Alors que le cours d’Éthique et culture religieuse sert à détruire les repères culturelles et historiques de nos jeunes pour mieux leur enfoncer l’idéologie de la Mère Térésa des pauvres dans le fond de la gorge et, ainsi, permettre à John-James Charogne de nous servir sa dictature monarcho-fédéraste ad vitam eternam, on refuse que nos jeunes se fassent enseigner l’Histoire du Canadien de Montréal, la plus grande institution sportive du Québec, et on refuse que nos enfants goûtent à des p’tits gâteaux Vachon dans leur garderie.
De plus, l’État veut vous interdire de fumer une cigarette dans VOTRE char. Je ne suis pas fumeur, mais j’appuie les fumeurs dans leur lutte, car ça en est une, pour la reconnaissance de leurs droits civiques et pour leur droit de fumer dans les bars, les discothèques, de même que dans LEUR char et dans LEUR maison. On n’est pas dans 1984 de George Orwell ici et encore moins à Cuba. L’État n’a pas à leur dire quoi faire. Ces gens-là paient déjà leur cancer du poumon au prix fort.
Maintenant, c'est au tour de McDonald’s de subir les foudres des ayatollahs anti-malbouffe, les nouveaux curés du Québec. Pourquoi? Imaginez-vous donc, vous, que, lors des éditions 2007 et 2008 de l’émission Ciné-cadeau, une émission qui passe à Télé-Québec durant les vacances de Noël et qui nous passe, d'années en années, les mêmes maudits vieux films en comique d’Astérix, de Lucky Luke, de Tintin et de Garfield, il y avait une publicité qui mettait en vedette un arbre de Noël et dont la plus haute branche de cet arbre de Noël n’était pas décorée d’une étoile, mais plutôt d’un petit «M», soit le «M» que l’on peut voir sur le logo de McDonald’s et la marde a pogné à cause de ça.
L’article ici!
Ridicule! La prochaine cible des ayatollahs anti-malbouffe devrait être les Kinders Surprise, ces p’tits oeufs en chocolat où il y a un p’tit jouet à l’intérieur. Non mais, pensez-y un peu : ces oeufs incitent les enfants à manger du chocolat! Yark! Caca! Ce n’est pas des fruits, ni des légumes. Yark!
Pourquoi pas, hein? Après tout, l’année passée, n’a-t-on pas gâché la journée d’Halloween de nos enfants en les privant de leurs bonbons pour cette journée spéciale, tout en leur interdisant d’amener leurs propres bonbons à l’école, ordre des grands gouroux étatiques du système d’éducation québécois que sont les connes-missions scolaires (que l’on abolisse ces merdes bureaucratiques, inutiles et coûteuses, calice!) et qui savent plus que nous ce qui est bon pour nous, comme vous êtes supposés, tous et toutes, de le savoir?
Trêve de plaisanterie! Moi, quand j’étais jeune, j’ai connu les publicités subtiles que McDo faisaient pour les enfants avec le clown Ronald McDonald. J’avais comme 9 ans, à peu près. Ça ne me dérangeait pas et je ne faisais pas suer mes parents pour qu’on aille manger chez McDo à tous les jours. De toute façon, à l’époque, le McDo de notre quartier avait un grave problème d’hygiène, car, à l’entrée du restaurant, entrée qui était juste à côté des toilettes, ça sentait juste la vieille pisse mélangée avec de la transpiration, ce qui me dégoûtait un peu du McDo du quartier où nous vivions, moi et mes parents. Je préférais aller au Normandin ou au Saint-Hubert.
Oui, je mange de la poutine. Oui, je mange des frites. Oui, je mange des hamburgers. Oui, je mange des hot-dogs. Oui, je mange de la pizza. Oui, je mange du poulet fris. Oui, je bois des boissons gazeuses. Pourquoi? Parce que c’est MON choix! De plus, je mange des salades et des repas convenables et aussi des sandwiches et des sous-marins, le tout quand ça me tente et quand j’en ai le goût. C’est ce qu’on appelle le libre-choix. Pourquoi ne faisons-nous pas confiance aux enfants là-dessus, au lieu de leur dire quoi manger et ce qui est bon pour eux, hein? Ce ne sont pas des êtres humains?
Le gouverne-maman du Parti des guidounes charognardes soi-disant libérales du Culbec nous a dépouillé de notre droit de manger et de boire ce que l’on veut en retirant les poutines, les hot-dogs, les hamburgers, les pizzas, le poulet fris et les frites des lieux publics et spécialement à l’école et en ostracisant les gros et les fumeurs, s’en prenant ainsi à notre liberté de choix et à la liberté de faire ce que l’on veut de notre propre corps. En tant qu’être humain doué de la Raison, je suis le seul et unique maître de mon propre corps et je suis le seul et unique responsable de ce que j’en fais.
En me retirant ce privilège, que dis-je, ce droit inaliénable dans une société libérale et démocratique, le gouverne-maman soi-disant libéral de John-James Charogne a opéré la nationalisation de ce que moi, être humain, j’ai de plus précieux : mon corps!
C’est du socialisme à la puissance 10.
Bienvenu au Québec, là où le corps d’un être humain est la propriété de l’État par des mesures étatistes des plus totalitaires, coercitives, répressives et violentes, afin de contrer la liberté des hommes de faire ce que bon leur plaît, de même que face à leur droit de vivre!
J’en entends gueuler la chose suivante : «Oui mais, il devait agir. C’est tu pas effrayant le taux d’obésité chez nos jeunes?», le tout en brandissant la croix de la rectitude politique et le crisse de chapelet étatiste du Culbec qui est digne des pires réflexes idéologiques de Che Guevara.
Oui, le taux d’obésité chez les jeunes est inquiétant, mais si ces jeunes sont quand même bien dans leur peau en étant comme ça et qu’ils préfèrent avoir un bon hamburger dans le corps, plutôt qu’une crisse de carotte, qui suis-je, moi, pour aller leur enlever le droit d’être bien dans leur peau, malgré leur obésité, hein? Si ils sont corrects comme ça, grand bien leur fasse et ce n’est pas moi qui vais les en empêcher! De plus, il y a plusieurs jeunes obèses qui commencent à se prendre en main par eux-mêmes en commençant à aller au gym au moins deux ou trois fois par semaine et en délaissant progressivement la malbouffe.
C’est d’ailleurs ce que je fais : je mange ce que je veux, tout en marchant le plus possible pour les petits déplacements que j’ai à faire, je m’entraîne, je ne fume pas et je prends soin de mon corps par moi-même et là, le gouvernement brime mes libertés et mes droits civiques en me disant quoi faire avec mon corps et quel style de vie à adopter (le «bon» style de vie, le meilleur du monde, bon!) pour 2-3 personnes qui ne mangent que du fast food, qui fument à tour de bras et qui ne prennent pas soin de leur corps? Mais, si ils sont heureux comme ça, grand bien leur fasse et, sinon, ben, c’est leur problème et pas le mien!
Bref, la violence étatique de la charogne soi-disant libérale ne sert strictement à rien. L’individu est capable de vivre et de régler ses problèmes par lui-même. On n’a pas besoin du socialisme de John-James Charogne pour le faire à notre place. Moi, je mange et je bois ce que je veux, quand je veux, où je veux et comment je veux et que Charogne essaie de m’en empêcher, juste pour voir si il est un homme ou bien si Michou préfère les lâches et les dégonflés qui se cachent derrière la violence étatique pour justifier le retrait de nos libertés et de nos droits civiques les plus inaliénablement individuels et privés, car, ce qu’il y a dans mon assiette, ça ne regarde que moi et personne d’autres. C’est une intrusion de l’État dans quelque chose que l’individu a de plus personnel, soient ses goûts alimentaires, sa façon de se nourrir et le soin de son corps et ça, on ne retrouve même pas ça à Cuba.
Mère Térésa David dans les cours de religion d’État (ECR), ça passe, mais le Canadien de Montréal à l’école, de même que la malbouffe dans les écoles et dans les autres lieux publics, ça ne passe pas! Trouvez l’erreur!
Arrêtez de m’en conter des belles!
Quand on est rapide, à l’image des gau-gauchistes étatistes de l’OPC, à tirer sur la gâchette en demandant l’intervention de l’État pour donner les bonnes valeurs, le «bon» menu alimentaire et le «bon» style de vie à nos jeunes, tout en ostracisant les résistants qui s’opposent à l’établissement de cette culture de la pensée unique, c’est de l’étatisme.
Quand on utilise les enfants à des fins de propagande pour mieux perpétuer l’image des «pôves z’enfants» victimes de «la méchante publicité des maudits fast food» et qu’on désigne toujours le même maudit coupable, soient «les maudites compagnies voraces et sans-coeur», pour cultiver le ressentiment populaire et, ainsi, légitimer leur croisade étatiste anti-malbouffe et anti-fumeurs, ça n’a rien à avoir avec le linceul de la protection des enfants dans lequel les ayatollahs anti-malbouffe et anti-fumeurs du gouverne-maman se drapent pour avoir les médias de leur bord, mais bien avec l’anti-capitalisme.
Quand on réclame l’intervention de l’État pour stigmatiser une partie de la population qui est, dans ce cas-ci, les gros pour les ayatollahs anti-malbouffe, les fumeurs pour les ayatollahs anti-fumeurs et les droitistes pour les concepteurs du cours d’Éthique et culture religieuse, afin de la faire «rentrer dans le rang», le tout en mettant le poing sur la table et en la forçant à manger des aliments qui est bonne pour sa santé, en lui imposant, par la coercition étatique, LE style de vie à adopter et en l’«éduquant» politiquement par de la propagande communiste acceptée par l’État, afin que celle-ci puisse répondre aux critères de santé et aux critères politiques d’un profil politico-social pré-déterminé par les pouvoirs étatiques, c’est, définitivement, de l’étatisme.
Vouloir que l’État intervienne de tout son poids pour contrôler le profil politico-social de sa population, c’est déjà un pouvoir de plus qu’on lui donne, autre que le rôle minimal qu’il devrait avoir et c’est déjà un pouvoir de trop.
Beaucoup trop même!
Recourir à l’État, comme le proposent les ayatollahs anti-malbouffe et anti-fumeurs et les concepteurs du cours d’ECR, pour que celui-ci se substitue aux individus, afin de statuer sur une partie de ce qu’ils ont de plus personnel, soit leurs goûts alimentaires, leur façon de se nourrir, le soin de leur corps et leurs opinions politiques, en leur imposant le choix du contenu de leur assiette et de leur cheminement idéologique et politique, au lieu de, tout simplement, faire de la prévention et leur apprendre COMMENT penser et non pas QUOI penser, est une intrusion dans la vie des gens, tout cela, afin de soi-disant s’assurer d'une homogénéité politico-sociale dans la population, c’est inadmissible, même d’un point de vue pragmatiste sur la question!
C’est contraire aux valeurs libertariennes et même à la valeur de la liberté. Prétendre être pour la liberté des gens ou pour la liberté tout court dans de telles conditions ne veut absolument rien dire, à toutes fins utiles. C’est presque aussi pro-liberté que le pape est pour l’avortement, c’est-à-dire, pas du tout!
De plus, le ministre responsable de la nationalisation des corps, Yves Bolduc, n’a aucune crédibilité, ni aucune leçon de morale à donner sur ce que nous devons manger et comment nous devons vivre, car ses parents possèdent un fast food et il a des parts là-dedans. C’est un très bel exemple de «Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais!».
Alors, moi, je dis : laissons les gens vivre leur vie comme bon leur semble et laissons-les régler leurs mauvaises habitudes par eux-mêmes, comme des grands êtres humains doués de la Raison! Il est inutile, voire même complètement dangereux, de retirer la malbouffe des lieux publics et de gâcher la journée d’Halloween de nos enfants et de leur dire ce qui est bon pour eux, en plus de ne pas laisser les fumeurs respirer en paix, alors qu’on sert, à ces mêmes enfants, la «bonne» idéologie de la Mère Térésa des pauvres par en-arrière dans leurs cours de religion d’État, car, ce faisant, c’est l’État qui détermine quelles doivent être nos opinions politiques et ce que nous devons avoir dans notre assiette et quel devrait être notre style de vie, tout en nous dictant le menu que l’on doit prendre, le style de vie à adopter et nos modèles politiques à suivre pour être un «vrai p’tit citoyen de l’État», comme c’était le cas en URSS.
Je suis mon propre citoyen. Mon corps, c’est mon corps. Ne le nationaliser pas! Merci quand même, mais je suis le seul à savoir ce qui est bon pour moi et ce que je veux manger et boire et je suis capable de faire mon propre cheminement idéologique et politique par moi-même, point à la ligne. Ce n’est certainement pas une bande de lologues enfermés dans leur tour d’ivoire de philo à l’université et qui copinent avec l’État qui vont venir me dire quoi faire et quoi penser, car l’être humain EST la Raison.
La croisade étatiste anti-malbouffe et anti-fumeurs de la charogne et des connes-missions scolaires qui dictent à leurs élèves quoi penser, quoi manger et qui se permettent de gâcher leur journée d’Halloween et à faire la vie dure aux fumeurs, je les emmerde tous les deux, du premier jusqu’au dernier responsable de ces deux merdes socialistes, anti-individus, anti-libertés, étatistes et violentes et je ne suis pas moins Québécois pour autant. Compris Ti-Gilles?
L’État n’a absolument rien à faire dans les assiettes des gens et encore moins dans leur estomac, dans leur corps ou dans leur cheminement idéologique et politique. Ça ne regarde que les gens eux-mêmes et les publicités ne jouent qu’un rôle mineur dans nos choix de vie.
Mes jeunes cousins qui sont au secondaire ne sont pas influencés, quand ils voient le logo de McDonald’s à la télé, tout comme moi je n’étais pas influencé par ça quand j’avais leur âge. Pour votre information, j’ai 21 ans et mes jeunes cousins ont entre 12 ans et 14 ans et ce ne sont pas des cruches vides que l’on remplit avec la publicité et moi non plus, d’ailleurs.
L’OPC perd, donc, son temps et sa crédibilité en accordant de l’importance aux ayatollahs anti-malbouffe et anti-fumeurs et, selon moi, elle sort de son rôle. En ce qui me concerne, l’OPC devrait seulement être un organisme indépendant du gouvernement au service des consommateurs, afin de les aider à obtenir justice quand ils se font crosser par une compagnie ou par un vendeur qui leur a vendu de la camelote ou qui ne leur a pas donné un bon service. Ça ne me dérangerait même pas de payer (volontairement, bien sûr) pour une telle OPC, mais jamais je ne le ferai pour l’OPC actuelle qui veut contrôler nos vies, comme si on était dans le roman 1984 de George Orwell.
Si on continue sur la lancée actuelle, je vous le dis, dans 5 ans, le Québec aura, définitivement, battu Cuba en terme de dictature socialiste et Big Brother. On pourra remercier, à la fois, les ayatollahs anti-malbouffe et anti-fumeurs et les concepteurs du cours d’Éthique et culture religieuse.
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Hahaha je suis complètement d'accord, d'autant plus que bannir le fast-food dans les écoles n'empêche pas pour autant les jeunes d'en manger... J'ai fait mes études secondaires à Lévis, et les écoles sont toutes situées à proximité de restaurants, alors les jeunes n'avaient qu'à y aller à pied s'ils voulaient en manger... cela leur faisait faire de l'excercice, haha.
RépondreSupprimerD'ailleurs, comme on me l'a toujours dit, tout est bon pour la santé, c'est l'excès qui ne l'est pas.
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RépondreSupprimerLe gros problème là-dedans c'est que de créer des interdits incite les gens à consommer davantages, c'est plus tentant et il y a une notion de danger associée. C'est pourquoi la prohibition de l'alcool aux USA a été un échec lamentable, on a vu leur consommation d'alcool augmenter, en plus de pratiquement inventer le crime organisé. Dans la même veine, depuis que les policiers de Québec donnent moins de tickets comme moyen de pression pour leur convention collective à Québec, on a vu le nombre d'accidents diminuer. La répression ça marche pas toujours bien, j'aime mieux responsabiliser les gens et leur faire confiance. Le problème c'est aussi notre système socialiste, où chaque fois que quelqu'un fait quelque chose de tout croche, les autres sont responsables de payer pour ses erreurs.
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RépondreSupprimerComme vous voyez, j'ai fait le ménage dans la section «Commentaires» de ce billet.
RépondreSupprimerÀ ceux et à celles qui ont vu leur commentaires effacés, si vous n'êtes pas capable de débattre de façon polie et respectueuse et de contre-attaquer mes propos avec des arguments logiques, au lieu des insultes gratuites et des jeux d'enfants complètement ridicules, il y a la swamp à Richard Têtu, là où vous serez sûrement à l’aise.
C'est bien beau faire confiance à l'honneur des commentateurs(trices) qui écrivent des commentaires ici, mais la gestion d'une garderie, ça ne m'intéresse pas.
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