dimanche 5 juillet 2009

Bagarres au hockey : indispensables, faux débat et preuve de l'ignorance crasse de Patrick Lagarce concernant notre sport national










Non, mais pensez-y un peu! Après les bagarres, il faudrait penser à éliminer les tirs frappés, car ils représentent des risques de blessures pour les joueurs. Il faudrait aussi songer à bannir les mises en échec et empêcher tout joueur de 220 livres et plus d'évoluer dans les rangs juniors. Un coup parti, on ferait aussi bien d'enlever les lames sous les patins, car les joueurs peuvent se couper. On pourrait, ainsi, faire revivre la ligue de roller hockey.


- George Laraque



Venant de Marie-Claude Lortie, je peux comprendre, car les fémi-fascistes ne connaissent presque rien au sport! Mais, venant de Patrick Lagarce, qui est un homme, c’est inacceptable!


Patrick Lagarce devrait penser à se recycler pour aller faire une job qui serait un peu plus à sa mesure (voir la photo ci-haut!), car, comme journaliste, ça fait dur en maudit.
Son billet d’hier sur les bagarres au hockey me prouve non seulement qu’il ne connaît rien à notre sport national, mais, en plus, qu’il ne fait que recracher les grandes lignes de tous les médias féminisés par les fémi-fascistes, les hommes roses (le genre de «gars» que l’on peut voir dans les merdes culturelles que sont Zouf Story et Pénétration débile) et le gouverne-maman.

Pour ceux et celles qui m’ont suivi depuis mars 2008, vous devez déjà savoir ma position sur les bagarres au hockey : je suis totalement pour et je trouve qu’il ne s’agit, ni plus, ni moins, que d’un faux débat, une non-nouvelle et un non-événement.

Les bagarres font partie du hockey et la ministre
Michelle Courchesne n'a aucun droit de féminiser notre sport national. Premièrement, elle n’en a pas le mandat et je ne me rappelle pas d’avoir voté OUI pour ça. Deuxièmement, même si elle avait ce mandat, elle agirait dans l’illégalité en poussant le concept de l’étatisme et de l’interventionnisme à un sommet jamais vu dans l’Histoire de l’Occident, où c’est le gouverne-maman qui dicte les règles du sport national d’un pays quelconque à une ligue sportive, soit, dans ce cas-ci, la Ligue de hockey junior majeur du Québec (la LHJMQ) et en outrepassant les compétences et les pouvoirs de l’État pour tasser la LHJMQ qui fait, quand même, du bon travail pour former les jeunes joueurs de hockey. Ce genre d’intervention étatique, on retrouve ça dans les dictatures et non pas dans les démocraties libérales.

Les bagarres aident les jeunes joueurs à se préparer pour une carrière professionnelle. Si la Courchesne parvient à empêcher les bagarres dans la LHJMQ, les jeunes joueurs de cette ligue ne seront jamais prêts, par la suite, à faire le saut chez les professionnels, j’en suis convaincu. À jouer au hockey sans le moindre élément de robustesse, tout le monde va récolter 100 points dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec. Je sais que ça ferait bien l’affaire de Patrick Lagarce et de Michelle Courchesne qui vivent dans leur merveilleux monde fantasmagorique du «tout le monde est beau, tout le monde est fin, tout le monde est égal», mais ça ne marche pas comme ça dans le monde du sport.

Dans le monde du sport, c’est «t’es le plus fort, t’es le plus gros, t’es le plus rapide, une tape sur l’épaule pis va nous gagner la game pis donne-toi pour ton équipe en allant manger la bande, en complétant tes mises en échec, en allant chercher
la puck dans le coin, en contournant les défenseurs et en déjouant le gardien pis, si tu dois jeter les gants pis te battre pour y arriver, ben, fais-le, mon champion, toi!».


Pour avoir jouer
au hockey cosom au secondaire, je sais ce que c’est. Je le sais que le hockey cosom n’est pas du hockey sur glace, mais c’est le seul sport que j’ai déjà fait qui se rapproche le plus du hockey sur glace, alors je prends cet exemple-là, car je crois que c’est presque pareil dans toutes les ligues de hockey (pee-wee, junior AAA, junior majeur, alouette).

Si vous voulez voir un sport qui se joue sur la glace sans voir de bagarres, il y a
le curling et le patinage artistique, deux sports de filles et/ou de gays que je ne regarde pas, ou alors, il y a le tricot, un sport de vieilles matantes.

Je cite un des billets que j'ai écrit sur mon ancien blogue en plein cœur
du non-événement entourant Patrick Roy et son fils, source de la croisade opportuniste de la ministre.




Le hockey est un sport de tuffs. C'est donc normal qu'il y ait des bagarres, lors de matchs de hockey, car ça fait partie du sport. Si vous n'aimez pas ça, ben regardez autre chose, ce n'est pas plus compliqué! Le gouvernement n'a rien, mais alors là strictement rien à faire là-dedans. Ce que la ministre Courchesne a fait, on appelle ça de l'opportunisme politique. De plus, je voudrais que nos bons journalistes me disent ce que la mère de Jonathan Roy vient faire dans cette histoire, car lorsqu'on ouvre le Journal de Québec, on peut lire la réaction de la mère de Jonathan. Si le jeu est de recueillir tous les commentaires des personnes qui entourent Jonathan, j'attends les commentaires de son coiffeur, de son professeur de première année, de son dentiste, de la madame qui le gardait quand il était bébé, du propriétaire du dépanneur où il achète sa bière, de la caissière qui lui a déjà servit une poutine chez Chez Ashton, etc.





Vous voyez? On nage en plein battage médiatique sur un non événement, et ce, depuis plus d’un an. Je crois qu’il faudrait, collectivement parlant, en revenir et prendre nos calmants.

Il y a eu
une bagarre entre l’Océanic de Rimouski et le Drakkar de Baie-Comeau et personne n'en a parlé autant. Il y a eu une bagarre dans la LNH entre les Flyers de Philadelphie et les Rangers de New York et personne n'en a parlé autant. Patrick Roy s'est fait jeter une bouteille d'eau glacée qui a atterri sur la patinoire, lors d'un match entre les Remparts de Québec et les Saguenéens de Chicoutimi au Colisée de Québec et aucun média n'en a parlé.


J'aime les bagarres au hockey, car toutes les frustrations et le stress accumulés dans notre quotidien sont évacués par l'adrénaline que procurent ces bagarres pour les fans de hockey. Mieux vaut évacuer ses frustrations et son stress dans le hockey que sur la société, non? Un bon match de hockey avec une bonne bagarre à la moitié du match, ça m’a toujours calmé et je me sens libérer de plusieurs tensions en regardant ça! Je suis comme ça et je ne peux rien y faire.


J’aime regarder ça, car je me sens beaucoup mieux après. Les montées de testostérone que me procurent ces bagarres me servent à éliminer le stress de mes journées, que ce soit au travail ou à l’université. Par contre, jamais je ne regarderai un sport arrangé comme la lutte ou un sport terne et monotone comme le baseball, le curling ou le patinage artistique. Les bagarres donnent vie au hockey, un sport qui est fait pour avoir du fun en gang et Patrick Roy se charge parfois de partir le party, lors des matchs des Remparts. Est-ce un crime?

Si on enlève ça, ce sera la fin assurée de l'essence même de notre sport national, grâce à l'opportunisme politique de
ce gouvernement corrompu (soutenu par Power Corporation-La Paresse-GESCA) qui dirige le Québec uniquement pour graisser ses amis. Il faut être communiste et opportuniste en maudit pour empiéter dans les plates-bandes de Gilles Courteau, commissaire de la LHJMQ. La LHJMQ n'est pas une société d'État. Le gouvernement n'a donc aucun droit de dire à la LHJMQ comment régler le dossier, car Gilles Courteau est la seule personne à le savoir et la ministre n'a rien à faire là-dedans. C'est Gilles Courteau qui va prendre la décision qui s'impose.

Justifications d’une bagarre


Dans un match de hockey, il existe de nombreuses raisons pour l’éclatement d’une bagarre. Ça peut être des raisons collectives d’équipes liées directement au match comme ça peut être des histoires personnelles entre joueurs.

Raisons collectives

La première raison d’équipe est la revanche et l’intimidation. Ainsi, quand le jeu développé par une équipe ne correspond pas à celui que souhaiterait développer l’adversaire, le goon pourra être envoyé sur la glace par son entraîneur-chef pour déclencher une bagarre et tenter de changer le cours du match.


Les goons peuvent également déclencher une bagarre, lors d’un match, quand ils sentent que leur équipe perd pied. Ils essaient, alors, de créer un choc psychologique chez l’autre équipe. Ces bagarres concernent souvent deux goons, mais le goon d’une équipe peut également choisir comme cible de la bagarre un joueur particulièrement en vue et en forme dans l’équipe adverse. Ce type de bagarre a d’autant plus d’effet quand l’équipe joue à domicile et fait chavirer les supporters, créant ainsi une ambiance particulière sur la suite du match. Malgré tout, l’avantage psychologique peut se retourner vers l’autre équipe. Dans les années 1970, les Flyers de Philadelphie étaient surnommés les «Broad Street Bullies» et ils étaient réputés pour leur style de jeu brutal et particulièrement violent.

Patrick Lagarce n’aurait jamais tenu le coup contre eux et il aurait trouvé qu'à côté de ça, les bagarres dans la LHJMQ ne sont que des p'tites taloches de bébés.

L’intimidation est un facteur très important dans le monde du hockey et un joueur (ou un goon) pourra chercher à déclencher une bagarre uniquement pour montrer qu’il n’a pas peur de laisser tomber les gants et de se battre. Ainsi, dans les années 1950,
le grand Gordie Howe, qui était dans la fleur de l’âge, réussit à prendre le dessus sur Lou Fontinato, goon connu du circuit et accumulant près de 1200 minutes de pénalités au cours de sa carrière. Suite à cet incident, Howe fut beaucoup plus libre de ses mouvements, lors des matchs, et inscrivit un grand nombre de buts qui inspiraient de la crainte à ses adversaires.

Une autre cause possible pour le déclenchement d’une bagarre au hockey est le score du match. Quand une équipe sent qu’elle perd le match assez sévèrement et qu’elle doit rencontrer la même équipe quelques jours plus tard, il n’est pas rare de voir des combats éclater à la fin du match, l’équipe menée tentant d'intimider l'adversaire pour le prochain match. Les goons de l’équipe battue ont également tendance à cibler les meilleurs joueurs de l’équipe adverse pour les faire réagir et leur faire perdre patience.

Une des dernières raisons d’équipe est donc la protection du joueur-clé de l’équipe, protection que l’on a pu voir dans
la LNH, quand Wayne Gretzky a débuté sa carrière et que l’on a également pu voir en 2007 avec l’arrivée de Gary Roberts chez les Penguins de Pittsburgh pour protéger Sidney Crosby.

Raisons personnelles

Beaucoup de jeunes goons doivent prouver à leurs dirigeants qu’ils ont fait le bon choix, et ce, très rapidement dans leur carrière. Ainsi, un goon évoluant dans
la LAH et à qui on donne une chance de jouer dans la LNH cherchera à montrer par tous les moyens aux dirigeants, mais aussi aux supporters et à ses coéquipiers, que les dirigeants ont fait le bon choix en lui confiant le rôle de goon de l’équipe.

Il existe également
des rivalités historiques entre la plupart des équipes, mais aussi un passé entre certains joueurs des différentes équipes. Ce passé fait souvent ressortir des rancoeurs se réglant, quelques fois, sur la glace. Par exemple, dans la LNH, les années 1990 furent marquées par une grosse rivalité entre les Red Wings de Détroit et l’Avalanche du Colorado et je ne parle même pas des matchs mémorables entre le Canadien de Montréal et les Nordiques de Québec.

Où tracer la ligne?

Où est-ce que la ligne de démarcation entre une bagarre de hockey et une agression sur glace, comme dans
cet incident malheureux qui s’est produit à Mouyial et qui fait le bonheur de Patrick Lagarce et de Marie-Claude Lortie pour leur permettre de vomir sur les bagarres au hockey, doit-elle être tracée?


Oui, il faut se poser cette question-là pour éviter que cette histoire, ou encore la foire spectaculaire de l’année passée avec Jonathan Roy, se répète, mais Gilles Courteau est la seule personne qui répondra à cette question, car c’est lui qui dirige la LHJMQ et non pas le gouverne-maman et, que ça plaise ou non à la ministre Courchesne, elle devra vivre avec cette décision. Si elle n’est pas contente et qu’elle ne ronge pas son frein, j’ai bien peur que, par simple rancune personnelle mélangée à une surdose de pouvoirs, elle décide de
nationaliser la LHJMQ pour féminiser le hockey à son avantage (la conséquence d’avoir donner le dossier du sport à une femme qui, visiblement, ne connaît pas plus le hockey que ses dossiers à l’Éducation). Ce serait un pur non-sens à mon avis et l’une des plus belles preuves que nous vivons presque dans un Cuba du Nord. Ça nous montrerait aussi le vrai visage du Parti des guidounes charognardes soi-disant libérales du Culbec.

En passant, les bagarres au hockey ne sont pas illégales. Tu ne cours pas une suspension parce que tu t'es battu. Tu t'en vas au banc pendant 5 minutes et c’est la fin de l’histoire. Dans la LNH, les bagarres sont presque arrangées avec le gars des vues : le joueur X de l'équipe A va se battre avec le joueur Y de l'équipe B à telle minute de la nième période. Ce n’est pas pour rien que les arbitres n’interviennent pas, quand il y a des bagarres dans la LNH, car c’est arrangé d’avance. Il ne faudrait pas que la LHJMQ imite la LNH, sinon j'en tiendrai notre bon gouvernement libéral corrompu comme étant le seul et unique responsable de ce gâchis historique, puisqu’il a osé s’incruster dans le dossier, alors qu’il n’en avait, ni le droit, et encore moins
la légitimité de le faire.

Patrick Lagarce, achète-toi donc un livre sur le hockey et un autre livre qui t’expliquera comment on forme des joueurs pour qu’ils puissent être aptes à atteindre la Ligue nationale de hockey! Au lieu de vénérer aveuglement le jour où la dictature étatique contrôlera les moindres parcelles de notre sport national, tu verras, en lisant sur le hockey, que sans les bagarres, la formation des joueurs est presque impossible à faire.

Même si l’incident dont il est question dans les médias est une agression et que le joueur fautif mérite de subir un procès pour avoir attaqué injustement un joueur de l’équipe adverse qui ne voulait pas se battre, éliminer les bagarres au hockey serait la pire chose que l’on pourrait faire pour la formation des jeunes joueurs et pas seulement parce que je suis un amateur de ces bagarres.

Il suffit seulement que Gilles Courteau mette son point sur la table pour civiliser ces têtes de linottes qui ne savent pas faire la différence entre une bagarre spontanée éclatant dans un match de hockey et une agression sur glace pure et simple. Mais, c’est à lui de décider si il doit le faire et non pas au gouvernement.

La LHJMQ civilisera ces têtes de linottes lorsqu’elle sera prête à le faire et cette action en sera une de volontaire de la part de cette ligue et non pas parce qu’elle aura été forcée de le faire par la dictature étatique qui
réglemente et qui légifère à tour de bras. Trop souvent les actions du gouvernement nous conduisent à une situation pire qu’avant la dite intervention, alors je conseille fortement à la ministre Michelle Courchesne de lâcher la frustration qui l’habite concernant le hockey, tout ça parce que son gars n’a pas réussi à atteindre la Ligue nationale, dans sa poche et de faire plutôt le ménage chez les hurluberlus à barbichette de son ministère qui imposent à nos enfants des cours au contenu fort douteux pour façonner le Québec à leur image.


Mais, là-dessus, je ne me fais pas trop d’illusions, le PGCSDLCUL étant encore plus étatiste que
le PQ.

Parlant de hockey justement…

Le Canadien de Montréal semble être sur la voie de
se construire une vraie équipe. Mais ça, je vais le croire quand je vais le voir, même si les départs de Christopher Higgins et de Saku Koivu pour les arrivées de Scott Gomez, de Brian Gionta et compagnie me réjouissent au plus haut point.

Ça s’annonce bien pour l’année prochaine, mais je suis un peu triste des départs
d’Alex Kovalev et d’Alex Tanguay. Dans le fond, je les aimais bien, même si ils se sont pognés le cul cette année. Parfois, le monde du sport est vraiment un monde cruel.

Avez-vous compris, les hommes roses, les fémi-fascistes et les Patrick Lagarce de ce monde qui crachez sur les bagarres au hockey, hein?

MONDE DU SPORT = MONDE CRUEL!!!!!!

Ça fait que vivez avec ça ou ignorez ce sport, car il n’est pas pour vous!

6 commentaires:

  1. C'est un texte bourré de préjugés tellement grossiers. C'est quoi le rapport des sports de gais? T'aurais pu mentionner la crosse tant qu'a y être!

    Antoine

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  2. Pendant que des milliers de jeunes québécois servent de punching-bag aux brutes de leur école, le gouvernement veut interdire les batailles au hockey.

    Qu'un jeune soit quotidiennement victime de 5 ou 6 brutes, pas grave. On organisera une rencontre pour se parler après l'école. Une retenue pour les cas les plus graves.

    Mais quand deux jeunes de 16 ans s'affrontent volontairement dans un combat au hockey, c'est supposément intolérable. Il faut mettre fin à cela, et expulser de leurs ligues ceux qui se battraient encore.

    Bien sûr, il n'est pas question d'expulser les bullyeurs des écoles. C'est la violence au hockey qui est insupportable.

    Quand un joueur en attaque un autre qui ne se défend pas, on sort des combats normaux du hockey. Il reste que de tels combats sont le pain quotidien de certains jeunes dans les écoles. Et pourtant, ceux qui sont responsables, les bullyeurs, ne connaîtront jamais les problèmes qu'est en train de connaître Jonathan Roy.

    Je ne crois pas à la majorité de ceux qui sont contre les bagarres au hockey. Ils disent qu'ils sont contre la violence, toutes les violences. Mais on se rend vite compte, en leur parlant, que des violences encore pires ne les dérangent pas du tout.

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  3. Heureuxement, Alex ne sera pas trop loin à Ottawa. :)

    Pour ce qui est des bagarres, quoi dire part que je te donne le bon Dieu sans confession.

    En passant, tu es toujours no 1 dans le palmarès de mes meilleurs commentaires.

    Keep the good work dude ;)!!

    TM

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  4. Rien de plus plaisant que de voir des beaux mâles bien bâtis et musclés en train de se bagarrer! J'en ai la noune complètement mouillés juste à y penser!

    Femme Fontaine

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  5. Vive les hommes virils et machos avec des grosses queues et qui savent s'en servir pour faire jouir une femme.

    Femme Fontaine

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  6. Salut Jean-Luc !

    Tu m'avais invité à venir sur ton blogue via le blogue de Louis Préfontaine. J'avais dit que Québec était la destination in de l'été. Et je le pense toujours, malgré l'article de Sylvain Cormier dans le Devoir, qui met des bémols.

    J'avais répondu à ton billet sur Jackson, mais j'étais un anonyme. J'ai aimé ton commentaire sur le décrochage scolaire. J'en ai parlé sur mon blogue.

    J'aime bien tes commentaires, mais sur ton blogue tes billets sont longs. J'ai de la misère avec les billets longs, mais c'est ton style.

    Enfin, concernant la violence au hockey, eh ben d'après mon expérience, les femmes n'aiment pas la violence tout court. C'est pas leur trip comme on dit.

    Que peut-on y faire ? Rien. Et sans la violence, le hockey ce n'est plus du hockey. Le match des étoiles, il y en a par année et c'est suffisant.

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