Plongée dans la tourmente depuis les déclarations véridiques qu’elle a fait à l’Assemblée nationale sur trois ministres du gouvernement de John-James Charogne qui ont séjourné sur le bateau de Tony Accurso, la député adéquiste de Lotbinière, Sylvie Roy, a craint pour sa sécurité, en début de semaine.
Deux demandes pour connaître son adresse personnelle sont parvenues à son cabinet, lundi! Inquiétée, Sylvie Roy a alerté la Sûreté du Québec (SQ). Des recherches ont permis de remonter jusqu'au bureau de la ministre des Transports, Julie Boulet, l'une des trois ministres en question qui n’ont JAMAIS été nommés par madame Roy, mais bien par John-James Charogne lui-même.
Au bureau de la ministre Boulet, l'attachée de presse, Jolyane Pronovost, reconnaît qu'une demande a été placée au whip en chef du gouvernement, l’innefable Pierre Moreau, pour obtenir l'adresse personnelle de madame Roy, afin que la ministre puisse envoyer de la «correspondance secrète» à la députée adéquiste. Entre le bureau de la ministre et le cabinet de la députée adéquiste, les versions divergent, quant au cheminement exact emprunté pour obtenir l'information, mais, pour que toute cette histoire eu de telles répercussions, j’imagine que la tarte à la Julie Boulet n’a pas pensé de signer ses demandes, avant de les envoyer au cabinet de la députée de Lotbinière.
Au cabinet de Sylvie Roy, en soirée, on supposait que la «correspondance» était, peut-être, la mise en demeure envoyée par la ministre à la députée de Lotbinière, mardi, puisque Julie Boulet a déjà affirmé qu’elle voulait poursuivre Sylvie Roy pour ses propos. Mais, l'hypothèse de l'intimidation était encore envisagée, car madame Roy était sûre et certaine, de par les questions qu’elle a posé sur la corruption dans l’industrie de la construction, d’être poursuivie par la mafia.
Voici un autre article sur tout ça!
Bref, tout cet imbroglio ne serait pas arrivé, si, au lieu d’avoir agit en amateure pour connaître l’adresse personnelle de Sylvie Roy, Julie Boulet avait, seulement, pris la peine de consulter les fiches de l’Assemblée nationale et de partir de là, comme on le fait, en temps normal, quand on a une tête sur les épaules et que l’on veut entrer directement en contact avec un élu. De toute façon, l’Assemblée nationale a tous ces renseignements-là et ils lui sont beaucoup plus accessibles à elle, qui est une élue, qu’à moi, qui suis un citoyen ordinaire. Julie Boulet est députée depuis 2001 et ministre depuis 2003 et elle ne savait pas ça, alors que moi, qui ne suis qu’un simple citoyen, le savais déjà depuis longtemps. Mais, c’est une tarte, c’est une maudite niaiseuse insipide, c’est une épaisse, c’est une idiote!!!!!
Il me semble qu’utiliser cette façon de faire-là aurait été 100 fois plus simple que de faire croire à madame Roy qu’elle était poursuivie par la mafia et que sa sécurité et celle de sa famille étaient en danger. Personnellement, je crois que c’est plus qu’une simple petite erreur et que c’était une opération orchestrée de toutes pièces par les libéraux pour faire craquer madame Roy, car elle en sait trop sur toute la cochonnerie que ces vermines-là nous cachent.
Le fait de voir Jacques Dupuis gueuler, littéralement, en passant devant les journalistes, hier, que Sylvie Roy «est allée trop loin» est assez comique, lui qui cache des criminels, au sein de son équipe.
De plus, les libéraux, le pauvre Claude Béchard en tête, peuvent bien s’époumonner contre Sylvie Roy en disant, par la bouche de Pierre Moreau, qu’«elle se pose en victime», mais qui nous dit qu’il n’est pas mêlé dans toutes les révélations de corruption qui nous tombent dessus, depuis le début de l’année, hein? Pourquoi pensez-vous que John-James Charogne a décidé de s'attaquer à la démocratie pour faire «taire et expulser» Sylvie Roy, autrement, hein?
Au bureau de la ministre Boulet, l'attachée de presse, Jolyane Pronovost, reconnaît qu'une demande a été placée au whip en chef du gouvernement, l’innefable Pierre Moreau, pour obtenir l'adresse personnelle de madame Roy, afin que la ministre puisse envoyer de la «correspondance secrète» à la députée adéquiste. Entre le bureau de la ministre et le cabinet de la députée adéquiste, les versions divergent, quant au cheminement exact emprunté pour obtenir l'information, mais, pour que toute cette histoire eu de telles répercussions, j’imagine que la tarte à la Julie Boulet n’a pas pensé de signer ses demandes, avant de les envoyer au cabinet de la députée de Lotbinière.
Au cabinet de Sylvie Roy, en soirée, on supposait que la «correspondance» était, peut-être, la mise en demeure envoyée par la ministre à la députée de Lotbinière, mardi, puisque Julie Boulet a déjà affirmé qu’elle voulait poursuivre Sylvie Roy pour ses propos. Mais, l'hypothèse de l'intimidation était encore envisagée, car madame Roy était sûre et certaine, de par les questions qu’elle a posé sur la corruption dans l’industrie de la construction, d’être poursuivie par la mafia.
Voici un autre article sur tout ça!
Bref, tout cet imbroglio ne serait pas arrivé, si, au lieu d’avoir agit en amateure pour connaître l’adresse personnelle de Sylvie Roy, Julie Boulet avait, seulement, pris la peine de consulter les fiches de l’Assemblée nationale et de partir de là, comme on le fait, en temps normal, quand on a une tête sur les épaules et que l’on veut entrer directement en contact avec un élu. De toute façon, l’Assemblée nationale a tous ces renseignements-là et ils lui sont beaucoup plus accessibles à elle, qui est une élue, qu’à moi, qui suis un citoyen ordinaire. Julie Boulet est députée depuis 2001 et ministre depuis 2003 et elle ne savait pas ça, alors que moi, qui ne suis qu’un simple citoyen, le savais déjà depuis longtemps. Mais, c’est une tarte, c’est une maudite niaiseuse insipide, c’est une épaisse, c’est une idiote!!!!!
Il me semble qu’utiliser cette façon de faire-là aurait été 100 fois plus simple que de faire croire à madame Roy qu’elle était poursuivie par la mafia et que sa sécurité et celle de sa famille étaient en danger. Personnellement, je crois que c’est plus qu’une simple petite erreur et que c’était une opération orchestrée de toutes pièces par les libéraux pour faire craquer madame Roy, car elle en sait trop sur toute la cochonnerie que ces vermines-là nous cachent.
Le fait de voir Jacques Dupuis gueuler, littéralement, en passant devant les journalistes, hier, que Sylvie Roy «est allée trop loin» est assez comique, lui qui cache des criminels, au sein de son équipe.
De plus, les libéraux, le pauvre Claude Béchard en tête, peuvent bien s’époumonner contre Sylvie Roy en disant, par la bouche de Pierre Moreau, qu’«elle se pose en victime», mais qui nous dit qu’il n’est pas mêlé dans toutes les révélations de corruption qui nous tombent dessus, depuis le début de l’année, hein? Pourquoi pensez-vous que John-James Charogne a décidé de s'attaquer à la démocratie pour faire «taire et expulser» Sylvie Roy, autrement, hein?
Y a-t-il vraiment quelqu'un qui pense, sérieusement, encore, à la lumière des derniers événements, que Béchard a vraiment eu le cancer tout juste après que son attachée politique se soit faite tuer, hein? Je suis prêt à parier qu'il a reçu des menaces de mort de ses chums de la mafia qui ont éliminé son attachée politique pour je ne sais quelle raison et qu'il a voulu se faire oublier, pendant quelques temps, et il a trouvé l'excuse du cancer pour se terrer chez-lui avec la protection de la police, pour sauver sa peau, parce que c’était lui le prochain sur la liste de ses chums de la mafia. Si les suppositions que je fais aujourd’hui sont vraies, c’est dégueulasse et c’est très grave, car ça expliquerait vraiment pourquoi le gouvernement ne veut pas de Commission d’enquête sur toutes ces histoires de corruption dans l’industrie de la construction et dans le financement des partis politiques.
J'espère juste que Francis Proulx n'est pas l’agneau sacrifié que l'on a arrêté pour rien, dans cette histoire. Avec John-James Charogne, il faut envisager tous les scénarios possibles, puisqu'il a vendu le Québec à la mafia. Si il n'avait rien à se reprocher, la Commission d'enquête publique et indépendante sur l'industrie de la construction et sur le financement des partis politiques serait sur le point de prendre forme. Malheureusement, il n’en ait rien et on est même, encore, à des miles et des miles d’une Commission d’enquête, à cause de l’entêtement de Charogne.
Au moins, le peuple semble commencer à voir clair dans toute cette histoire et la procédure fasciste contre Sylvie Roy a été rejetée, mais le mal est fait. Maintenant, les gens doivent voir John-James Charogne tel qu’il est vraiment, c'est-à-dire le pire dictateur corrompu, étatiste et tyrannique à n’avoir jamais dirigé le gouvernement du Québec, parce que, moi, ce n’est pas vrai que je vais le lâcher là-dessus. Je tiens un os et je vais m’en servir. Est-ce que c’est bien clair, ça?
Question pas rapport, vite de même
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