Un acteur important du scandale des FIER revient hanter les libéraux
Membre du Conseil d'administration de la Société des alcools du Québec depuis six ans, Pietro Perrino a des intérêts importants dans la firme de sécurité BCIA!!! L'entreprise, qui sur la sellette depuis quelques jours, a obtenu pour 660 000$ de contrats de la SAQ, entre 2006 et 2008!!!
Les contrats avaient été alloués avant que le fonds d'investissement de Perrino, par l'entremise de deux fonds d'intervention économique régionaux (les fameux FIER), n'injecte de l'argent dans la société controversée, dirigée par Luigi Coretti. Par contre, les contrats de moins de 1 million $ n'ont pas à être approuvés par le Conseil d'administration de la SAQ.
Mais, à la fin de 2007, juste après avoir investi dans la firme, Pietro Perrino avait été informé d'un litige sérieux entre la SAQ et le bouillant patron de BCIA. Luigi Coretti s'était emporté, lors d'une réunion avec des dirigeants de la SAQ, parce qu'il jugeait insuffisants les tarifs accordés par la société d'État!!!
Alors tout nouvel investisseur, Pietro Perrino, membre du Conseil d’administration de la SAQ, avait pris note de ces doléances, lors d'une rencontre au 355, rue Louvain-Ouest, là où BCIA venait d'emménager!!!
Un témoin de cette rencontre raconte que Perrino s'était informé du litige entre BCIA et la SAQ en présence du patron, Coretti, qui se disputait souvent avec des clients. Il a indiqué qu'il «verrait ce qu'il pouvait faire», mais les tarifs versés par la SAQ à BCIA n'ont pas été haussés. Quelques semaines plus tard, Coretti, sanguin, était même allé, en représailles, jusqu'à faire retirer ses agents des succursales de la SAQ pendant quelques heures, au début de 2008!!!
Pietro Perrino, que John-James Charogne a nommé au Conseil d’administration de la SAQ en 2004, est bien connu des libéraux. Issu de la Commission jeunesse du PLQ, il était l'homme de confiance de Daniel Johnson junior, au début des années 1990, et il était devenu, par la suite, l'un des principaux lieutenants de Paul Martin au Québec. Il s'était retrouvé au centre du scandale des FIER qui a été débusqué par le PQ, l'an dernier.
La version de Jacques Dupuis est contredite
Jocelyn Turcotte, le responsable des affaires policières au cabinet de Jacques Dupuis, a bel et bien téléphoné à la Sûreté du Québec, au sujet de la demande de permis de port d'armes à feu de Luigi Coretti, le patron de l'agence BCIA!!!!
Cette information, que La Presse a obtenue de sources policières, contredit la version du ministre Dupuis, qui avait soutenu, la semaine dernière, qu'il avait reçu Luigi Coretti à son bureau de comté, qu'il avait demandé à Jocelyn Turcotte de le rencontrer, par la suite, et qu'il n'y avait eu «aucune représentation»!!!!
La Presse a révélé, la semaine dernière, que Jacques Dupuis avait rencontré Luigi Coretti en 2008, à la demande du député de Lafontaine, Tony Tomassi!!! Celui-ci a démissionné du Conseil des ministres, la semaine dernière, pour avoir utilisé, à l'époque où il était député, une carte de crédit prêtée par l'agence BCIA, qui est, aujourd'hui, au bord de la faillite!!!
Membre du Conseil d'administration de la Société des alcools du Québec depuis six ans, Pietro Perrino a des intérêts importants dans la firme de sécurité BCIA!!! L'entreprise, qui sur la sellette depuis quelques jours, a obtenu pour 660 000$ de contrats de la SAQ, entre 2006 et 2008!!!
Les contrats avaient été alloués avant que le fonds d'investissement de Perrino, par l'entremise de deux fonds d'intervention économique régionaux (les fameux FIER), n'injecte de l'argent dans la société controversée, dirigée par Luigi Coretti. Par contre, les contrats de moins de 1 million $ n'ont pas à être approuvés par le Conseil d'administration de la SAQ.
Mais, à la fin de 2007, juste après avoir investi dans la firme, Pietro Perrino avait été informé d'un litige sérieux entre la SAQ et le bouillant patron de BCIA. Luigi Coretti s'était emporté, lors d'une réunion avec des dirigeants de la SAQ, parce qu'il jugeait insuffisants les tarifs accordés par la société d'État!!!
Alors tout nouvel investisseur, Pietro Perrino, membre du Conseil d’administration de la SAQ, avait pris note de ces doléances, lors d'une rencontre au 355, rue Louvain-Ouest, là où BCIA venait d'emménager!!!
Un témoin de cette rencontre raconte que Perrino s'était informé du litige entre BCIA et la SAQ en présence du patron, Coretti, qui se disputait souvent avec des clients. Il a indiqué qu'il «verrait ce qu'il pouvait faire», mais les tarifs versés par la SAQ à BCIA n'ont pas été haussés. Quelques semaines plus tard, Coretti, sanguin, était même allé, en représailles, jusqu'à faire retirer ses agents des succursales de la SAQ pendant quelques heures, au début de 2008!!!
Pietro Perrino, que John-James Charogne a nommé au Conseil d’administration de la SAQ en 2004, est bien connu des libéraux. Issu de la Commission jeunesse du PLQ, il était l'homme de confiance de Daniel Johnson junior, au début des années 1990, et il était devenu, par la suite, l'un des principaux lieutenants de Paul Martin au Québec. Il s'était retrouvé au centre du scandale des FIER qui a été débusqué par le PQ, l'an dernier.
La version de Jacques Dupuis est contredite
Jocelyn Turcotte, le responsable des affaires policières au cabinet de Jacques Dupuis, a bel et bien téléphoné à la Sûreté du Québec, au sujet de la demande de permis de port d'armes à feu de Luigi Coretti, le patron de l'agence BCIA!!!!
Cette information, que La Presse a obtenue de sources policières, contredit la version du ministre Dupuis, qui avait soutenu, la semaine dernière, qu'il avait reçu Luigi Coretti à son bureau de comté, qu'il avait demandé à Jocelyn Turcotte de le rencontrer, par la suite, et qu'il n'y avait eu «aucune représentation»!!!!
La Presse a révélé, la semaine dernière, que Jacques Dupuis avait rencontré Luigi Coretti en 2008, à la demande du député de Lafontaine, Tony Tomassi!!! Celui-ci a démissionné du Conseil des ministres, la semaine dernière, pour avoir utilisé, à l'époque où il était député, une carte de crédit prêtée par l'agence BCIA, qui est, aujourd'hui, au bord de la faillite!!!
Jacques Dupuis vient de perdre sa crédibilité de ministre de la Sécurité publique
L'autorisation de port d'armes à feu temporaire que la Sûreté du Québec a accordé à Luigi Coretti, un important donateur à la caisse électorale du Parti libéral du Québec, est très inusitée.
Le patron de BCIA a obtenu le droit d'avoir une arme à feu à utilisation restreinte, après plusieurs interventions du cabinet du ministre Jacques Dupuis. Cette décision est d'autant plus étonnante que la division des camions blindés de BCIA, Centurion, n'était pas conforme aux exigences de la police!!!
La Presse a obtenu une lettre datée du 14 mai 2008 dans laquelle la Sûreté du Québec explique au patron de BCIA que, comme le transport d'argent n'est pas son activité principale, il n'a pas le droit à «une autorisation de port valide pour une durée d'un an». «Toutefois, […] nous sommes prêts à vous offrir un service approprié aux circonstances particulières et exceptionnelles qui peuvent survenir dans le cours des affaires de votre entreprise.», écrit Marie-Pascale Brière, une cadre à la Sûreté du Québec!!!
La lettre de madame Brière révèle, aussi, une situation encore plus étonnante : «Nous sommes toujours en attente de copies de contrats de transport de valeurs, justifiant les demandes d'autorisations de port formulées par les employés de Centurion.»!!! Elle rappelle que la SQ avait «accepté» de délivrer un permis à la firme, «même si celle-ci était dans l'impossibilité de démontrer qu'elle faisait partie de l'industrie du transport blindé»!!!! En retour, Luigi Coretti s'était engagé à présenter des preuves de contrats, ce qui n'a été fait qu'une seule fois, insiste madame Brière.
Le permis de port d'armes à feu des employés de Centurion avait été délivré huit mois auparavant, soit le 1er septembre 2007, par Yves Massé, un contrôleur des armes à feu et un inspecteur de la SQ!!!!
Le SPVM est dans la tourmente
Norbert Morin fait parler de son comté…pour les mauvaises raisons
Le Directeur général des élections du Québec (DGEQ) ouvre une autre enquête sur le financement d'une association libérale. Cette fois-ci, après celles de Laviolette (Julie Boulet), de Fabre (Michelle Courchesne) et de Papineau (Norm MacMillan), il s’agit de celle de Montmagny-L'Islet (Norbert Morin)!!!!
Les inspecteurs vérifieront si les contributions des présidents de quatre festivals de Saint-Jean-Port-Joli ont été faites en toute légalité, à la suite d’un reportage de Radio-Canada qui a révélé qu'un bénévole libéral leur avait suggéré de se faire rembourser leurs dons à même les budgets de leurs festivals. Or, c'est une pratique illégale!!!! Selon la loi électorale, «toute contribution doit être versée par l'électeur lui-même et à même ses propres biens»!!!! Elle ne peut pas faire l'objet d'un remboursement.
Les quatre présidents ont donné 500$ chacun au Parti libéral du Québec, afin de «remercier» le député libéral Norbert Morin, a indiqué Radio-Canada. Saint-Jean-Port-Joli venait d'obtenir des gouvernements plus de 1 million $ pour la construction d'un chapiteau destiné à ses festivals. Un bénévole libéral, Gaétan Caron, avait invité les quatre présidents à faire une contribution au PLQ, en participant à un souper-bénéfice!!!!
Toujours selon la société d'État, Caron, qui est, également, président de la Corporation des fêtes de Saint-Jean-Port-Joli, leur a proposé de se faire rembourser le prix des billets par leurs organismes!!! Notons que le Conseil d'administration de la fête des Chants marins n'a pas voulu rembourser sa présidente, Louise Fortin!!!!
Le DGEQ, Marcel Blanchet, a décidé d'ouvrir une enquête sur-le-champ, sans passer par l'étape des «vérifications»!!!! «Comme des personnes ont témoigné à visage découvert et que ce ne sont plus seulement des allégations, on ouvre une enquête au sujet de ces contributions qui auraient été remboursées!!!», a expliqué Audrey Garon, une porte-parole du DGEQ!!!!
Tout ça, c’est sans compter que le procureur en chef de la Commission Bastarache sur le processus de nomination des juges, processus qui a été terni par les libéraux, Pierre Cimon, a contribué régulièrement à la caisse électorale du Parti libéral du Québec, dans la dernière décennie!!!!
Pendant ce temps-là, à la FTQ…
Radio-Canada a appris que trois entrepreneurs, qui ont voulu faire affaire avec le Fonds de solidarité de la FTQ, ont été victimes de demandes de pots-de-vin!!! Dans les trois cas, des intermédiaires, qui avaient des liens avec le crime organisé, avaient fait ces demandes au nom de Jocelyn Dupuis, l'ex-directeur général de la FTQ-Construction, et Jean Lavallée, l'ancien président du syndicat!!!
Il y a un mois, Jocelyn Dupuis a été arrêté à son retour de vacances en Californie. L'ex-directeur général de la FTQ-Construction est accusé de fraude pour ses dépenses exorbitantes, qui ont été mises au jour, l'an dernier!!!
Cette nouvelle enquête lève le voile sur plusieurs cas de demandes de pots-de-vin. Toutes ces demandes d'argent ont été faites dans le cadre de projets présentés au Fonds de solidarité de la FTQ par Jocelyn Dupuis et par son patron de l'époque, Jean Lavallée, président de la FTQ-Construction pendant 25 ans!!!
Ces cas tracent des liens d’affaires entre le Fonds de solidarité de la FTQ, le crime organisé, les Hells Angels et le célèbre entrepreneur Tony Accurso!!!
Si seulement on avait des élections de mi-mandat, comme c'est le cas aux États-Unis, je ne suis pas sûr que John-James Charogne garderait sa majorité cette année!!! Si seulement on pouvait faire, en tout temps, des référendums populaires sur la révocation ou non de nos politiciens, comme c'est le cas aux États-Unis (les fameux recalls), et même les poursuivre au judiciaire, en cas de corruption éhontée, de trahison ou de crimes très graves de leur part (impeachment), comme c'est le cas (hé oui!!!) aux États-Unis, je ne suis pas sûr que John-James Charogne et sa gang de crosseurs resteraient bien longtemps au pouvoir et qu'il n'y aurait pas de nouvelles élections québécoises cette année pour les remplacer!!!!
Bref, si notre peuple avait le pouvoir de faire trembler le gouvernement, qui est, quand même, une institution qui nous appartient et dont le peuple est le seul et unique maître, ceux qui sont là n'étant que ses représentants démocratiquement élus par celui-ci, comme c'est le cas aux États-Unis, je ne suis pas sûr qu'il y aurait autant de corruption au Québec!!!!
Soit nous avons une Commission d’enquête publique et indépendante sur tout ce merdier-là d’ici deux semaines, soit nous sommes en élection québécoise d’ici deux semaines!!!! John-James Charogne doit choisir ce qu’il préfère!!!
Nous, le peuple, voulons du changement!!!
Nous, le peuple, voulons faire trembler le gouvernement!!!!
Nous, le peuple, demandons la révocation populaire, démocratique et immédiate du mandat de l'actuel gouvernement libéral et du premier ministre libéral du Québec, John-James Charogne, lui qui s'est fait élire sous de fausses représentations, qui a plongé le Québec dans la désolation économique et sociale et qui a transformé le Québec en république de bananes ploutocratique et fasciste, là où la dissidence d'opinion est proscrite, où la liberté d'expression est menacée, où la démocratie est continuellement attaquée et où le culte de la personnalité du «grand bâtisseur» auto-proclamé par son parti anti-démocratique a été établie!!!!
Nous, le peuple, demandons, ensuite, le déclenchement immédiat de nouvelles élections québécoises, afin de remplacer l'actuel gouvernement libéral dont le mandat fut préalablement révoqué de façon populaire et démocratique, par l'intermédiaire de la procédure démocratique du référendum populaire appellé recall!!!!
Pour terminer, je vais vous citer ce passage de la Déclaration d’indépendance des États-Unis d’Amérique.
Nous tenons pour évidentes pour elles-mêmes les vérités suivantes : tous les hommes sont créés égaux!!! Ils sont doués par le Créateur de certains droits inaliénables. Parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur!!!! Les gouvernements sont établis parmi les hommes pour garantir ces droits et leur juste pouvoir émane du consentement des gouvernés. Toutes les fois qu'une forme de gouvernement devient destructive de ce but, le peuple a le droit de la changer ou de l'abolir et d'établir un nouveau gouvernement, en le fondant sur les principes et en l'organisant en la forme qui lui paraîtront les plus propres à lui donner la sûreté et le bonheur!!! La prudence enseigne, à la vérité, que les gouvernements établis depuis longtemps ne doivent pas être changés pour des causes légères et passagères et l'expérience de tous les temps a montré, en effet, que les hommes sont plus disposés à tolérer des maux supportables qu'à se faire justice à eux-mêmes, en abolissant les formes auxquelles ils sont accoutumés!!! Mais, lorsqu'une longue suite d'abus et d'usurpations, tendant invariablement au même but, marque le dessein de les soumettre au despotisme absolu, il est de leur droit, il est de leur devoir, de rejeter un tel gouvernement et de pourvoir, par de nouvelles sauvegardes, à leur sécurité future!!!
On dirait que les Pères-fondateurs des États-Unis d’Amérique ont prédit l’élection de John-James Charogne au Québec et qu’ils ont voulu tracer, ainsi, un portrait de son gouvernement et de ce qui risque de lui arriver, si il s’entête à ne rien faire, et ce, 234 ans plus tôt!!!
Qui donc a intérêt à ce que Hydro-Québec sorte de ses frontières territoriales et de son mandat pour faire cette transaction, nous dit l’avocat, le conseiller en gestion et l’ancien ministre délégué à la Restructuration dans le Conseil des ministres de Jacques Parizeau (1994-1995), Richard Le Hir? Il faut comprendre que le jour où Hydro-Québec s’aventure à l’extérieur de ses frontières, elle tombe sous la compétence de l’Office national de l’énergie d’Ottawa et elle s’expose à être déclarée à l’avantage général du Canada, selon les termes de l’article 92(10) de la Constitution de 1867, article qui a été repris en 1982!!!
Le grand spoliateur charognard à l’éthique inexistante voulait, donc, couper les ailes du Québec, en l’attaquant directement en plein coeur, le tout avec ses chums monarcho-fédérastes, Paul Desmarais en tête!!!! Heureusement que ça a échoué, sinon, ça aurait ouvert la porte à un scénario où le gouvernement fédéral aurait pu prendre le contrôle du développement énergétique du Québec, alors qu’il s’agit là d’une compétence strictement provinciale!!! Hum, je me demande si c’est là la vraie raison de pourquoi John-James Charogne, cet agent du fédéral, chiale tant sur le développement des sables bitumineux de l’Alberta, et ce, sur toutes les tribunes possibles pour le faire, le tout avec une arrogance sans borne : permettre au gouvernement fédéral de hidjacker une compétence provinciale à son avantage!!!!
Ensuite, les monarcho-fédérastes diront que le Canada permet au Québec et aux autres provinces de se développer comme bon leur semble!!!!
Quant à moi, ça confirme les soupçons que j’avais, quand Paul Desmarais a soudoyé Nicolas Sarkozy, afin que ce dernier remette la Légion d'honneur à John-James Charogne, tout en lui donnant l’ordre de détruire la politique française de non-ingérence et non-indifférence envers le Québec et de dire des âneries sur les souverainistes du Québec!!!!
D’autres récompenses l’attendent sûrement encore, dans le détour!!!!
Nous avons le devoir de répandre ces textes, nous dit Michel Laurence!!!! Les exactions de Jean Charest ne doivent pas rester impunies. Le Parti québécois doit réagir vigoureusement. Je dirais même que les libéraux «honnêtes» (il s’en trouve certainement quelques-uns) doivent se révolter et dénoncer, eux-aussi, le Plan N.O.R.D. de leur «grand spoliateur»!!! Ne pas Oublier de Remercier Desmarais!!! C’était donc ça le «Plan N.O.R.D.»????
Nous avons le devoir de répandre ces textes, nous dit Michel Laurence!!!! Les exactions de Jean Charest ne doivent pas rester impunies. Le Parti québécois doit réagir vigoureusement. Je dirais même que les libéraux «honnêtes» (il s’en trouve certainement quelques-uns) doivent se révolter et dénoncer, eux-aussi, le Plan N.O.R.D. de leur «grand spoliateur»!!! Ne pas Oublier de Remercier Desmarais!!! C’était donc ça le «Plan N.O.R.D.»????
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