dimanche 5 avril 2009

Les dessous de Radio-Poubelle-Cadenas

C’est fou comment à l’école, les étudiants sont victimes du brainwashage gau-gauchiste de leurs professeurs, même de ceux qui ont le plus étudié et qui ont presque un doctorat. Ayant fait mon Cégep en Sciences humaines, je peux aisément vous en parler. Sans donner de noms, je vais vous donner quelques exemples.

1) Un jour, durant une discussion dans un cours sur la vie politique québécoise, le prof avait fait une bonne blague au sujet de l’ADQ en disant qu’il n’y avait que les partis politiques à tendances populiste et autoritaire pour mettre le mot «démocratique» dans leur nom pour cacher leur vrai visage. Tout le monde a bien rit. Sauf moi! Bordel, qu’est-ce qu’il fait du NPD, hein? Nouveau Parti Démocratique!

2) Un de mes profs en Histoire nous avait déjà dit, sans rire, que l’économie est dominée par des exploiteurs qui possèdent déjà toute la richesse du monde, mais qui ne la donne pas. D’accord! Si on exclu les philanthropes comme Bill Gates et Warren Buffett, quelle est ta solution, buddy? «C’est simple, il faut utiliser le pouvoir coercitif de l’État pour qu’il double ou même qu’il triple les salaires de tous les travailleurs du jour au lendemain.» C’est complètement irréaliste et, en plus, cette «géniale» proposition était, en gros, la seule ligne de l’ancienne Union des Forces Progressistes sur l’économie. Je croyais à ça quand j’étais au secondaire, ostie. En passant, pour ceux et celles qui l’ignoraient, l’UFP est l’ancêtre de Culbecistan suicidaire et fémi-fasciste.

3) Cette fois-ci, il s’agit d’un prof d’économie qui a fait un lien entre le capitalisme et l’esclavage. On ne rit plus, là. En quoi est-ce que la capture d’esclaves Noirs enlevés de force dans leur village et que l’on ne paie même pas est-il un exemple du capitalisme?

4) La prof qui m’a enseigné le quatrième cours de français au Cégep a déjà affirmé, sans rire, qu’il ne fallait pas lire les historiens modernes sur son champ puisqu’elle jugeait qu’ils mentent et qu’ils sont……d’extrême-droite. Fascinant, n’est-ce pas? En quoi Jacques Lacoursière est-il la réincarnation de Adolf Hitler et de Joseph Goebbels?

5) Celui qui m’a enseigné le deuxième cour de philo a déjà affirmé que, si l’État-providence va mal, c’est simplement parce qu’il y a des méchants néo-libéraux qui l’empêche d’accomplir toutes ses tâches et qui paralysent les institutions publiques. Il n’a même pas été foutu de nous dire que le néo-libéralisme était l’autre nom pour désigner le keynésianisme.

6) Lors d’une discussion dans mon dernier cours de politique à l’Hiver 2008, un étudiant a fait la diatribe anti-américaine suivante : «On le sait déjà tous, Barack Obama va perdre, parce que tout le monde sait que les Américains sont des sales racistes et des rednecks.». Euh? Rappelez-moi le nom du gars qui est président des États-Unis aujourd’hui! Attendez, je vais vérifier! Ah oui, c’est ça, j’avais raison. C’est bien un dénommé Barack Obama qui est l’actuel président des États-Unis. En plus, on peut déplacer l’affirmation de cet étudiant au Québec. Est-ce que les Québécois sont homophobes et sexistes, parce que André Boisclair et Pauline Marois n’ont pas été élus, hein?

7) Une des profs qui m’a enseigné la psychologie a déjà affirmé devant toute la classe que le docteur Pierre Mailloux est raciste et qu’il s’est disqualifié publiquement, parce qu’il vante les thèses racistes du livre de Richard Herrnstein et de Charles Murray : The Bell Curve. Je suis d’accord pour dire que le Doc. Mailloux est raciste ou tout simplement naïf d’avoir vanté une théorie raciste, mais, dans les faits, il a crié sur toutes les tribunes qu’il se basait sur une étude de Suzuki et Gutkin. À l’époque, cette blogueuse avait bien expliqué leur théorie en la qualifiant de «pseudo-science». Par contre, même si il est bien de rapporter les faits tels quels, cela n’excuse en rien Mailloux.

Bon, je crois que j’ai suffisamment relevé d’exemples pour prouver mon point. Vous voyez maintenant pourquoi j’étudie maintenant en Administration. Hé! Hé! Hé!

Pourquoi vous ai-je parlé de tout ça? Parce que j’ai l’impression que notre soi-disant diffuseur public,
Radio-Poubelle-Cadenas, remplace mes profs du Cégep lorsque j’écoute cette station de télévision-là. Or, ces gens ne veulent pas nous informer. Ils veulent avoir raison en nous enfonçant leur agenda socialiste dans la gorge. Permettez-moi de me faire l’avocat du Diable! Je crois que Pierre-Karl Péladeau et Julie Snyder peuvent parfois, et j’insiste sur le mot «parfois», produire d’excellentes émissions de Star Cacadémie avec des invités comme Céliiiiiiiiiine, puis Bryan Adams, l’autre semaine. Je pense même que ça rehausse les standards.

Au même moment, à Radio-Poubelle-Cadenas, dans le tribunal populaire anti-droitiste de Tout le monde en parle, on fait un hommage à Jacques Parizeau, à Bernard Landry ou à Yves Michaud. En plus, Parizeau a même droit à des bandes de textes au bas de l’écran pour bien nous faire rentrer dans la tête tous ses exploits légendaires qui devraient faire vibrer la fibre nationale-socialiste de tout bon p’tit Québécois formé à l’école avec des profs et une Histoire biaisée, nationaliste et étatiste, à l’image de l’éducation que j’ai eu droit au Cégep.

Avec Gérald Fillion, on vous invite chaque soir de la semaine, au Téléjournal de Radio-Poubelle-Cadenas, à gober son analyse nationale-socialiste de l’économie et, à son émission au Réseau de la désinformation, il invite un prof d’économie marxiste qui est très souvent favorable à Fidel Castro et à Hugo Chavez, tout ça pour vous faire comprendre les marchés, selon le peu qu’ils veulent bien en comprendre. La dernière fois que j’ai jeté un coup d’oeil à cette émission, il y avait, comme invité, Omar Aktouf, candidat du NPD dans Outremont aux élections fédérales de 2004, candidat de l’ancienne UFP à plusieurs reprises et l’un des signataires du Manifeste pour un Québec so-so-so-solidaire. Quelle impartialité! Je suis bouche-bée.

Ce n’est guère mieux à la radio de Radio-Poubelle-Cadenas. Deux gau-gauchistes de la gauche caviar, Patrick Masbourian et Jacques Languirand, jugent et moralisent «le monde sale du privé», ces gens «sans éducation» qui gagnent bien leur vie en entreprenant des choses par eux-mêmes, ce qui n’est pas sans rappeler les propos criminels de l’Antéchrist Benoîte XVIe siècle sur le port du condom en Afrique. Que le moralisme soit de gauche ou de droite, je le condamne fortement!

À Radio-Poubelle-Cadenas, lors des élections présidentielles américaines de 2008, on pouvait entendre Joyce Napier et Michel C. Auger s’approprier le discours de Barack Obama et ils se disent, malgré tout, plus impartiaux que d’autres journalistes. Toc-Toc! Il y a quelqu’un là-dedans?

Bref, Radio-Poubelle-Cadenas est simplement le point de vue des accros de l’État. Bref, ce sont les accros de votre argent durement gagné, comme les profs que j’ai eu au Cégep, point à la ligne.

Pourquoi est-ce qu’on ne laisserait pas les vrais accros de l’État se créer, avec leurs propres fonds publics, leur station de télévision officielle, sans emmerder les autres en leur demandant de payer plus d’impôts et de taxes pour se payer une télévision du «bon goût», selon leurs propres standards, hein? J’oserais même mettre les zartisss dans le même panier. Les zartisss qui ont suffisamment d’argent pour créer des pétitions à tour de bras pour «sauver» la station de télévision qui a prit pour eux dans le dossier des subventions aux zartisss aux élections fédérales de 2008 ont sûrement suffisamment d’argent pour créer leur propre fonds d’investissement dans la culture, plutôt que de jouer les lobbyistes pour une station de télévision et de réclamer qu’on leur donne l’argent des honnêtes travailleurs, seulement parce que ceux-ci seraient trop stupides pour savoir ce qui est bon et ce qui est mauvais dans la vie au niveau zartissstique.

En ce qui me concerne, donner de l'argent à Radio-Poubelle-Cadenas revient à payer de force pour subir un endoctrinement gau-gauchiste et Antagoniste.net me donne raison là-dessus, car ce que raconte David Gagnon est un cas typique de la complaisance journaleussstique gau-gauchiste étatiste qui sévit dans cette station de télévision corrompue.

Dans cet article, Marc Cassivi nous raconte que chaque citoyen britannique paie 124$ par année pour la BBC et que chaque citoyen français se fait voler 77$ par année pour faire vivre France Télévisions. Au Canada, il nous en coûte 34$ annuellement, 34$ de trop, pour entendre Guy A Lecave et ses sbires diaboliser la droite. Le message de Marc Cassivi est donc très clair : le gouvernement canadien devrait être moins pingre et augmenter le BS de Radio-Poubelle-Cadenas.

L'impôt sur le revenu est déjà un vol, alors payer contre mon gré pour me faire rééduquer politiquement par Radio-Poubelle-Cadenas, non merci! Si les gau-gauchistes veulent vraiment «sauver» Radio-Poubelle-Cadenas qui ne fait que subir les contrecoups de
la crise économique actuelle, qu'ils lui fassent un don de charité pour renflouer ses coffres. C’est ce que fait les États-Unis avec PBS et cette station-là produit quand même des émissions de qualité, ce qui est tout à fait normal, quand on marche aux dons. Donc, que ceux et celles qui aiment Radio-Poubelle-Cadenas paient pour la garder comme le font ceux et celles qui aiment PBS, crisse.

Ce serait drôle de voir Guy A. Lecave demander la charité du public à son émission pour qu'il puisse revenir la semaine prochaine. Plus facile de recevoir du BS (subventions zartissstiques) d'un gouvernement étranger, hein mon Guy Antonio?

Il est temps d’inculquer une culture entrepreneuriale à la PBS à Radio-Poubelle-Cadenas. La belle époque où elle pouvait réclamer n’importe quel chèque du gouverne-maman est révolue. Privatisons Radio-Poubelle-Cadenas et qu’elle vive en fonction des dons du public! Moi, je ne paierai pas pour elle, car j’en ai assez de payer pour me faire rééduquer politiquement à chaque fois que j’écoute cette poubelle télévisuelle gau-gauchiste vendue aux libéraux.

Ceux et celles qui l’ignoreraient encore, la transformation de Radio-Poubelle-Cadenas en PBS du Québec affaiblirait le sale terroriste anti-francophone et anti-Afrique noire, Paul «Barrick Gold» Desmardais. J’ai déjà parlé de lui ici et ici. Quoi? Vous ignoriez que Power Corporation-La Paresse-GESCA et Radio-Poubelle-Cadenas ont une entente secrète de convergence? Ben, voyons donc! GESCA possède 50% de la presse écrite au Québec et l’autre 50%, c’est Quebecor. Une lutte de titans s’imposait donc entre ces deux-là, mais Quebecor avait un avantage indu sur GESCA, car Quebecor possède TVA, donc Pierre-Karl Péladeau est capable de combiner presse écrite et presse télévisée. GESCA s’est demandé comment il pouvait faire pour combler ce déficit-là, alors ils se sont dits qu’ils avaient suffisamment de bons chums à Radio-Poubelle-Cadenas. Cette station de télévision-là étant noyautée par les libéraux et toute leur gang est là, ils se sont donc entendus pour partager leurs ressources.

En 2001, Power Corporation-La Paresse-GESCA et Radio-Poubelle-Cadenas ont signé une entente secrète de convergence. En 2006, quand les conservateurs de Stephen Harper sont arrivés au pouvoir, ils voulaient montrer qu’ils étaient plus blancs que blancs, comparativement aux crosseurs de libéraux de Jean Chrétien et de Paul Martin qui avaient trempé jusqu’au cou dans le scandale des commandites. Ils ont donc soumis Radio-Poubelle-Cadenas à la Loi de l’accès à l’information. Le lendemain où il a su que les conservateurs soumettaient Radio-Poubelle-Cadenas à la Loi de l’accès à l’information, le rédacteur en chef du journal Le Québécois, Patrick Bourgeois, a fait les démarches pour avoir l’entente secrète entre GESCA et Radio-Poubelle-Cadenas, entente qui permettrait le partage de ressources entre les deux signataires. Radio-Poubelle-Cadenas permettrait alors à des chroniqueurs de La Paresse, comme Vincent Marrissal et André Prout, d’aller faire leur tour sur les ondes publiques pour vendre leurs salades monarcho-fédérastes et gau-gauchistes étatistes, en plus de continuer à l’écrire dans La Paresse.

La première chose que Patrick Bourgeois se fait dire par Radio-Poubelle-Cadenas est qu’elle a perdu cette entente-là. Bourgeois n’en revient pas et avec raison, comme si on pouvait perdre une entente secrète liant une société d’État avec l’une des, sinon la, plus grosses entreprises privées du Québec, entreprise qui, de surcroît, est liée à l’Empire Desmardais. C’est impossible. La madame qui a parlé à Bourgeois a dit qu’ils chercheraient l’entente secrète, à condition qu’il paie 350$, tout ça pour chercher un putain de document. La demande a, ensuite, été acheminée à GESCA, donc c’est le privé qui déciderait ce que le public allait rendre public. La madame a rappelé Bourgeois pour lui demander quel document il voulait, car il y en avait 2 qui liaient GESCA et Radio-Poubelle-Cadenas. Ils ont signé 2 ententes secrètes, la première, c’est janvier 2001 et la deuxième, c’est août 2001. Il y a donc des ramifications très importantes entre les deux signataires, car dans les ententes, c’est écrit noir sur blanc que Radio-Poubelle-Cadenas et Power Corporation-La Paresse-GESCA partagent des objectifs communs, donc ils allaient mettre leurs ressources en commun pour mieux atteindre ces objectifs-là.

Tout ça serait dans la limite de l’acceptable, si il n’y avait pas d’autres choses qui se cacheraient en dessous. Je vais vous parler du dossier que Patrick Bourgeois avait fait sur Radio-Poubelle-Cadenas en 2006. Je vais vous parler des administrateurs de cette station de télévision-là. À l’époque, le Conseil d’administration de la société d’État était dirigé par Robert Rabinovitch, une créature de la famille Bronfman. Il a travaillé pour Claridge Inc. et le Groupe Dassault est là-dedans aussi. À l’époque, Bourgeois parlait de Kouldid Rai Sahi, un Indien d’Inde et un ancien membre du Conseil de l’unité canadienne. Ce gars-là s’est mis tellement riche qu’au début des années 2000, il valait approximativement 2 milliards $. Comment s’est-il mis riche de même? Parce que Paul Martin lui a vendu à rabais le transporteur Kingsway. Étant donné que Paul Martin lui a permis de devenir riche, il y a toujours des retours d’ascenseur. Quand Paul Martin a voulu devenir chef du Parti libéral du Canada, il fallait que monsieur Rai Sahi l’encourage. Il a donc donné 86 260,21$ à la caisse électorale de Paul Martin. Mais, le plus intéressant de tout, c’est que Kouldid Rai Sahi, dont je vous rappelle qu’il est administrateur pour Radio-Poubelle-Cadenas et qu’il siège donc sur le Conseil d’administration de la société d’État, fait également dans l’immobilier, car il n’est pas assez riche à son goût. Ben, vous saurez que c’est lui qui possède les locaux où est situé Radio-Poubelle-Cadenas/CBC à Ottawa.

Sur le Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas, il y a aussi une dénommée Johanne Brunet. Elle possède des compagnies comme Distraction-Format, VivaVision, DDI Télévision, etc., où elle est actionnaire. Ces compagnies-là produisent des émissions de télévision comme Watatatow, Un gars, une fille et Tout le monde en parle. Madame Brunet est actionnaire avec François Macerola, un libéral notoire qui a eu la chance de se faire prendre en photo avec notre bon premier ministre, John-James Charogne. Macerola est le même salopard et maître de la censure qui avait empêché Pierre Falardeau de faire des films, quand il était à Téléfilm Canada.

Sur le Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas, il y a aussi une dénommée Yasmin Jivraj. Elle a une compagnie qui s’appelle Acrodex, une compagnie qui fait dans les systèmes de gestion informatique et qui en donnait, entre autres, à la Défense nationale, ce qui commence à devenir très payant. Madame Jivraj faisait aussi des affaires avec CrimsonLogic, une compagnie d’Asie. Parmi les partenaires de cette compagnie, on retrouve la CITIC Industrial Bank. La CITIC est le diminutif de China International Trust and Investment Corporation. Ça fait dans le trafic d’armes. Ça a été fondé dans les années 1970 sous le gouvernement communiste chinois de Deng Xiaoping et ça collabore de près avec….Power Corporation-La Paresse-GESCA. Hé oui! André Desmardais, le fils de Paul «Barrick Gold» Desmardais, siège sur la CITIC Pacific. Il s’agit du même André Desmardais, qui, par un drôle de hasard, est marié avec France Chrétien, la fille de Jean Chrétien. Sur la CITIC Total, on retrouve Brian Mulroney. Il siège là, le tabarnac.

Sur le Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas, on retrouve aussi une dénommée Trina McQueen, le réseau monarcho-fédéraste à son meilleur. Elle est impliquée principalement à la Fondation Historica qui est généreusement financée par la Fondation Bronfman. Qu’est-ce que c’est que cette fondation-là? Hé bien, c’est elle qui finançait et qui faisait produire….Les Minutes du Patrimoine que diffusait Radio-Poubelle-Cadenas dans les années 1990.

Sur le Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas, on retrouve aussi Peter Herrndorf ou comment acheter les Québécois(es)? Il siège sur la Fondation Hnatyshyn, une fondation qui fait de la p’tite propagande de bas étage, un peu comme en fait la Fondation Historica. Sur le Conseil d’administration de la Fondation Hnatyshyn, on retrouve Brian Mulroney, Joe Clark, John Turner, Ed Broadbent, Michael H. Wilson, feu Antonio Lamer, Kim Campbell et Don Mazankowski.

Le pire dans le Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas, c’est que ça concerne Robert Rabinovitch et lui, c’est Claridge Inc., soit la fiducie de la famille Bronfman. Claridge Inc. a des parts dans Cour, une compagnie israélienne, dans Tamdiran Télécommunication, dans Elbit Systems, etc. Ces compagnies-là font dans le militaire, la Défense nationale et le matériel de surveillance et d’espionnage.

Sur le Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas, on retrouve aussi une dénommée Nezhat Khoshrowshahi. Avec son mari, Hassan Khoshrowshahi, elle possédait la Inwest Investment et ça, ça donne de l’argent aux libéraux, mes amis. Ça finance la caisse libérale aller-retour. Mais là, ce qu’il faut surtout savoir, c’est que le nom de jeune fille de la bonne femme, c’est Nezhat Mottaghi Irvani. Son père, Rahim Mottaghi Irvani, était un Iranien et il a été mêlé de près dans l’Irangate. Qu’est-ce que l’Irangate? Quand l’ayatollah Khomeiny est arrivé au pouvoir là-bas, ils ont enlevé des membres de l’ambassade américaine en Iran et ils ont essayé d’échanger les otages pour des armes venant d’Amérique du Sud. Le bonhomme Irvani, dont je vous rappelle qu’il est le père de la madame qui siège sur le Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas, avait ses propres compagnies en Iran et elle a travaillé là quand elle était jeune. Elle faisait fonctionner ces compagnies qui étaient au cœur de ces affaires-là, soit l’Irangate, mais aussi l’affaire de la Bank of Credit and Commerce International (BCCI). Le bonhomme Irvani était au cœur de cette affaire-là. Cette histoire a été qualifiée par le journaliste français Éric Laurent dans Le Figaro le 17 août 1991 comme étant le plus grand scandale financier de toute l’Histoire de l’Humanité et il a même parlé de la BCCI comme étant la plus grande entreprise CRIMINELLE de toute l’Histoire moderne. La BCCI a été impliquée dans le trafic d’armes, la vente de drogues, le blanchiment d’argent, l’extorsion, la prostitution, la fraude et le financement d’organisations terroristes islamistes. Le but de la BCCI dans cette histoire était de faire mal à l’Occident pour permettre au tiers-monde de prendre sa revanche en se dotant et en dotant l’Iran de…..la bombe atomique, d’où les reportages de cul de Radio-Poubelle-Cadenas en faveur du programme nucléaire iranien et son biais pro-Hamas et pro-Hezbollah.

Le sénateur américain John Kerry a d’ailleurs déjà dit que le KKKanada était très proche de l’Iran et que le KKKanada avait fournit du matériel à l’Iran pour permettre au pays de Mahmoud Ahmadinejad, l’un des plus grands dangers de l’Occident, d’avoir la bombe atomique. Attention, là! Ce n’est pas le méchant républicain George W. Bush qui a dit ça, mais bien John Kerry, l’adversaire démocrate de Bush aux élections présidentielles américaines de 2004. Le KKKanada est donc un État terroriste qui est protégé par Radio-Poubelle-Cadenas et Power Corporation-La Paresse-GESCA.

Rahim Mottaghi Irvani a d’ailleurs déjà travaillé de façon serrée avec l’ancien directeur de la CIA, feu Richard Helms. Il a fondé dans les années 1970 une compagnie du nom de Safeer. En passant, Irvani et Helms, c’est du beau monde en christie ça, là. Richard Helms a travaillé avec les États-Unis pour placer….Augusto Pinochet à la tête du régime du Chili en 1973 et ainsi renverser le régime de Salvador Allende.

Il y en aurait bien plus à découvrir que ce que Patrick Bourgeois a pu faire, mais le système médiatique du KKKanada est tellement pourri qu’il n’y a absolument personne qui fouille ces affaires-là.

Toutes ces informations ont été prises ici.

Pour conclure, Radio-Poubelle-Cadenas est pourrie jusqu’à l’os et je ne veux plus jamais l’engraisser avec mon argent durement gagné. Elle est monarcho-fédéraste, libérale jusqu’à la moelle de l’os, gau-gauchiste étatiste, corrompue, pro-terroriste et anti-Occident, en plus d’avoir signé une entente secrète avec le diable lui-même, Paul «Barrick Gold» Desmardais. Le Québec est prisonnier dans une cage dorée et il est entouré de criminels médiatiques qui veulent sa peau.

C’est décidé. Maintenant, au lieu de me faire remplir par Desmardais, je me ferai remplir par Péladeau et Quebecor qui sont 1000 fois moins dangereux que Desmardais et ses sbires chez Power Corporation-La Paresse-GESCA et Radio-Poubelle-Cadenas. J’invite tout le monde à faire comme moi et à nourrir Péladeau, au lieu de Desmardais.

2 commentaires:

  1. Félicitation pour cet enquête! C'est grand temps qu'on aille du monde qui brasse les vraies affaires.

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  2. @ Anonyme.

    Merci, mais le mérite revient à Patrick Bourgeois. C'est lui qui a enquêté et j'ai repris les résultats de son enquête!

    «C'est grand temps qu'on aille du monde qui brasse les vraies affaires.»

    Impossible avec les médias qu'on a actuellement!

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