si, un jour, on apprenait qu’un Sylvain Guillemette ou un Gabriel Proulx ou un Internationaliste ou un Camarade Antho, portés par leur psychotique haine féroce de la société, deviendraient les nouveaux Francis Proulx ou Cho Seung-Hui dont il faudrait s’occuper, parce qu’une (ou plusieurs) Nancy Michaud qui a eu le malheur de réussir a dû payer de sa vie leur délire qui leur a dit de la tuer elle, une personne innocente, tout ça parce qu’elle refusait de les suivre dans leur paradis communiste imaginaire où coule l’eau et le miel toute la journée.

Malgré tout, merci aux auteurs du Reactionism Watch! À chaque fois que je vais sur leur blogue-poubelle, ils me font voir combien la gau-gauche communiste peut être laide, stupide, idiote utile et
utopique.
24 heures après que j’aie publié mon billet, la grande équipe du Reactionism Watch répondait à mon billet sur leur blogue par la bouche d’Antho. Or, ils n’avaient pas vraiment d’arguments pour discréditer les miens.
Voici des exemples de la bouillie qu’ils m’ont servi!
1) Est-ce que vous saviez que vous étiez en train de lire le blogue de gens qui pourraient s’avérer être de futurs tueurs en série? Si nous n’avons pas tué à l’heure actuelle, cela ne devrait pas tarder selon le très grand sociologue et spécialiste de la gauche au Québec, et nous avons nommés Jean-Luc Proulx! Qui est ce Jean-Luc Proulx au juste? Il s’agit d’un blogueur-poubelle, qui voit le Québec actuel comme étant une république bananière dominée par les «fémi-fascistes», les «syndicaleux» et la «môdite gôgauche». Il est sûrement un de ces opportunistes lèche-cul qui souhaite monter dans la hiérarchie de son entreprise, et ce même si il doit couler au fond de l’eau d’autres personnes (la logique du système capitaliste quoi).
2) Ces ”valeurs” occidentales comme il le dit si bien, elles n’existent que dans sa tête! Dans la réalité, ces ”valeurs” sont, en gros, l’exploitation, le colonialisme, le racisme, l’exclusion, l’impérialisme, le chacun pour soi, l’ethnocentrisme et un nombrilisme qui caractérise fort bien les politiques des gouvernements occidentaux depuis le temps de la Renaissance.
3) Le Venezuela n’est pas sous l’emprise d’une dictature, sauf peut-être celle du peuple. Quant aux pays nommés dans la phrase énoncée, ils n’ont même pas autant de morts à leur actif que les États-Unis et Israël. C’est encore là, la démonstration de tout le sérieux que peut offrir JLP!
4) Quant au débile de service Jacques Saint-Pierre, qui dit «La vérité choque, je suppose.», il n’a pas trouvé mieux que d’appuyer les mensonges de l’autre débile, selon qui Hugo Chavez serait un dictateur, etc., et pourtant, monsieur Chavez fut élu non pas une fois, mais plusieurs fois! Plus de 10 référendums en 10 ans, nommez-moi un seul autre «démocrate» aussi démocrate que lui, un seul autre!
5) En faisant un texte sur son blogue, si on peut appeler ça comme ça, il ne court aucun risque que l’on vienne démolir ses mensonges, puisqu’il nous censurera en plus de ça, en bonus et c’est là, la droite sur son plus beau jour! Attaques personnelles, censure, mensonges répétés, JLP est un vrai capitaliste, y a pas de doute!
Mais plus sérieusement, JLP devrait faire attention aux termes qu’il emploie et à l’encontre de qui il les emploie. Une poursuite en diffamation l’aiderait peut-être à réfléchir sur ses écrits.
6) Je ne savais pas que la vérité pouvait être représentée par le délire paranoïaque et conspirationniste d’un pré-pubère comme JLP! Complètement pathétique!
7) Ce troll nous traite de conspirationnistes, alors qu’il voit des complots gauchistes partout! Quand on le lit, on croirait entendre Robert Rumilly, un historien d’extrême-droite pétainiste, qui criait au communisme à la moindre tentative de moderniser la société québécoise.
8) Au disjoncté en question
Le gars qui supporte le taliban québécois Jean-François Plante peut bien parler, car même s’il est trop con pour le comprendre, le fait reste qu’il se cale toujours un peu plus dans son trou noir sans fond d’intolérance suprémaciste en utilisant le terme “fémi-fasciste” pour parler de Québec solidaire. Ensuite, tu supporte les crimes de guerre de Tsahal, alors ton cas va de mal en pis. En passant, vu que tu abordes les FARC, ça serait bien si tu parlait aussi des crimes contre l’Humanité odieux commis par l’armée colombienne (par ordre du gouvernement terroriste narco-trafiquant d’Alvaro Uribe) à travers les escadrons de la mort qu’elle supporte encore en 2009 (quand elle ne fait tout simplement le sale boulot elle-même), comme pour les centaines de cas bien documentés de massacres de paysans dans le seul but de “faire de la place” à l’industrialisation forcée et sauvage du pays, le tout au nom du Ô capital.
Pour le reste, à part nous attribuer des intentions absurdes de massacres de masses (que tu supporte quand les victimes sont arrachées à la vie par tes alliés idéologiques racistes d’extrême-droite), tu n’as rien fait pour nous démolir, tes “efforts” (un bien grand mot pour toi) de copié/collé de nos citations dont quelques-unes sont prises hors contexte et les autres ne sont carrément pas répréhensibles, ces “efforts” sont risibles au mieux et franchement, nous comparer nous, de simples pacifistes communistes, à Kimveer Gill qui, dois-je le rappeler, en avait contre l’HUMANITÉ toute entière dans son délire paranoïaque des plus profonds, témoigne d’un incroyable manque de respect envers les victimes (plusieurs blessés et une morte, Anastasia De Sousa), tout comme Glenn Beck, la nouvelle coqueluche de ce que l’extrême-droite peut trouver de “mieux” comme intello de salon (David Gagnon), qui s’est fait mettre à la porte de CNN pour avoir dit qu’il haïssait les familles “pleurnicheuses” des victimes du 9/11 et qui a ensuite trouvé refuge chez la seule station à l’éthique assez inexistante pour avoir le culot de donner du travail à ce déchet humain, FAUX NEWS, la “plusse meilleure source d’information” pour le délirium d’Antagoniste.net!
Jean-Luc Proulx, vous me levez le coeur, mais je me console en sachant que votre influence néfaste visant à faire reculer le Québec dans la Grande noirceur de Maurice Duplessis se limite à votre trou “campagnard” (c’est André Arthur qui l’a dit, il vient du coin, alors il le sait plus que moi) de Québec City, une ville gangrenée par le concept de radio-poubelle fédéraleuse et haineuse révolutionnée par le Führer de Portneuf, André Arthur, qui n’avait rien de mieux à faire la semaine dernière que de cracher son fiel sur OPÉRATION ENFANT-SOLEIL (les plaintes ont dû fuser de toutes parts) et sur l’aide internationale au tiers-monde, tiers-monde que l’Occident a amplement contribuer à affamer!
Les imbéciles comme vous ont le droit de parole (ou d’insulte, devrais-je dire) à volonté sur RWatch, même si vous ne faites que nous couvrir d’insultes, contrairement au cas d’Antagoniste et Canoë, où la censure est omniprésente, alors pour les leçons de démocratie, on repassera!
P.S.: Merci d’avoir fait de la pub à tous nos partenaires même si le lectorat de votre blogue-poubelle est quasi inexistant, ça va droit au coeur, cher exemple parfait d’idiot utile de salon occidental rampant devant l’impérialisme génocidaire yankee et sioniste!
9) On est des gens de l’Occident
On est une gang de perdants
On est des gens de l’Occident
On est pourri par en d’dans
On est des gens de l’Occident
Y faut qu’on meurt avant notre temps!
10) Ce connard sans jugement de JLP insulte la mémoire de la regrettée Anastasia, victime du psychopathe Gill, ainsi que sa famille, en faisant ces comparaisons honteuses entre des personnes pacifistes et saintes d’esprit et cet odieux tueur. Je vais lui laisser une dernière chance pour retirer ces paroles honteuses, sans quoi chacune de ses interventions sur le sujet seront automatiquement retirées, par respect pour les victimes de ce drame.
11) Je veux être très clair avec toi Jean-Luc. Tu as le droit de commenter ici tant que ça reste sérieux. Mais, nous n’accepterons plus des accusations sans fondements, des conneries, des insultes et des menaces. Sinon, chaque commentaire jugé non-acceptable que tu publieras sur RW sera automatiquement supprimé et cela jusqu’au bannissement.
12) Trêve de plaisanteries, Chavez est en ce moment le chef d’état DÉMOCRATIQUE le plus LÉGITIME du monde! Ceux qui lui crachent dessus de manière aussi gratuite crachent également sur le concept de démocratie, sur les choix multiples du peuple souverain du Venezuela (QUATORZE fois JSP, QUATORZE fois) et font donc preuve de racisme envers le peuple du Venezuela.
13) Sinon, vos textes sont des ramassis d’affirmations et de préjugés, d’accusations sans preuve et de procès d’intention. Un enfant de 5 ans ferait sans doute mieux. Bonne chance quand même! Mais, d’affirmer des mensonges sur vos adversaires ne vous aidera guère, parce que ceux-ci peuvent toujours démentir vos débilités, aisément. Je l’ai fait, je le refais et je le referai.
14) Je n’appuie pas Kim Jong-Il, Chavez un président démocratiquement élu, Pol-Pot n’était pas plus communiste que Kim Jong-Il ou Staline et je n’appuie pas le discours religieux du Hamas ou du Hezbollah, mais je les appuie dans leur combat légitime envers l’empire impunis d’Israël et des États-Unis, deux États profondément terroristes et destructeurs pour les peuples libanais et palestiniens.
Toutes ces citations viennent du billet où ReactW a répondu au mien. Après une semaine, non, je n’ai pas encore reçu cette poursuite en diffamation que Guillemette voulait m’intenter, suite à la publication de mon billet. D’ailleurs, j’attends toujours la mise en demeure, tout comme cette escouade de surveillance qui viendrait surveiller mon blogue (salut Angelus!). J’imagine que tout ça était dans leur tête. Pour ce qui est du colonialisme, je tiens à leur rappeler que le temps des colonies est terminé depuis bien longtemps et que personne ne tient à revenir à cette époque raciste qui coûtait les yeux de la tête à la métropole. Je n’appuie pas les FARC et il n’y a aucune preuve crédible en ce qui concerne le narco-trafic d’Alvaro Uribe. De plus, je sais reconnaître qu’Uribe est un président légitime, lui qui a été élu, qui est largement populaire en Colombie et qui a su remettre l’économie de son pays sur les rails en libéralisant le marché, la croissance de l’économie colombienne dépassant la moyenne latino-américaine. Pour ce qui est de l’industrialisation forcée (si c’est vrai), je préfère largement ça plutôt qu’une «médiévalisation» forcée, ce que préconise par la bande les anti-mondialistes, les protectionnistes et les isolationnistes. Quant à l’armée israélienne, il s’agit d’une armée des plus morales.

J’ai aussi eu des commentaires, 15 en tout, sur mon propre billet. 7 de ces commentaires ont été écrits par Internationaliste, 5 ont été écrits par moi, un de ces commentaires a été écrit par un certain Angelus, un autre a été écrit par un Anonyme qui m’appuyait et qui me disait de ne pas me laisser faire et le dernier commentaire, commentaire inutile qui n’était pas lié au sujet du billet, a été écrit par un troll du nom de Femme Fontaine.

Je vais vous copier un commentaire que j’ai eu dans ce billet. Il s’agit du commentaire d’Angelus, car il m’a fait bien rire. Par contre, les menaces de mort et les envolées vitrioliques que j’ai reçu par courriel de d’autres communistes enragés ne seront pas publiées. Ça, ça va être à moi de décider ce que je vais faire avec ça. Avant de vous copier le commentaire d’Angelus et ma réponse, j’aimerais mettre quelque chose au point tout de suite sur le fait que l’on m’accuse de censurer mes commentateurs. Sur Le Québec de demain, il n’y a pas de censure. Je ne censure pas les commentaires, je ne les modère même pas et tous et chacun ont le droit d’y laisser un commentaire si ça leur chante pour autant que vous possédiez un Compte Google, bien sûr.
Internationaliste l’a fait. Bon, il me traite de «gros puceau», de «pré-pubère» et de «gros poux» dans son premier commentaire, ce qui n'est pas très gentil, mais je ne l’effacerai pas. Pourquoi? Parce que la liberté d’expression est sûrement l’acquis démocratique le plus important qu’une démocratie libérale puisse avoir. Moi, je crois en la liberté d’expression et ce n’est pas vrai que j’imiterai des blogueurs comme Richard Têtu ou Patrick Lagarce dans leur folie d’ultra-modération des commentaires. Du moins, tant que les commentaires demeureront pertinents et liés au sujet des billets que je soumets ici! Pour la censure sur Canoë ou sur Cyberparesse ou sur des sites privés comme Antagoniste.net, c’est à leur propriétaire de s’expliquer, mais je ne pratique pas de censure.
Par contre, si vous lisez attentivement la section «Bienvenu sur mon blogue» à droite du blogue, vous lirez ceci : «Un seul réglement à suivre : soyez respectueux dans vos commentaires!». Les commentaires irrespectueux sont automatiquement supprimés, parce que, dans un bon débat, il y a le respect de l’adversaire et je crois beaucoup au respect des autres. Pour les commentaires des trolls qui sont toujours hors sujet, je n’ai jamais sévit, parce que j’ai une politique pour les trolls : les laissez s’exprimer et laisser leurs commentaires à la postérité pour montrer à tout le monde combien ils n’ont pas de vie. J’ai l’impression qu’ils finissent par se tanner à la longue. Ça fait un an que je blogue et en un an, je crois que, côté troll, il n’y ait que Femme Fontaine qui a vraiment réussi à me faire sortir de mes gonds et pourtant, mon «ami» indeedtd des blogues de Cyberparesse qui s’amusait à troller mon premier blogue ne donnait pas sa place non plus, mais je dois quand même lui donner le fait qu’il était toujours dans le sujet des billets, contrairement à Femme Fontaine.
Bon, voici maintenant le commentaire qu’Angelus a écrit sur mon billet sur le ReactW, commentaire qui m’a fait le plus rire, surtout qu’il me traite d’«ancien jeune libéral qui s’est fait revirer de bord par son parti»! Hé! Hé! Hé!
Angelus a dit…

Tu vas à l'université, toi?
Bizarre... ton argumentation laisse assez à désirer...
Je te feele plutôt comme un ancien jeune libéral qui s'est fait revirer de bord par son parti...
Mais le travail d'épicerie, ça je te crois.
Ensuite, tu nommes à peu près la moitié de la blogosphère québécoise comme étant de tes ennemis. Désolé du wake-up call, mais si la majorité est ton ennemi, en partant, ça va mal...
Crisse que la petite drèdrette a peur... hein la petite drèdrette voit que ça s'en vient, que le monde qu'ils se tuent à dire "utopique" se rapproche et s'accrochent à leurs derniers deniers comme des poux à la tête d'un chauve.
Au cas où tu n’aurais pas pigé, la drèdrette, c'est toué.
En tk, merci à RW de m'avoir fait découvrir Johnny Boy Proulx et sa propagande de sous-sol! On va te checker mon Johnny...

14 avril 2009 06:50
Voici ma réponse!
Jean-Luc Proulx a dit…

@ Angelus.
Moi libéral????? Libertarien d'accord, mais c'est vraiment m'insulter que d'aller me comparer au Parti des guidounes charognardes soi-disant libérales du Culbec!

Pour ce qui est de ma liste d'idiots utiles, je n'y ai pas seulement mis des blogueurs. J'y ai aussi mis des syndicats, des organismes et même des médias et des journaleux.
En passant, «idiot utile» ne veut pas forcément dire «ennemi». Ennemi idéologique, ça c'est vrai, mais pas forcément ennemi dans le sens où je voudrais aller me battre contre eux!
«la petite drèdrette»
Ça, c'est la droite étatiste. Moi, je suis libertarien. La «p'tite drédrette» comme tu dis, elle n'a pas d'arguments pour vendre son idéologie, car elle se base sur les émotions. Moi, j'ai des arguments et je me base sur la Raison. Fouille ce blogue et tu verras!

Merci de m'apprendre que tu vénères le blogue-poubelle qu'est ReactW! Cela m'éclaire beaucoup sur le gau-gauchiste que je t'imagine être.
«Johnny Boy Proulx»
Quand je croiserai ce type, je lui ferai la commission.
«On va te checker mon Johnny»
C'est ça. N'oublie pas tes jumelles!
P.S.: J'étudie en Administration à l'Université.

14 avril 2009 13:26
Bref, on est rendu là au Québec. Il suffit que des droitistes ressortent ce qui est de plus laid chez la gauche en soutenant le tout avec des arguments raisonnés et crédibles et la seule chose dont les gau-gauchistes sont capables de faire pour contrer ça, c’est une charge à fond de train contre la droite en insultant le messager, en brandissant le spectre d’une poursuite en diffamation, en traitant de taliban un animateur de radio (Jean-François Plante) juste parce qu’il ne pense pas comme eux, alors qu’il ne fait pas partie du sujet traité, en continuant à délirer sur leur vision réductrice du monde, que ce soit sur Israël, sur l’Occident ou sur les États-Unis, en continuant à cracher sur le système économique qui les nourrit et le meilleur de tout, là où les points Godwin montent en flèche, en traitant de Führer un député démocratiquement élu qui ne fait pas partie du sujet traité (André Arthur) juste parce qu’il ne pense pas comme eux, ce qui est un total manque de respect envers les victimes de la Shoah, mais peu importe, car quand on crie «Viva l’Intifada!» et que l’on renomme Israël «Isra-heil!», on est déjà antisémite et donc, par le fait même, violent et haineux.
Nous regrettons d’avoir à subir les conséquences de nos idéaux, mais nous les acceptons sans résignation. Notre combat ne fait que commencer, nous ne nous arrêterons que lorsque l’UQAM nous appartiendra vraiment. À nous, ainsi qu’à tout ceux qui y étudient, y enseignent, y travaillent et y militent.
Vous n’avez encore rien vu de ce dont la colère légitime est capable!
Après ça, ça se dit pacifistes et non-violents. Mon oeil, oui! Ils sont fâchés que je les aie comparé à Kimveer Gill, mais il leur ressemble comme deux gouttes d’eau au niveau des idées. Kimveer Gill a écrit les torchons «FUCK THE POLICE» et «FUCK YOU SOCIETY». De plus, sur son profil Internet, il disait détester «Anyone Who Supports The American Government», «Capitalists», «Republicans», et «Fucking Religious People Who Think They Know Everything».
Ça ne vous rappelle pas certaines personnes? La suite, hé bien, on la connaît par coeur.
Bon, j’en ai assez de parler de cette histoire. Je n’avais plus rien à dire là-dessus, sauf ma réfutation de la haine gau-gauchiste de l’argent. Je vais la faire et ensuite, je ne traiterai plus de cette affaire, parce que le ReactW risque de m’emmerder encore davantage et j’ai tout dit ce que j’avais à dire là-dessus. Je voulais juste vous faire partager la controverse qui a suivi la publication de mon billet de la semaine dernière sur leur sujet.
Bon, passons aux choses sérieuses! Ma réfutation de la haine gau-gauchiste de l’argent en sera une de philosophique.
Dans le livre Atlas Shrugged de la philosophe Ayn Rand, Francisco d’Anconia, un des personnages principaux du livre, était à une réception de mariage lorsqu’un invité près de lui attira son attention. Cet invité disait que l’argent est la racine de tout mal. La réponse d’Anconia à cet homme qui, je crois, est toujours d’actualité aujourd’hui avec les propos que l’on peut retrouver sur le Reactionism Watch, la montée dangereuse du Nouveau Parti médiocratique du KKKanada et de Culbecistan suicidaire et fémi-fasciste à Mouyial et des récents propos anti-riches de Hervé Kempf et de Micheline Lanctôt à Tout le monde en bave l'autre semaine, témoigne du génie de Rand. Kimveer Gill, Cho Seung-Hui, Éric Harris, Dylan Klebold et Francis Proulx auraient dû lire ce livre avant de commettre l’irréparable.
Le discours de Francisco d’Anconia
Par Ayn Rand
Extrait du livre Atlas Shrugged et traduit en français par Philippe David
“Alors, vous pensez que l’argent est la racine de tout mal?”, dit Francisco d’Anconia. “Avez-vous déjà demandé quelle est la racine de l’argent? L’argent est un outil d’échange qui ne peut exister à moins d’avoir des biens produits et des hommes capables de les produire. L’argent est la forme du principe que les hommes qui veulent transiger entre eux doivent le faire par le commerce et donner valeur pour valeur. L’argent n’est pas l’outil des mendiants, qui réclament votre produit par les larmes, ou des pillards, qui le prennent par la force. L’argent est rendu possible par les hommes qui produisent. Est-ce cela que vous considérez comme le mal?”
“Lorsque vous acceptez de l’argent en paiement de vos efforts, vous ne le faites que dans la conviction que vous l’échangerez pour le produit de l’effort des autres. Ce ne sont pas les mendiants et les pillards qui donnent la valeur à l’argent. Pas un océan de larmes, ni tous les fusils du monde peuvent transformer ces bouts de papier dans votre portefeuille en pain pour vous laisser survivre demain. Ces bouts de papier, qui auraient dû être de l’or, sont un gage d’honneur – votre réclamation de l’énergie des hommes qui produisent. Votre portefeuille est l’expression d’espoir que, quelque part dans le monde autour de vous, il y a des hommes qui ne prendront pas à défaut ce principe moral qui est la racine de l’argent. Est-ce cela que vous considérez comme le mal?”
“Avez-vous déjà cherché la racine de la production? Examinez une génératrice électrique et osez vous dire qu’elle a été créée par l’effort musculaire de brutes écervelées! Essayez de faire croître une graine de blé sans le savoir laisser par les hommes qui ont dû le découvrir la première fois! Essayez d’obtenir votre nourriture par le seul moyen de mouvements physiques — et vous apprendrez que l’esprit de l’Homme est la racine de tous les biens produits et de toute la richesse qui ait existé sur Terre!”
“Mais, vous dites que l’argent est fait par les forts aux dépends des faibles? De quelle force parlez-vous? Ce n’est pas la force des muscles et des fusils. La richesse est le produit de la capacité humaine de penser. Alors, l’argent est fait par l’Homme qui invente un moteur aux dépends de ceux qui ne l’ont pas inventé? Est-ce que l’argent est fait par l’intelligent aux dépends du sot? Par le capable aux dépends de l’incapable? Par l’ambitieux aux dépends du paresseux? L’argent est fait — avant qu’il puisse être pillé ou mendié — fait par l’effort de chaque honnête homme, chacun selon son habileté. Un honnête homme est celui qui sait qu’il ne peut pas consommer plus qu’il n’a produit.”
“De transiger par l’argent est le code des hommes de bonne volonté. L’argent repose sur l’axiome que chaque homme est propriétaire de son esprit et de ses efforts. L’argent n’alloue aucun pouvoir de prescrire la valeur de votre effort, excepté par le choix volontaire de l’homme qui veut l’échanger avec son effort en retour. L’argent vous permet d’obtenir pour vos biens et votre labeur ce qu’ils valent aux yeux des hommes qui les achètent, mais pas plus. L’argent ne permet aucune entente sauf celles par bénéfice mutuel avec le jugement non-forcé des commerçants. L’argent vous demande la reconnaissance, les hommes doivent travailler pour leur propre bénéfice, et non pour leur tort, pour leur gain et non pour leur perte — la reconnaissance qu’ils ne sont pas des bêtes de somme, nés pour porter le poids de votre misère — que vous devrez leur offrir des valeurs, et non des blessures — que le lien commun entre les hommes n’est pas l’échange de souffrances, mais l’échange de biens. L’argent demande que vous ne vendiez pas votre faiblesse à leur stupidité, mais votre talent à leur raison ; il demande que vous n’achetiez pas le pire qu’ils offrent, mais le meilleur que votre argent puisse trouver et lorsque les hommes vivent de l’échange — avec la raison et non la force comme arbitre final — c’est le meilleur produit qui gagne, la meilleure performance, l’homme avec le meilleur jugement et la meilleure habileté — et le degré de la productivité d’un homme est le degré de sa récompense. C’est le code de l’existence pour laquelle l’outil et le symbole sont l’argent. Est-ce cela que vous considérez le mal?”
“Mais, l’argent n’est qu’un outil. Il vous emmènera où vous voulez, mais il ne vous remplacera pas comme chauffeur. Il vous donnera les moyens de satisfaire vos désirs, mais il ne vous donnera pas de désirs. L’argent est le fléau des hommes qui tentent de renverser la loi de la causalité — les hommes qui cherchent à remplacer l’esprit en saisissant les produits de l’esprit.”
“L’argent n’achètera pas le bonheur à l’homme qui n’a aucune idée de ce qu’il veut : l’argent ne lui donnera pas un code de valeurs, s’il ne sait à quoi attribuer une valeur, et il ne lui donnera pas un but, s’il ne sait ce qu’il doit chercher. L’argent n’achètera pas l’intelligence au sot, ou l’admiration au trouillard, ou le respect à l’incompétent. L’homme qui tente d’acheter le cerveau de ses supérieurs pour le servir, avec l’argent pour remplacer son jugement, finit par devenir la victime de ses inférieurs. Les hommes d’intelligence le désertent, mais les tricheurs et les fraudeurs accourent à lui, attirés par une loi qu’il n’a pas découverte : qu’aucun homme ne peut être plus petit que son argent. Est-ce la raison pour laquelle vous dites que c’est le mal?”
“Seul l’homme qui n’en a pas besoin est digne d’hériter la richesse — l’homme qui ferait sa fortune, peu importe où il a commencé. Si un héritier est l’égal de son argent, il le servira ; sinon, il le détruira. Mais, vous le regardez et vous criez que l’argent l’a corrompu. Vraiment? Ou a-t-il corrompu son argent? N’enviez pas un mauvais héritier ; sa richesse n’est pas la vôtre et vous n’auriez pas fait mieux avec! Ne pensez pas qu’elle aurait dû être distribuée entre vous ; chargeant le monde de cinquante parasites au lieu d’un ne ramènerait pas la vertu morte qu’était la fortune! L’argent est une puissance vivante qui meurt sans sa racine. L’argent ne servira pas l’esprit qui ne peut l’égaler. Est-ce la raison pourquoi vous dites que c’est mal?”
“L’argent est votre moyen de survie. Le verdict que vous prononcez sur la source de votre gagne-pain est le verdict que vous prononcez sur votre vie. Si la source est corrompue, vous avez damné votre existence. Avez-vous obtenu votre argent par la fraude? En jouant sur les vices ou la stupidité des hommes? À servir les sots en espérant recevoir plus que votre habileté ne mérite? En abaissant vos standards? En faisant un travail qui vous écoeure pour des acheteurs que vous méprisez? Si c’est le cas, votre argent ne vous apportera pas un moment ou la valeur d’un sou de joie. Alors, tout ce que vous achèterez ne deviendra pas un tribut, mais un reproche ; pas un accomplissement, mais un rappel de honte. Alors, vous crierez que l’argent est mauvais. Mauvais, parce qu’il ne remplace pas votre respect de vous-même? Mauvais, parce qu’il ne vous laisse pas jouir de votre dépravité? Est-ce cela la racine de votre haine de l’argent?”
“L’argent demeurera toujours un effet et refuse de vous remplacer en tant que la cause. L’argent est le produit de la vertu, mais il ne peut pas vous donner la vertu et il ne rachètera pas vos vices. L’argent ne vous donnera pas ce qui n’est pas mérité, ni en matériel, ni en spirituel. Est-ce cela la racine de votre haine de l’argent?”
“Ou disiez-vous que c’est l’amour de l’argent qui est la racine du mal? Aimer quelque chose, c’est connaître et aimer sa nature. Aimer l’argent est connaître et aimer le fait que l’argent est la création de la meilleure puissance en vous, et la clef pour échanger votre effort pour l’effort du meilleur d’entre les hommes! C’est l’homme qui vendrait son âme pour une pièce de cinq cents qui proclame le plus fort sa haine de l’argent — et il a de bonnes raisons de l’haïr. Ceux qui aiment l’argent ont la volonté de travailler pour. Ils savent qu’ils peuvent se le mériter.”
“Laissez-moi vous livrer un indice au caractère des hommes : l’homme qui maudit l’argent l’a obtenu déshonorablement ; l’homme qui le respecte l’a gagné!”
“Sauvez-vous de quiconque vous dit que l’argent est mauvais! Cette phrase est la clochette de lépreux qui sonne l’approche d’un pillard. Aussi longtemps que les hommes vivront ensemble sur Terre et auront besoin de traiter un avec l’autre — leur seul substitut, s’ils abandonnent l’argent, est la bouche d’un fusil.”
“Mais, l’argent vous demande les plus hautes vertus, si vous voulez en faire ou le garder. Les hommes qui n’ont aucun courage, aucune fierté ou estime de soi, les hommes qui n’ont pas le sens moral de leur droit à leur argent et qui n’ont pas la volonté de le défendre comme s’ils défendaient leur vie, les hommes qui s’excusent d’être riches — ne demeureront pas riches pour longtemps. Ils sont l’appât naturel des foules de pillards qui se cachent sous les roches depuis des siècles, mais qui rampent hors de leur cachette à l’odeur de l’homme qui demande pardon pour la culpabilité de posséder de la richesse. Ils se dépêcheront de lui prendre sa culpabilité — et sa vie, comme il le mérite.”
“Alors, vous verrez la montée des hommes au double standard — des hommes qui vivent par la force, mais qui comptent sur ceux qui vivent de la traite pour donner de la valeur à leur butin — des hommes qui sont au crochet de la vertu. Dans une société morale, ils sont les criminels, et les statuts sont écrits pour vous en protéger. Mais, lorsqu’une société établit des criminels-de-droit et des pillards-en-loi — des hommes qui utilisent la force pour saisir la richesse de victimes désarmées — alors, l’argent devient le vengeur de son créateur. De tels pillards croient qu’il est sûr de voler des hommes sans défense, une fois qu’ils ont passé une loi pour les désarmer. Mais, leur butin devient l’aimant des autres pillards, qui l’obtiennent d’eux de la même façon. Alors, la course ne va pas à ceux qui sont les plus adeptes à la production, mais à ceux qui sont les plus impitoyables à l’usage de la brutalité. Lorsque la force est la norme, le meurtrier gagne sur le pickpocket et alors la société disparaît dans une propagation de ruines et de boucherie.”
“Souhaitez-vous savoir si ce jour arrive? Surveillez l’argent! L’argent est le baromètre de la vertu d’une société. Lorsque vous voyez que les échanges sont faits, non pas par consentement, mais par la contrainte — quand vous voyez que pour produire, vous devez obtenir la permission de gens qui ne produisent rien — lorsque vous voyez que l’argent coule vers ceux qui traitent non pas en biens, mais en faveurs — lorsque vous voyez que les hommes s’enrichissent plus par la corruption et l’influence que par le travail, et que vos lois ne vous protègent pas contre eux, mais les protègent contre vous — lorsque vous voyez la corruption récompensée et que l’honnêteté devient un sacrifice — vous pourriez savoir que votre société est condamnée. L’argent est un médium si noble qu’il n’accepte aucune concurrence avec les armes et n’accepte aucun terme avec la brutalité. Il ne permet pas qu’un pays puisse survivre mi-propriété, mi-butin.”
“Lorsque des destructeurs apparaissent parmi les hommes, ils commencent par détruire l’argent, puisque l’argent est la protection des hommes et la base de leur existence morale. Les destructeurs saisissent l’or et laissent aux propriétaires une pile de papier trafiqué, ce qui détruit toute norme objective et qui livre les hommes au pouvoir arbitraire d’un régulateur de valeurs arbitraire. L’or était une valeur objective, un équivalent de richesse produite. Le papier est une hypothèque d’une richesse qui n’existe pas, soutenu par une arme pointée vers ceux qui sont supposés le produire. Le papier est un chèque tiré par des pillards légaux d’un compte qui n’est pas le leur : sur la vertu de leurs victimes. Surveillez le jour où il rebondira, marqué «compte à découvert»!”
“Lorsque vous faites du mal le moyen de survie, ne vous attendez pas à ce que les hommes restent bons! Ne vous attendez pas à ce qu’ils restent moraux et perdent leurs vies pour devenir la proie des immoraux! Ne vous attendez pas à ce qu’ils produisent, alors que la production est punie et le pillage récompensé! Ne demandez pas : «Qui détruit le monde?»! C’est vous.”
“Vous vous tenez au milieu des plus grands accomplissements de la plus grande et productive civilisation et vous vous demandez pourquoi elle s’écroule autour de vous, alors que vous maudissez son essence de vie — l’argent. Vous considérez l’argent comme les sauvages avant vous, et vous vous demandez pourquoi la jungle se resserre autour de vos villes. À travers l’Histoire, l’argent a toujours été saisi par des pillards d’un type ou l’autre, dont les noms ont changé, mais dont les méthodes sont restées les mêmes : saisir la richesse par la force et garder les producteurs liés, humiliés, défamés et privés d’honneur. Cette phrase au sujet du mal de l’argent que vous babillez avec imprudence, vient d’une époque ou la richesse était produite par le travail des esclaves — esclaves qui répétaient les mouvements déjà découverts par l’esprit de quelqu’un et laissés sans amélioration pendant des siècles. Aussi longtemps que la production était dominée par la force et que la richesse était obtenue par la conquête, il y avait peu à conquérir, pourtant à travers les siècles de stagnation et de famine, les hommes ont exalté les pillards, comme aristocrates d’épée, aristocrates de naissance ou aristocrates de bureau, et méprisé les producteurs comme esclaves, traiteurs, marchands — et industriels.”
“À la gloire de l’Humanité, il y avait, pour la première et seule fois de l’Histoire, un pays d’argent — et je ne peux donner de tribut plus élevé ou plus révérend à l’Amérique, puisque ça veut dire : un pays de Raison, de justice, de liberté, de production et d’accomplissement. Pour la première fois, l’esprit et l’argent de l’Homme ont été libérés, et il n’y avait plus de fortunes par conquête, mais seulement des fortunes par le travail et, au lieu d’hommes d’épée et d’esclaves, il est apparu le véritable créateur de richesse, le plus grand travailleur, le plus valeureux type d’être humain — le parvenu — l’industriel américain.”
“Si vous demandez quelle est la plus fière distinction des Américains, je choisirais — parce qu’elle inclue toutes les autres — le fait qu’ils sont le peuple qui a créé l’expression «faire de l’argent». Aucun autre langage ou nation n’a jamais utilisé ce terme avant ; les hommes ont toujours considéré la richesse comme étant une quantité statique — à saisir, mendier, hériter, partager, piller ou obtenir en guise de faveur. Les Américains furent les premiers à comprendre que la richesse doit être créée. Les mots «faire de l’argent» contiennent l’essence de la moralité humaine.”
“Pourtant, ce sont les mots pour lesquels les Américains ont été dénoncés par les cultures pourries des continents de pillards. Maintenant, le credo des pillards vous a amené à considérer vos plus grands accomplissements comme une marque de honte, votre prospérité comme culpabilité, vos plus grands hommes, les industriels, comme des abuseurs, et vos magnifiques usines comme le produit et la propriété du travail musculaire, le labeur des esclaves sous le fouet, comme les pyramides d’Égypte. La fripouille qui minaude qu’il ne voit pas de différence entre le pouvoir du dollar et le pouvoir du fouet devrait apprendre la différence sur sa propre peau — comme, je crois, il le fera.”
“Jusqu’à ce que, et à moins que vous ne découvriez que l’argent est la racine de tout bien, vous demandez votre propre destruction. Quand l’argent cesse d’être l’outil avec lequel les hommes traitent entre eux, alors les hommes deviennent les outils des hommes. Le sang, les fouets, les fusils — ou les dollars. Faites votre choix — il n’y en a pas d’autres — et votre temps tire à sa fin!”