mardi 9 juin 2009

J'appuie le plan de Pauline Marois sur la souveraineté parce que...

...JE ME SOUVIENS DE NOTRE HISTOIRE!!!!!!!



1914 : La Première Guerre mondiale éclate. Les Canadiens anglais réclament la conscription, une loi qui nous force à aller se battre au nom de la Couronne britannique, mais le Québec la rejette en bloc. En représailles, l’Ontario bannit le français de ses écoles. C’est l’adoption de la Loi sur les mesures de guerre, une loi qui donne des pouvoirs d’urgence au gouvernement fédéral lorsqu’il perçoit la menace de guerre, d’invasion ou d’insurrection qu’elle soit réelle ou appréhendée et qui comporte des règlements brimant la liberté de tous les Canadiens.

La Police fédérale, l’ancêtre de
la Gendarmerie royale du Canada, ratisse le Québec à la recherche des conscrits cachés. À Québec, la population, révoltée, incendie le bureau de la Police fédérale. Après 5 jours d’émeute, un régiment de Toronto est repêché sur les lieux et tire sur la foule. Bilan : 5 morts et 70 blessés!

1920 :
Lionel Groulx déclare : «Notre État français, nous l’aurons, à l’intérieur de la Confédération si possible et à l’extérieur s’il le faut!».

1940 : C’est
la Deuxième Guerre mondiale et le premier ministre canadien, William Lyon Mackenzie King, malgré sa promesse au Québec, adopte une mesure qui force tous les citoyens à s’enregistrer. Le maire de Montréal, Camillien Houde, voit cette mesure comme étant un premier pas vers la conscription et avec raison. Il la dénonce et il encourage publiquement tous les citoyens à ne pas la respecter. Encore une fois, la Loi sur les mesures de guerre est adoptée et Camillien Houde est jeté en prison et y demeurera pendant 4 ans, et ce, sans procès.

C’est également en vertu de cette loi
fasciste que des Canadiens d’origne allemande, ukrainienne, slave et japonaise sont emprisonnés durant les deux grandes guerres mondiales.

1942 : Mackenzie King organise un
référendum sur la conscription pour se libérer de sa promesse. Le Canada anglais vote YES à 63%, alors que le Québec vote massivement NON à 71%. Évidemment, King décrétera la conscription sans tenir compte de l’opinion des Québécois.

Le président américain,
Franklin Delano Roosevelt, suggéra alors à Mackenzie King un projet étatico-assimilationniste des francophones du Québec et de la Nouvelle-Angleterre.

Voici un extrait de
la lettre de Roosevelt!




Cela m’emmène à me demander si le Canada et les États-Unis, tendant ensemble vers un but commun, ne pourrait-on pas établir une sorte de planification qui n’aurait pas besoin d’être écrite, ni même rendue publique, qui nous permettrait d’atteindre plus rapidement notre objectif d’assimiler les Canadiens français de la Nouvelle-Angleterre et les Canadiens français du Canada dans l’ensemble de nos sociétés respectives.

[…]

On peut, bien sûr, procéder de plusieurs façons.

[…]

Il n’y a, semble-t-il, aucune raison valable pour que subsiste de grandes différences entre cette population d’origine canadienne-française et celle des autres souches raciales!






Raciales????

1964 : Création du Canada Commity qui deviendra plus tard
le Conseil de l’unité canadienne. Cette période correspond à la montée du mouvement indépendantiste et à des demandes de réformes venant des fédéralistes du Québec. C’est la Révolution tranquille.

1965 :
Jean Marchand, Gérard Pelletier et Pierre Elliott Trou-d’eau (3 beaux rois-nègres) deviennent les défenseurs du fédéralisme canadien sous Lester B. Pearson.

1968 : Pierre Elliott Trou-d’eau est élu premier ministre du Canada.

1968 : Création du
Parti québécois par des ex-ministres libéraux sous Jean Lesage. René Lévesque dirige le mouvement et Claude Morin, un des conseillers les plus influents du gouvernement de Jean Lesage, est l’un des architectes d’une stratégie électorale référendaire, ainsi que de la Révolution tranquille. Morin, que l’on appele aussi Q-1 ou encore French Unilet, allègue avoir été un agent double rémunéré pour le compte de la GRC de 1974 à 1977 et mentionne également avoir eu des contacts avec la GRC depuis le début des années 1950.

1969 : Un document prouve que le premier ministre Pierre Elliott Trou-d’eau siège sur un Conseil qui autorise expressément la Gendarmerie royale du Canada à enfreindre les lois pour combattre les «maudits séparatisss à marde».

1970 : On déclare l’état d’insurrection appréhendée au Québec. Originalement,
le Front de libération du Québec est un mouvement révolutionnaire (dans tous les sens du terme) ayant pour but l’émancipation des ouvriers québécois. Mais, la saga du FLQ connaîtra une fin tragique avec la Crise d’Octobre 1970. Le FLQ kidnappera James Richard Cross et Pierre Laporte. Ce dernier sera retrouvé mort dans le coffre-arrière de sa voiture. Le premier ministre du Québec, la lavette Robert Bourassa, est dépassé par les événements et il fait appel à Pierre Elliott Trou-d’eau qui réagit de façon démesurée en décrétant la Loi sur les mesures de guerre.

8000 soldats occupent le territoire québécois comme dans une parfaite
dictature militaire. Près de 4500 invasions de domiciles sont répertoriées pour y être fouillés. Approximativement 500 personnes sont enlevées de force (oups pardon, «arrêtées»), tout ça parce qu’elles sont soupçonnées de ne pas avoir la bonne idéologie, selon Saint Trou-d’eau. Celles-ci seront ensuite relâchées sans la moindre explication.

1974 : À Montréal, Robert Samson, un agent de la GRC, est arrêté après un attentat
terroriste manqué. Suite à ses allégations, le public réclame une enquête.

1976 : Le Parti québécois, dirigé par René Lévesque, prend le pouvoir et crée l’année suivante la Commission Keable pour enquêter sur la GRC dans une série d’actes illégaux. Le premier ministre du Canada, Pierre Elliott Trou-d’eau, s’engage à coopérer pleinement avec la Commission.

Pour gagner du temps avant
le référendum de 1980, le gouvernement fédéral conteste la juridiction de la Commission Keable devant les tribunaux. Finalement, la Cour suprême du Canada statue qu’une Commission d’enquête provinciale ne peut enquêter sur un organisme fédéral. Le gouvernement de Trou-d’eau crée alors sa propre Commission d’enquête qui est présidée par le juge David MacDonald, un ancien président du Parti libéral de l’Alberta.

Pierre Elliott Trou-d’eau refuse de témoigner en public devant la Commission qui renonce finalement à le convoquer.

1981 : La Commission Keable publie un rapport de 450 pages à la suite duquel 44 accusations criminelles furent portées contre 7 agents et ex-agents de la GRC.
La Sûreté du Québec et la Police de Montréal sont également critiquées pour le peu de cas que ces deux corps de police ont fait des libertés civiles et des droits fondamentaux des citoyens.

Quelques mois plus tard, la Commission MacDonald publie son rapport de 2400 pages lourdement censurées et aucune accusation n’est portée. Ha!

1983 : Une des recommandations de la Commission MacDonald est mise en œuvre. Le mandat d’espionnage de la Gendarmerie royale du Canada est transféré dans une agence civile d’intelligence :
le Service canadien du renseignement de sérurité (le SCRS).

Ces faits ressemblent beaucoup
au scandale sur le Watergate aux États-Unis. Vous vous êtes moqués de lui. Vous avez rit des blagues à son sujet. Vous n’avez pas voté pour lui. C’est drôle, parce que c’est lui qui est en contrôle de tout ça. Tremblez maintenant!

Il est né à Sherbrooke le 24 juin 1958 :
John-James Charogne!

En 1986, il devient le plus jeune membre du Conseil des ministres de l’Histoire du Canada. Il est nommé ministre d’État à la Jeunesse sous
Brian Mulroney, alors premier ministre progressiste-conservateur du Canada. En 1988, il est l’un des architectes de l’Accord du Lac Meech. Le projet avait comme objectif que le Québec accepte la Constitution canadienne qu'il avait refusé de signer en 1982 parce qu'elle ne lui convient pas et qu'elle lui a été imposée, en le vassalisant de force, par le gouvernement non-élu des juges, soit la Cour suprême du Canada, mais le projet a échoué.

1993 : Il est candidat pour succéder à Brian Mulroney à la chefferie du Parti progressiste-conservateur du Canada. Il arrive bon deuxième et il est nommé vice-premier ministre du Canada dans le Cabinet éphémère de
Kim Campbell.

1995 : John-James Charogne est nommé chef intérimaire de ce qui devait être le dernier Cabinet progressiste-conservateur. Toujours en 1995, issu des trois partis politiques, soit
le Parti libéral du Canada, le Parti libéral du Québec et le Parti progressiste-conservateur du Canada, Option-Canada est créé.

Financé par le gouvernement du Canada par l’intermédiaire du Conseil de l’unité canadienne, cet organisme a participé, sous la gouverne du ministre des Affaires intergouvernementales du Canada,
Stéphane Dion, au financement du camp du NON lors du référendum de 1995, notamment avec la participation de Mike Harris, Frank McKenna, Daniel Johnson Jr., Jean Chrétien et….John-James Charogne.

Ce financement mena
au scandale des commandites d’après l’enquête de Sheila Fraser, la Vérificatrice générale du Canada.

Qui est Sheila Fraser?

C’est une madame qui travaillait pour une des quatre plus grandes compagnies de comptabilité au monde : en ordre,
la PricewaterhouseCoopers, Deloitte Global, Ernst & Young et KPMG. Elle, elle travaillait pour Ernst & Young. Cette compagnie compte parmi ses clients The Bank of New York Mellon, la US Bank Personnal Banking, UBS, le gouvernement, le Département de l’Immigration et des Affaires multiculturelles du Canada, etc.

En tout cas, on se demande bien pourquoi elle brasse de la marde comme ça, n’est-ce pas?

Nous assitons toujours au même modus operandi :


1) Créer un sentiment d’appartenance.

2) Financer les deux partis.

3) Profiter du chaos.


Nous étions Canadiens. Nous sommes maintenant Québécois. Mais, nous resterons toujours et avant tout des humains.

Je m’étais toujours demandé : qu’est ce qu’un Québécois?

Être un Québécois, c’est tout simplement un CHOIX.

Un choix de se sentir Québécois, d’aimer le Québec à un point tel de vouloir protéger l’intégrité de son territoire, sa langue menacée de l’intérieur et de l’extérieur et de vouloir le voir prendre sa place qui lui revient de plein droit dans le concert des nations.

Pour se faire, pour toutes les raisons évoquées dans l’énumération de ces faits historiques ci-haut et pour corriger nos injustices historiques, j’appuie avec vigueur et avec énergie
le Plan de Pauline Marois pour le Québec souverain : une rupture avec l’attentisme. Les gens qui sont contre ne connaissent tout simplement pas leur Histoire. C'est peut-être hautain de dire ça, mais c'est comme ça que je le vois.

OUI au rapatriement de nos pouvoirs qui nous ont été volés par Ottawa!

OUI à des référendums sectoriels pour s’y prendre et à un rapport d’impôt unique, soit celui du Québec!

Finalement, OUI à l’indépendance pleine et entière du Québec sur le plan politique et à la survie de notre langue française, car c’est elle qui sera la plus grande gagnante de l’application de ce plan en nous permettant d’accéder à notre libération nationale!

NOUS VAINCRONS!!!!!

VIVE LA LIBERTÉ!!!!!!

VIVE L’INDÉPENDANCE!!!!!!

LIBÉREZ LE QUÉBEC!!!!!!





LA LANGUE DE CHEZ-NOUS
paroles et musique : Yves Duteil


C'est une langue belle avec des mots superbes
Qui porte son Histoire à travers ses accents
Où l'on sent la musique et le parfum des herbes
Le fromage de chèvre et le pain de froment

Et du Mont-Saint-Michel jusqu'à la Contrescarpe
En écoutant parler les gens de ce pays
On dirait que le vent s'est pris dans une harpe
Et qu'il en a gardé toutes les harmonies

Dans cette langue belle aux couleurs de Provence
Où la saveur des choses est déjà dans les mots
C'est d'abord en parlant que la fête commence
Et l'on boit des paroles aussi bien que de l'eau

Les voix ressemblent aux cours des fleuves et des rivières
Elles répondent aux méandres, au vent dans les roseaux,
Parfois même aux torrents qui charrient du tonnerre
En polissant les pierres sur le bord des ruisseaux

C'est une langue belle à l'autre bout du monde
Une bulle de France au Nord d'un continent
Sertie dans un étau, mais pourtant si féconde
Enfermée dans les glaces au sommet d'un volcan

Elle a jeté des ponts par-dessus l'Atlantique
Elle a quitté son nid pour un autre terroir
Et comme une hirondelle au printemps des musiques
Elle revient nous chanter ses peines et ses espoirs

Nous dire que là-bas dans ce pays de neige
Elle a fait face aux vents qui soufflent de partout
Pour imposer ses mots jusque dans les collèges
Et qu'on y parle encore la langue de chez-nous

C'est une langue belle à qui sait la défendre
Elle offre des trésors de richesses infinies
Les mots qui nous manquaient pour pouvoir nous comprendre
Et la force qu'il faut pour vivre en harmonie

Et de l'Île d'Orléans jusqu'à la Contrescarpe
En écoutant chanter les gens de ce pays
On dirait que le vent s'est pris dans une harpe
Et qu'il a composé toute une symphonie

Et de l'Île d'Orléans jusqu'à la Contrescarpe
En écoutant chanter les gens de ce pays
On dirait que le vent s'est pris dans une harpe
Et qu'il a composé toute une symphonie

20 commentaires:

  1. C'est pas croyable de voir comment on peut tordre des faits pour en faire dire n'importe quoi...
    Ramassis de propagande séparatiste, mélangé à quelques faits véridiques tordus.

    Aucune crédibilité.

    Vous êtes passés maitre dans l'art de manipuler et pervertir l'histoire.

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  2. @crioux qui doit sûrement être Christian Rioux

    M.Proulx est très articulé, son texte est excellent et il ira loin dans la vie. Vous êtes jaloux de lui n'est-ce pas?

    Julie Provost-Bélanger

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  3. Christian Rioux ... p'tit colonisé de la pire espèce qui mérite l'exclusion du Québec au plus sacrant.

    Un être qui fait honte à nos ancêtres Patriotes et qui chie sur tout ce qui a de bon au Québec. J'espère que t'en a d'la marde dans le corps parce que tu n'as pas fini de chier mon sacrament ! Toi et ta «race fédéraleuse pro-colonisée» êtes sur une pente descendante ... enfin !

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  4. @ Christian Rioux.

    Quel honneur de m'avoir laissé un commentaire ici!

    «Ramassis de propagande séparatiste, mélangé à quelques faits véridiques tordus.

    Aucune crédibilité.

    Vous êtes passés maitre dans l'art de manipuler et pervertir l'histoire.»

    Quand ta gang aura le courage de parler d'Histoire en étant honnête (ce que vous n'avez pas fait lors du 400e de Québec), tu pourras parler et critiquer les faits historiques que j'ai présenté dans le billet.

    Sinon, prends ta plume et racontes-moi l'Histoire! Allez, j'attends!

    @ Julie Provost-Bélanger.

    «M.Proulx est très articulé, son texte est excellent et il ira loin dans la vie.»

    Merci! :-)

    @ Frankie.

    «p'tit colonisé de la pire espèce qui mérite l'exclusion du Québec au plus sacrant.»

    «J'espère que t'en a d'la marde dans le corps parce que tu n'as pas fini de chier mon sacrament ! Toi et ta «race fédéraleuse pro-colonisée» êtes sur une pente descendante ... enfin !»

    Je ne crois pas qu'il soit nécessaire de descendre aussi bas pour prouver un point. Tu ne fais que rentrer dans son jeu. Avec tes insultes, tu as donné une arme à ce crétin pour démonier encore plus les «maudits séparatisss à marde». Il n'est pas assez stupide pour ne pas s'en servir.

    Crois-moi, ça ne sert à rien de tomber dans ce genre de faciliter pour gagner un débat, ni même pour avoir raison, d'ailleurs! J'ai déjà fait la même chose et je peux te dire que ça ne sert à rien, sauf de donner des munitions à l'adversaire pour te discréditer.

    Si Pierre Falardeau n'est pas pris au sérieux par les monarcho-fédérastes et une bonne partie des souverainistes, c'est principalement à cause du fait qu'il noit ses arguments dans 3-4 insultes et/ou épithètes à toutes les 2 phrases.

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  5. Je voulais, bien sûr, écrire «démoniser» et «facilité».

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  6. Cher jeune homme,

    ton dernier commentaire, ça fait longtemps que j'ai compris ça ! Sûrement plus longtemps que toi.

    Mais d'un autre côté, ça fait un bout que je vois le colonisé à Rioux sur la blogosphère, et disons qu'avec lui, c'est pas mal différent (l'exception à la règle)... je m'en permets pas mal avec lui.

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  7. Dis-moi pas que les droitistes se chicanent entre eux maintenant. C'est beau à voir!

    Internationaliste

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  8. Dis-moi pas que les homos veulent venir foutre la merde …

    Ahahahahahahahahahaha

    Ahahahahahahahahahaha

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  9. Ahahahahahahahahahaha

    Ahahahahahahahahahaha

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  10. Ahahahahahahahahahaha

    Ahahahahahahahahahaha

    Ahahahahahahahahahaha

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  11. Tu disais pas ça l'autre jour lors de notre partie de jambe en l'air!

    Internationaliste

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  12. «Tu disais pas ça l'autre jour lors de notre partie de jambe en l'air!»

    Wow! Belle citation d’un être bouché.
    Elle était tellement clichée à part de ça.
    Pauvre fifi … Vraiment pas dans le bon chemin

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  13. Erreur Frankie chéri! Je ne suis pas bouché mais comblé. Là est la différence! Continue comme ça mon amour c'est féérique!

    Internationaliste

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  14. Frankie = pauvreté argumentaire pitoyable!

    Internationaliste = pas mieux!

    Louez-vous donc une chambre, tous les deux!

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  15. J'aimerais tellement ça Jean-Luc!

    En passant je note que tu n'as rien à redire au sujet de l'homophobie de Frankie. C'est très révélateur!

    Internationaliste

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  16. @ Internationaliste.

    Je laisse les autres lecteurs juger des propos homophobes de Frankie.

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  17. «En passant je note que tu n'as rien à redire au sujet de l'homophobie de Frankie. C'est très révélateur!»

    Ouais, très révélateur, jeune homme...
    À ta place, je ferais un sérieux examen de conscience.

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  18. Lequel jeune homme? C'est plutôt toi qui devrait s'interroger sur la profondeur de ses préjugés homophobes.

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  19. Tu n'as pas encore compris que je me foutais de ta gueule, comme dirait l'autre ?!?

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  20. Comme on le dit si bien c'est n'importe quoi!

    Internationaliste

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