Aujourd’hui, 1er juillet, célébrons notre annexion forcée!!! Célébrons l’institutionnalisation de notre statut de minoritaires en cette colonie britannique, dont l’existence même repose, ni plus, ni moins, depuis 1867, que sur une fraude électorale de bas étage!!!!
C’est qu’il y a un vice de conception, nous dit l’ancien conseiller politique de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, Jean-François Lisée!!! Le 1er juillet 1867, date de la fondation du Canada, aucune manifestation populaire ne fut tenue où que ce soit au Québec!!!! Seulement quelques messes, car le haut clergé était très favorable à la Confédération, se sachant maître des compétences léguées à la nouvelle province, notamment l’éducation, outil de son auto-perpétuation!!!
Les Québécois, alors appelés Canayens, les autres étant les Anglais, se sentaient, évidemment, concernés!!!! Dans l’intense débat du moment, les leaders du projet, dont le conservateur George-Étienne Cartier, avaient même promis de tenir un référendum sur le sujet!!! Mais, ayant testé la méthode au Nouveau-Brunswick et s’étant fait dire NON, ils ont renoncé à tenir parole!!!!
Des élections ont eu lieu d’août à septembre 1867, faisant office d’élection référendaire!!! Le Parti rouge, dont le PLQ est le lointain héritier, s’opposait à la Confédération, préférant que le Québec reste une province autonome dans l’Empire britannique, une souveraineté-partenariat avant l’heure!!!!
Cette élection fut l’une des plus divertissantes de l’Histoire politique du Québec. D’abord, ce qui était normal, à l’époque, le vote n’était pas secret : les électeurs signaient leur nom dans un grand livre ouvert!!!! Seuls les hommes de plus de 21 ans qui détenait une richesse minimale avaient le droit de vote, ce qui réduisait l’électorat à une fraction du nombre d’adultes!!!!
Ensuite, le clergé a annoncé que voter pour le Parti rouge serait un «péché mortel», qui conduirait, pour l’éternité, aux flammes de l’enfer!!! Les prédécesseurs de Monseigneur Marc Ouellet ont averti que les prêtres refuseraient même de donner l’absolution aux fautifs, assurant, ainsi, leur damnation!!! L’historien Marcel Bellavance a montré que, effectivement, la moitié moins d’absolutions furent consenties aux Pâques suivantes qu’aux précédentes!!! Par mesure préventive, des curés refusaient, aussi, l’absolution, en confession, aux ouailles qui avouaient lire les journaux de l’opposition!!!
Résultat : 40% des électeurs ne se sont pas présentés, refusant de commettre ce péché, réduisant d’autant le bassin électoral!!!!
D’autres techniques furent, également, mises en oeuvre, nous explique Lisée :
L’escamotage
Pour être candidat, il fallait être présent au jour et à l’heure qui ont été dits, pour un «appel nominal» des candidatures!!! Pourquoi ne pas kidnapper le candidat adverse (on disait escamoter) le temps de la procédure??? Cela est arrivé dans trois comtés, au profit des conservateurs!!!!
L’achat
Ailleurs, le candidat conservateur, parfois avec l’assistance du curé, proposait au candidat libéral une somme d’argent ou une nomination (les nominations devaient être approuvées par le clergé)!!!! En échange, le libéral retirait sa candidature, au moment de l’appel nominal, ce qui avait pour effet de faire élire sur-le-champ le candidat conservateur!!! Ce fut le cas dans deux comtés!!!
Le défranchisage
Les officiers qui étaient chargés de l’appel nominal et qui étaient, souvent, des conservateurs, avaient le pouvoir de «défranchiser» une paroisse, c’est-à-dire d’y annuler l’élection, sous divers prétextes!!!! Les quartiers libéraux du comté de L’Islet, qui représentait la moitié des électeurs, furent, ainsi, «défranchisés», comme ce fut le cas pour trois paroisses libérales de Kamouraska, donnant, dans les deux cas, une courte victoire aux conservateurs!!!!
Dans cette élection, qui est la plus frauduleuse de toute l’Histoire du Québec, même au regard des standards de l’époque, 45% des électeurs (donc, une majorité de francophones, car les anglophones votaient conservateur) ont, quand même, bravé les interdits pour voter contre la Fédération!!!! L’adhésion du Québec au Canada a, donc, été décidée par moins de 10% des adultes et par moins de 20% des hommes adultes!!! Les Canayens de l’époque savaient et les historiens d’aujourd’hui savent, que, si il s’était agi d’un vote libre, l’électorat aurait, très majoritairement, refusé l’entrée au Canada!!!!
Ces faits sont, évidemment, perdus dans la mémoire collective, conclut Lisée!!! Mais, ils aident à comprendre pourquoi la date du 1er juillet 1867 n’a jamais constitué, pour les francophones du Québec, un moment fort!!!! Voilà pourquoi on ne s’est pas transmis, de génération en génération, le goût de célébrer....une fraude électorale!!!!
C’est qu’il y a un vice de conception, nous dit l’ancien conseiller politique de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, Jean-François Lisée!!! Le 1er juillet 1867, date de la fondation du Canada, aucune manifestation populaire ne fut tenue où que ce soit au Québec!!!! Seulement quelques messes, car le haut clergé était très favorable à la Confédération, se sachant maître des compétences léguées à la nouvelle province, notamment l’éducation, outil de son auto-perpétuation!!!
Les Québécois, alors appelés Canayens, les autres étant les Anglais, se sentaient, évidemment, concernés!!!! Dans l’intense débat du moment, les leaders du projet, dont le conservateur George-Étienne Cartier, avaient même promis de tenir un référendum sur le sujet!!! Mais, ayant testé la méthode au Nouveau-Brunswick et s’étant fait dire NON, ils ont renoncé à tenir parole!!!!
Des élections ont eu lieu d’août à septembre 1867, faisant office d’élection référendaire!!! Le Parti rouge, dont le PLQ est le lointain héritier, s’opposait à la Confédération, préférant que le Québec reste une province autonome dans l’Empire britannique, une souveraineté-partenariat avant l’heure!!!!
Cette élection fut l’une des plus divertissantes de l’Histoire politique du Québec. D’abord, ce qui était normal, à l’époque, le vote n’était pas secret : les électeurs signaient leur nom dans un grand livre ouvert!!!! Seuls les hommes de plus de 21 ans qui détenait une richesse minimale avaient le droit de vote, ce qui réduisait l’électorat à une fraction du nombre d’adultes!!!!
Ensuite, le clergé a annoncé que voter pour le Parti rouge serait un «péché mortel», qui conduirait, pour l’éternité, aux flammes de l’enfer!!! Les prédécesseurs de Monseigneur Marc Ouellet ont averti que les prêtres refuseraient même de donner l’absolution aux fautifs, assurant, ainsi, leur damnation!!! L’historien Marcel Bellavance a montré que, effectivement, la moitié moins d’absolutions furent consenties aux Pâques suivantes qu’aux précédentes!!! Par mesure préventive, des curés refusaient, aussi, l’absolution, en confession, aux ouailles qui avouaient lire les journaux de l’opposition!!!
Résultat : 40% des électeurs ne se sont pas présentés, refusant de commettre ce péché, réduisant d’autant le bassin électoral!!!!
D’autres techniques furent, également, mises en oeuvre, nous explique Lisée :
L’escamotage
Pour être candidat, il fallait être présent au jour et à l’heure qui ont été dits, pour un «appel nominal» des candidatures!!! Pourquoi ne pas kidnapper le candidat adverse (on disait escamoter) le temps de la procédure??? Cela est arrivé dans trois comtés, au profit des conservateurs!!!!
L’achat
Ailleurs, le candidat conservateur, parfois avec l’assistance du curé, proposait au candidat libéral une somme d’argent ou une nomination (les nominations devaient être approuvées par le clergé)!!!! En échange, le libéral retirait sa candidature, au moment de l’appel nominal, ce qui avait pour effet de faire élire sur-le-champ le candidat conservateur!!! Ce fut le cas dans deux comtés!!!
Le défranchisage
Les officiers qui étaient chargés de l’appel nominal et qui étaient, souvent, des conservateurs, avaient le pouvoir de «défranchiser» une paroisse, c’est-à-dire d’y annuler l’élection, sous divers prétextes!!!! Les quartiers libéraux du comté de L’Islet, qui représentait la moitié des électeurs, furent, ainsi, «défranchisés», comme ce fut le cas pour trois paroisses libérales de Kamouraska, donnant, dans les deux cas, une courte victoire aux conservateurs!!!!
Dans cette élection, qui est la plus frauduleuse de toute l’Histoire du Québec, même au regard des standards de l’époque, 45% des électeurs (donc, une majorité de francophones, car les anglophones votaient conservateur) ont, quand même, bravé les interdits pour voter contre la Fédération!!!! L’adhésion du Québec au Canada a, donc, été décidée par moins de 10% des adultes et par moins de 20% des hommes adultes!!! Les Canayens de l’époque savaient et les historiens d’aujourd’hui savent, que, si il s’était agi d’un vote libre, l’électorat aurait, très majoritairement, refusé l’entrée au Canada!!!!
Ces faits sont, évidemment, perdus dans la mémoire collective, conclut Lisée!!! Mais, ils aident à comprendre pourquoi la date du 1er juillet 1867 n’a jamais constitué, pour les francophones du Québec, un moment fort!!!! Voilà pourquoi on ne s’est pas transmis, de génération en génération, le goût de célébrer....une fraude électorale!!!!
Comme je le criais haut et fort, dans mon billet du 1er juillet de l’année passée, là où je présentais, en quelques sortes, mes griefs à l’endroit du KKKanada : «À ce drapeau qui n’est plus le mien, j’ai envie de lui crier : ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’INFAMIE!!!! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HAINE!!!! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HONTE!!!! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DU GÉNOCIDE!!!! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’APARTHEID!!! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA DICTATURE!!!! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA CORRUPTION!!! ENVOLES-TOI ET NE REVIENS PLUS JAMAIS SUR NOTRE TERRE!!!!!»!!!!
Pour rafraîchir votre mémoire, mes griefs étaient : le génocide acadien de 1755, la Bataille des Plaines d’Abraham de 1759, le manifeste de James Wolfe, la Proclamation royale de 1763 et le Serment du Test, l’Acte de Québec de 1774 pour nous acheter, à l’aube de la Révolution d’indépendance des Treize colonies britanniques (les futurs États-Unis d’Amérique), l’Acte constitutionnel de 1791, la Résistance légitime de nos braves Patriotes en 1837-1838 et la pendaison sauvage de ceux-ci en 1839, le Rapport Durham de 1839, l’Acte d’Union de 1840, l’Acte de l’Amérique du Nord britannique de 1867 qui institutionnalisa notre statut de minoritaires en remplaçant notre représentation égale en représentation proportionnelle, selon notre nombre, l’abolition du français au Nouveau-Brunswick en 1871, la pendaison de Louis Riel de 1885, l’abolition du français au Manitoba en 1890 et l’abolition du français en Ontario en 1912!!!!
Ensuite, mes griefs comprenaient la Loi de l’immigration chinoise de 1923, de même que le scandale des pensionnats indiens, le vol politique du 400e anniversaire de la ville de Québec par les monarcho-fédérastes en 2008 et la déclaration de guerre d’Ottawa contre la nation québécoise sur nos Plaines d’Abraham en 2009!!!
Le 9 juin 2009, j’avais, également, posé mes griefs à l’endroit du KKKanada pour la période 1914-2005 de notre Histoire!!!
Ces griefs étaient : l’adoption de la Loi sur les mesures de guerre en 1914, la Crise de la conscription de 1914, l’emprisonnement du maire de Montréal, Camillien Houde, en 1940, parce qu’il était contre la conscription, le référendum sur la conscription de 1942 qui a fait fi de la volonté du peuple québécois de ne pas appliquer la conscription, le projet étatico-assimilationniste secret des francophones du Québec et de la Nouvelle-Angleterre de Franklin Delano Roosevelt et de William Lyon Mackenzie King, la création du Canada Commity en 1964 et qui deviendra, plus tard, le Conseil de l’unité canadienne, l’infiltration de Claude Morin (alias Q-1, alias French Minuet), un agent de la GRC, au sein du Parti québécois et du mouvement souverainiste québécois, la publication, en 1969, d’un document qui prouve que le premier ministre Pierre Elliott Trudeau siège sur un Conseil qui autorise expressément la Gendarmerie royale du Canada à enfreindre les lois pour combattre les «maudits séparatisss à marde», la Crise d’Octobre 1970 (créée par les agents de la GRC Carole Devault et Robert Samson) et la Loi sur les mesures de guerre pour «mâter le Québec», la Commission Keable, la Commission MacDonald, le transfert du mandat d’espionnage de la GRC dans une agence civile d’intelligence, soit le Service canadien du renseignement de sécurité (le SCRS), la Nuit des longs couteaux de 1981 et le rapatriement unilatéral de la Constitution en 1982, l’échec de l’Accord du Lac Meech en 1990 (et la Crise d’Oka de 1990), l’Accord de Charlottetown de 1992, le référendum volé de 1995, Option-Canada et le scandale des commandites!!!!
Pour en savoir plus sur la période 1980-2006 de notre Histoire, c’est par là!!!!
L’Histoire de la Confédération canadienne, disait le fondateur du Devoir, Henri Bourassa, c’est la série lamentable de nos déchéances et de nos défaites par la fausse conciliation!!!!
Va te faire foutre, sale dictature raciste de mes deux!!!! Je ne veux plus rien avoir de toi et, puisque c’est ta fête, c’est à moi que revient l’honneur de chanter ce qui devrait être ton VRAI hymne national!!!! Puisque le KKKanada s’est construit dans le sang de nos ancêtres, sauf ceux de la «race pure» anglophone, je ne reconnais pas cet hymne national comme étant le mien, alors je peux en faire ce que j’en veux, même le réécrire, si j’en ai envie!!! De plus, j’ai renié ce drapeau de la mort qu’est l’Unifolié et que les Anglais nous ont volé, il y a bien longtemps!!!!
Ô KKKanada! Terre de l’apartheid,
Ton front est sale de crimes des plus immondes!
Car ton bras sait massacrer ton peuple,
Il sait tuer de sang-froid!
Ton Histoire est une dictature marquée
Des plus grands génocides.
Ton front est sale de crimes des plus immondes!
Car ton bras sait massacrer ton peuple,
Il sait tuer de sang-froid!
Ton Histoire est une dictature marquée
Des plus grands génocides.
Liquidera nos foyers et nos droits.
SOLIDARITÉ ENVERS TOUS LES PEUPLES DU MONDE!!!!!
MORT AU KKKANADA DONT LE NOM ET L’EXISTENCE SONT SALES, FRAUDULEUX ET CORROMPUS!!!!
MORT AU KKKANADA DONT LE NOM ET L’EXISTENCE SONT SALES, FRAUDULEUX ET CORROMPUS!!!!
LIBÉREZ LE QUÉBEC!!!!!
Pour cette cause je suis d'accord avec vous, mais n'oubliez pas que le but c'est d'amener les gens à voir les choses comme vous, pour l'instant, bien des gens considèrent que le Canada est une démocratie. Vous les perdez si vous voulez leur faire croire que c'est une dictature, seuls les convaincus le voient de cette façon, les mous non.
RépondreSupprimerSéduire, convaincre, persuader...