La ville de Québec est le berceau de l’Amérique française et elle a été le théâtre de notre plus grande défaite sur ses belles Plaines d’Abraham en 1759. Si mes concitoyens de ma ville de Québec étaient cohérents avec cet héritage et étaient respectueux de cet héritage historique et linguistique, symboles même de ce qui caractérise un Québécois, soit la langue française et l’Histoire commune, le OUI serait supposé être plus fort à Québec que partout ailleurs au Québec, même que Québec serait supposée être beaucoup plus souverainiste et nationaliste que le Saguenay-Lac-Saint-Jean, autant dans les sondages passés, présents et futurs que dans sa manière de voter aux référendums et aux élections québécoises. Malheureusement, Québec a abdiqué son Histoire et donc, par extension, notre Histoire bien avant le reste du Québec. Le faible OUI de la région tire sa source du brainwashage de colonisé propagé quotidiennement par certaines grandes gueules monarcho-fédérastes de la radio-poubelle qui sévissait à Québec il y a quelques années, grandes gueules qui nous ont apprit que vivre en français et réussir en français au Québec était un rêve inaccessible pour nous, que l’anglais était LA langue commune de la réussite et que l’idée d’un pays était dépassée pour nous seulement, du snobisme péquiste face aux Nordiques qui venaient tout juste de nous quitter au référendum de 1995, du fait que les fonctionnaires de Québec étaient encore et sont toujours en crisse contre le PQ pour les coupes salariales massives de 1983 et d’une défunte mairesse monarcho-fédéraste et libérale mur à mur de Sainte-Foy qui était très populaire et populiste à un point tel que ses fans gobaient tout ce qu’elle racontait. Tous ces éléments ont privé Québec et le Québec des avantages de l’indépendance.
En 1995, on est passé à un cheveu de devenir la ville la plus importante du Québec, en tant que la Capitale nationale de ce nouveau pays. Notre ville aurait été sur la mappe au même pied qu’Ottawa et Washington, les deux autres capitales de l’Amérique du Nord. On aurait été un pôle d’attraction international phénoménal quand les grands de ce monde seraient débarqués chez-nous pour visiter le président de notre République et nul doute que les retombées économiques et politiques auraient été énormes pour nous, sans compter que l’indépendance aurait été le commencement de la réduction de la taille de l’État culbécois. Il n’y avait que des avantages à voter OUI pour nous et il n’y a que des avantages pour nous, mes chers concitoyens de la ville de Québec, à voter PQ pour pouvoir voter OUI en grand nombre à un référendum, tout comme l’indépendance n’a que des avantages pour moi qui suis libertarien.
Mais non! Chers concitoyens de Québec, vous vous êtes écrasés devant les «arguments anti-séparatisss», si on peut appeler leurs vomissures des arguments, des grandes gueules de la radio-poubelle d’autrefois et de la défunte mairesse populiste de Sainte-Foy qui voyaient des complots «séparatisss» partout. Vous avez bien rit du maire Jean-Paul L’Allier lorsqu’il a fait retirer le drapeau KKKanadian devant l’Hôtel de Ville de Québec, alors que ce fut l’une des rares fois où j’ai été d’accord avec lui, parce que lui, même si je le détestais, avait, au moins, le mérite de ne pas être à votre image, c’est-à-dire un colonisé. Il n’était pas un colonisé du style de notre maire actuel, Régis Labeaume, qui s’est écrasé littéralement devant l’Autorité impériale de l’envahisseur colonisateur britannique lorsqu’il a constaté que son peuple était représenté uniquement par notre reine-nègre, Michaëlle Jean, pour lancer avec lui les festivités du 400e anniversaire de Québec à Saint-Malo, en France, et qu’il était le seul élu québécois pour faire contrepoids à cette propagande monarcho-fédéraste qui a été non seulement servie par notre reine-nègre, mais aussi par le président Nicolas Sarkozy, le chum du sale terroriste anti-Afrique noire et anti-francophone, Paul «Barrick Gold» Desmardais, alors qu’il était obligé de le faire. Mais voilà, comme vous, il a préféré s’écraser et jouer à la carpette de notre reine-nègre, de l’envahisseur colonisateur britannique et d’Ottawa, tout comme il s’est écrasé en voyant, comme vous d’ailleurs, que notre Histoire a été occultée de notre 400e anniversaire par Ottawa, car ce n’était pas que le 400e anniversaire de la ville de Québec, c’était aussi le 400e anniversaire du berceau de l’Amérique française, et donc, de notre nation. Il n’y a pas à dire, vous êtes vraiment habiles pour donner des munitions à Mouyial dans sa haine anti-ville de Québec, ce qui lui sert bien pour mener à bien ses visées impérialistes sur tout le Québec.
Je n’ai pas entendu Régis Labeaume (souverainiste, mon cul, oui!) et vous tous lorsqu’on nous a imposé un spectacle 100% anglophone sur le théâtre de notre plus grande défaite comme giga-spectacle des célébrations du 400e. Que les choses soient bien claires! J’étais pour le spectacle de Paul McCartney et je trouvais que la croisade de Luc Archambeault et de Pierre Falardeau était de très mauvais goût! Ce que je dénonçais, c’était que ce spectacle était 100% anglophone, car la première partie de ce spectacle n’a pas été faite par Gilles Vigneault ou par Robert Charlebois ou par un chanteur francophone avec un répertoire francophone, bref, par un Québécois qui se tient debout, non. Cette première partie a été faite par nul autre que deux merdes culturelles qui trahissent toute notre Histoire et tous nos combats pour la survie de notre langue française : Paaaaaééééééééscale Pouéééééééééécarde et The Lost Fingers, des Québécois francophones qui ont un répertoire 100% anglophone mur à mur et qui n’ont aucune, mais là absolument aucune, putain de chanson francophone à nous présenter, alors que, même si elle ne rentre pas dans mes goûts musicaux, Céliiiiiiiiine a, au moins, le mérite d’avoir un répertoire anglophone ET un répertoire francophone, mais les deux merdes culturelles susmentionnées chantent strictement en anglais pour percer à l’inteeeeeeeeeeeerrrrrnational. «C’est en envoyant chier votre culture et votre Histoire et en adoptant celle des Anglais que vous allez réussir votre vie», dixit un ostie de colonisé et une ancienne grande gueule de la radio-poubelle qui sévissait à Québec autrefois et qui est aujourd’hui animateur à la télévision et député fédéral. Et vous, concitoyens de Québec, vous vous êtes amusés à cette première partie, au lieu de huer avec toute votre fierté nationale Paaaaaééééééééscale Pouéééééééééécarde et The Lost Fingers, alors que vos huées aurait pu être le commencement d’une sérieuse remise en question pour eux et ça aurait pu les forcer à se créer un répertoire francophone. J’aurai du respect envers ces deux traîtres, ainsi qu’envers d’autres traîtres de leur acabit comme Simple Plan, lorsqu’ils se créeront tous et toutes un répertoire francophone, à l’instar de Céliiiiiiiiiiiiine. Les chanteurs québécois ont le devoir moral d’avoir un répertoire francophone à présenter à leur public et à leurs fans.
Cette semaine, qu’est-ce que j’apprends, hein?
La Commission des champs de bataille nationaux, un organe du gouvernement fédéral qui gère les Plaines d'Abraham, organise cet été à Québec de nombreuses festivités pour commémorer la fameuse Bataille de 1759 entre les généraux Louis-Joseph de Montcalm et James Wolfe. C'est au cours de cette historique bataille, qui ne dura qu'une vingtaine de minutes, que la France perdit le Nouveau Monde au profit de l'Angleterre.
C’est quoi cette joke? On ne reconstitue pas une défaite aussi sanglante qui a marqué le début de notre génocide culturel. Le peuple qui a subit le premier Holocauste de l’Histoire de l’Humanité n’a pas à subir cette reconstitution d’une plaie historique de cette envergure, même si ça fait l’affaire d’Ottawa, de la carpette de guidoune charognarde soi-disant libérale qui nous sert de premier ministre du Québec, de l’Autorité impériale britannique et des descendants de l’envahisseur colonisateur britannique avec tout leur Quebec-bashing. En tant que nationaliste québécois francophone et souverainiste, ça me lève le coeur et le motif de la ministre Josée Verner disant qu’il faut se souvenir de notre Histoire ne tient pas la route une seule maudite minute. Les États du Sud américain reconstituent-ils la Guerre de Sécession pour se souvenir de leur défaite face aux États du Nord dans la libération des esclaves, hein? Bien sûr que non! Les Français reconstituent-ils les guerres napoléoniennes et la Guerre franco-allemande de 1870-1871 pour se souvenir de ces deux plaies dans leur Histoire, hein? Bien sûr que non! Les Allemands reconstituent-ils les deux guerres mondiales, le Traité de Versailles de 1919 et l’Holocauste pour se souvenir du pire chapitre de leur Histoire que constituent ces quatre événements, hein? Bien sûr que non! Tous les peuples veulent oublier les pires chapitres de leur Histoire et leurs pires défaites et le devoir de mémoire relié à ces dites défaites et à ces dits pires chapitres historiques, il se fait à l’école dans un cours d’Histoire du pays du dit peuple. C’est comme ça que chaque peuple transmet les informations sur les pires chapitres de son Histoire et sur ses pires défaites à la prochaine génération pour qu’elle puisse continuer le devoir national de mémoire. Mais nous, au Québec, on ne peut pas faire ça. John-James Charogne a aboli les cours d’Histoire au profit de l’anglais et de l’éducation physique, sans parler de la destruction de nos fromagers qui prouve son inculture. Mais, le Québec semble se satisfaire de ce génocide qui a été démarré par l’envahisseur colonisateur britannique et qui se poursuit par Charogne, puisqu’il a été réélu avec 42% des votes et 66 députés. On comprend pourquoi il se lave les mains de la reconstitution de la Conquête britannique qui ne sera en fait qu’une activité de propagande monarcho-fédéraste servie par Ottawa et appuyée par le très monarcho-fédéraste soi-disant journaliste impartial, André «agent officiel du PLC et du PLQ» Pratte.
Je vous conseille de vous méfier du rapace de Pratte comme de la peste. Vous, concitoyens de Québec, appuyez-vous cet affront envers nous, envers notre nation, envers le Québec, notre vrai pays, envers notre Histoire, envers nos enfants et envers notre ville, car ce qu’Ottawa propose par cette exercice de propagande, c’est, ni plus ni moins, de prendre la ville de Québec en otage, car la ville ne sera que le théâtre de toute cette propagande monarcho-fédéraste pour qu’on se sente encore plus petits devant le ROC, l’envahisseur colonisateur britannique et l’Autorité impériale britannique. C’est nous prendre en otage d’une façon clairement étatiste, le monarcho-fédérasme du KKKanada étant le système le plus étatiste qui soit pour maintenir un peuple enfermé et enchaîné contre sa volonté, tels des esclaves de l’Histoire où le KKKanada n’est que notre camp de concentration à ciel ouvert, voire même une dictature déguisée en démocratie, pour nous maintenir dans l’infériorité la plus totale et l’ignorance la plus abjecte, et ça, c’est tout le contraire de la définition de la liberté. Pour une fois dans votre vie, chers concitoyens de Québec, cessez de penser comme ces colonisés d’anciennes grandes gueules de la radio-poubelle d’autrefois et aux fonctionnaires de Québec, cessez de penser seulement à vos crisses de coupures salariales péquistes de 1983, alors que le gouvernement de René Lévesque n’avait pas trop le choix, PUISQUE L’ÉCONOMIE DU QUÉBEC ÉTAIT EN RÉCESSION! Réfléchissez un peu en êtres humains doués de Raison et affamés de liberté et répondez-moi : trouvez-vous cet affront et notre emprisonnement au KKKanada comme étant normaux? Wilfrid Laurier lui-même disait que les Québécois (ou les Canayans-français, si vous préférez) étaient prisonniers dans une cage dorée et portaient des chaînes en or aux pieds en restant dans le KKKanada. Ça, c’est un colonisé lucide, mais un colonisé lucide qui a profité lâchement de cette situation inacceptable en regardant son peuple de haut, car Wilfrid Laurier était un Québécois, ou un roi-nègre, qui s’est élevé au-dessus de nous, grâce au dévouement de l’Autorité impériale britannique et de l’envahisseur colonisateur britannique envers lui, afin que l’on oublie que nous avons été conquis et annexé par la force des armes dans la totale indifférence de la France, notre mère-patrie.
C’est ça notre Histoire. Nous avons été gouvernés par l’envahisseur colonisateur britannique par la force des armes et nous avons subis ses politiques génocidaires par la force des armes et du monarcho-fédérasme. Pensons seulement aux Murray, Carleton, Colburn, Shreyer, Hnyatychin, Clarkson, MacDonald, Borden, Mackenzie King, Diefenbaker, Pearson, Martin, Harper, Ignatieff, etc.! La même chose s’est produit avec les rois-nègres que nous avons aveuglement élu et qui ont été chargés ou qui sont toujours chargés de nous faire oublié notre Histoire. Pensons seulement aux Laurier, Saint-Laurent, Trou d’eau père et fils, Mulroney, Chrétien, Jean, Leblanc, Dion, Frulla, Charogne, Bachand, Beauchamps, Normandeau, Corbeil, Couillard, Bolduc, Gagnon-Tremblay, Sacoche-Forget, Hamarde, Després, Béchard, Courchesne, Boulet, Saint-Pierre, Blais, Johnson, Pettigrew, Coderre, Cannon, Verner, Bernier, Blackburn, Paradis, etc.! Nous avons même eu droit à des soi-disant défenseurs de notre nation, voire même des soi-disant libérateurs, qui ne sont en fait que de sales lâches profiteurs qui ne veulent que profiter de ce camp de concentration KKKanadian pour s’enrichir de façon la plus dégueulasse qui soit sur notre dos, tels des BS corporatifs. Pensons seulement aux Duceppe, Gauthier, Laframboise, Mourani, Crête, Gagnon, Guimond, Roy, Brunelle, Bouchard, Ménard, Ouellet, Carrier et tous les autres députés passés, présents et futurs de cette fraude électorale corrompue qu’est l’inutile Bloc! Nous sommes cuits de tous les côtés. Nous sommes infantilisés et nous avons le cerveau lavé. C’est donc tout à fait normal que toutes les crosses d’Ottawa passent comme lettre à la poste au Québec et surtout à Québec. Aucun parti fédéral ne respecte le Québec. AUCUN!!!!!! Alors, pourquoi devrions-nous rester dans cette position fortement humiliante de citoyens de deuxième classe au KKKanada, alors que nous pourrions se libérer de nos chaînes en or, sortir de notre cage dorée et se gouverner nous-mêmes dans notre pays, hein? C’est la question que je pose à mes concitoyens de Québec qui trouvent cette situation intolérable parfaitement normale.
En passant, en fin de semaine se tiendra à Québec le Red Bull Crashed Ice. Quand je pense que l’Italie a montré son patriotisme et sa fierté nationale en forçant Red Bull à traduire le nom de son produit en italien sur son territoire, c’est tellement triste de constater que nous sommes absolument incapables de crier qui on est comme peuple en exigeant de cette compagnie qu’elle traduise en français cet événement pour «Patinage extrême du Taureau rouge».
EN FRANÇAIS, PARTOUT AU QUÉBEC, ÇA URGE ET C’EST CAPITAL POUR LA SURVIE DE NOTRE LANGUE, CAR LE MONDE VA AINSI VOIR QUE NOUS SOMMES FIERS DE PARLER FRANÇAIS SUR NOTRE PROPRE TERRITOIRE ET CELA VA PEUT-ÊTRE FAIRE COMPRENDRE AUX IMMIGRANTS RÉCALCITRANTS QU’ILS DOIVENT PARLER FRANÇAIS POUR TRAVAILLER ICI ET COMMUNIQUER AVEC LES GENS D’ICI!!!!!!!!!!!!!!!!!
Affirmer une telle chose n’est pas du racisme, c’est tout simplement rationnel. Le Mouvement Montréal français fera ce combat à notre place. Je lui en remercie au nom de la survie de notre langue française qui est menacée partout au Québec et principalement à Mouyial, mais c’est notre combat à nous, gens de Québec. C’est nous qui devraient faire ce combat pour la survivance de notre langue et de notre nation, mais il faut croire que je parle dans le beurre.
Sachez une chose, concitoyens de Québec : tant et aussi longtemps qu’il me restera un souffle de vie et qu’il y aura encore sur ce territoire un seul maudit Québécois francophone fier de sa langue, de son Histoire et qui rêve de voir son peuple rayonné dans un pays normal, mon rêve et le rêve de René Lévesque ne mourra jamais. Ça vous fait peut-être chier en bons disciples des anciennes grandes gueules de la radio-poubelle d’autrefois, mais c’est la réalité. C’est la dure réalité et la dure marche vers le pays à faire. Nous n’aurons jamais cette fierté nationale qu’ont les Américains si nous ne nous donnons pas le coup de pied au cul nécessaire pour changer les choses et le changement passe nécessaire par la libération nationale de notre pays.
VIVE LE QUÉBEC LIBRE ET FRANCOPHONE!!!!!!!!!!!!!
"Patinage casse-cou Red Bull"
RépondreSupprimerCome on, patinage casse-cou, ça fait fif en criss là.
On s'en va voir quelque chose de cool (pardon branché) pas une scéance de patinage artistique à la passe-partout.
Et pourtant, l'Italie l'a fait en forçant le Taureau rouge à traduire le nom de son produit en italien sur son territoire national. Mais, nous, au Québec, dès qu'il est question d'affirmation nationale et de la langue, on se recroqueville dans notre coin, on se met à parler anglais à l'envahisseur colonisateur britannique et on s'excuse d'exister devant lui, tel des esclaves de l'Histoire.
RépondreSupprimerQuelques fois, je me demande si on mérite d'être souverain et libre.
P.S.: Personnellement, je m'en sacre du Patinage extrême du Taureau rouge, puisque aller voir des colons en manque de sensations fortes se péter la gueule, ça ne m'intéresse pas. Mais, puisque cet événement se déroule au Québec, pays francophone, et dans sa Capitale nationale par-dessus le marché, son nom doit être traduit en français. C'est un devoir moral du Taureau rouge.
Si Québec ne vote pas oui au référendum, c'est pour la même raison pour laquelle je ne voterai plus jamais oui: le projet souverainiste est porté par des morons.
RépondreSupprimerAussi simple que ça.
Quand un vrai leader portera le projet, qu'il ne perdera pas son temps à dénoncer McCartney ou le Red Bull Crashed Ice et qu'il aura comme projet en tant que PM de la province de faire du Québec le #1 au palmarès des États Nord-Américains de la liberté économique et tant qu'il fera le ménage dans la fonction publique et qu'il cessera de se mettre à genoux devant n'importe quel groupe de pression, qu'il soit de gauche ou qu'il soit des hommes d'affaires amis du pouvoir, Québec votera à coup sûr oui.
En attendant que ce leader se lève, je continuerai à me battre bec et ongles pour ne pas que le oui l'emporte et je m'excuserai jusqu'à la fin de mes jours d'avoir voté oui en 1995.
FBI, Feu Bum intello
Ville de Québec, ville lucide
Tant qu'à moi, le Québec parlera français tant et aussi longtemps que ça restera la volonté de la majorité de sa population.
RépondreSupprimerRed Bull ou McCartney ne rendent pas le Québec moins francophone, ce sont des détails.