Publié le 03 septembre 2009 à 09h53 Mis à jour à 09h58
Le libéral Jean D'Amour sous enquête
Tommy Chouinard
La Presse
(Québec) Le Commissaire au lobbyisme du Québec vient d'ouvrir une enquête sur Jean D'Amour concernant les activités de lobbying qu'il a exercées pour le compte d'une firme d'ingénierie avant d'être élu député de Rivière-du-Loup sous la bannière libérale le 22 juin dernier.
Jean D'Amour a été élu maire de Rivière-du-Loup en novembre 1999. Il occupé cette fonction jusqu'en février 2007, moment où il a fait le saut au provincial dans l'équipe de Jean Charest. Battu par Mario Dumont aux élections de mars 2007, il a, ensuite, travaillé pour la firme BPR comme directeur du développement des affaires dans le Bas-Saint-Laurent. Il a quitté ses fonctions le printemps dernier, lorsqu'il est devenu candidat du PLQ dans Rivière-du-Loup, à la suite du départ du chef de l'ADQ.
Le libéral Jean D'Amour sous enquête
Tommy Chouinard
La Presse
(Québec) Le Commissaire au lobbyisme du Québec vient d'ouvrir une enquête sur Jean D'Amour concernant les activités de lobbying qu'il a exercées pour le compte d'une firme d'ingénierie avant d'être élu député de Rivière-du-Loup sous la bannière libérale le 22 juin dernier.
Jean D'Amour a été élu maire de Rivière-du-Loup en novembre 1999. Il occupé cette fonction jusqu'en février 2007, moment où il a fait le saut au provincial dans l'équipe de Jean Charest. Battu par Mario Dumont aux élections de mars 2007, il a, ensuite, travaillé pour la firme BPR comme directeur du développement des affaires dans le Bas-Saint-Laurent. Il a quitté ses fonctions le printemps dernier, lorsqu'il est devenu candidat du PLQ dans Rivière-du-Loup, à la suite du départ du chef de l'ADQ.
À l'emploi de BPR, monsieur D'Amour aurait exercé des activités de lobbyisme auprès de titulaires de charges publiques de la Ville de Rivière-du-Loup et d'autres institutions municipales de la région, ce qui contreviendrait à la Loi sur le lobbyisme. Cette loi interdit aux ex-maires de faire des activités de lobbyisme pendant une période de deux ans, à partir de la fin de leur mandat.
Des soupçons d'accrocs à la loi avaient fait les manchettes, le printemps dernier. Le 24 avril, le Commissaire au lobbyisme avait décidé de faire des «vérifications» au sujet des activités de monsieur D'Amour. Il a, maintenant, des motifs raisonnables de croire qu'il y a eu manquement à la loi, ce qui explique sa décision d'ouvrir une enquête en bonne et due forme.
Jean D'Amour a battu le péquiste Paul Crête, ex-député du Bloc québécois, lors des élections partielles du 22 juin dernier.
J’espère que Christian Rioux prend des notes.
Y a-t-il vraiment quelqu'un qui est tombé en bas de sa chaise en apprenant qu'un autre libéral est sous enquête pour des questions de corruption?
RépondreSupprimerDamn, leur parti en entier est basé sur la corruption. C'est ce qu'on appelle un parti d'INTÉRÊT et non un parti d'idées, ce n'est pas moi qui le dit, c'est le grand Jacques Parizeau.
Oui Jacques Parizeau, le type qui passe plus de temps dans ses vignobles en France et qui vient faire le tour des Cegeps à chaque année pour donner des conférences au Québec.
RépondreSupprimer@ Tym.
RépondreSupprimerCré monsieur Parizeau! Toujours la bonne analyse quand c'est le temps d'en faire une! ;-)
Laisse mon chum tranquille petit minable.
RépondreSupprimerSylvie