samedi 6 février 2010

Vive le PQ libre...des faux péquistes du SPQ-libre qui lui nuisent plus qu'autre chose!!!!!









Peu importe ses motivations, Pauline Marois a eu raison de dire que les demandes syndicales, dans le cadre des négociations à venir du secteur public avec le gouvernement, sont «un peu élevées». Les syndicats demandent 11,25% d’augmentation de salaire sur 3 ans. Or, dans l’état actuel où se trouvent notre croissance économique et nos finances publiques, plus tout l’argent que l’on perd dans la collusion dans l’industrie de la construction et dans des espèces de sotises environnementeuses qui, en bout de ligne, nous pénalise dans notre choix d’achat d’un véhicule, tout ça pour téter les votes des environnementeurs et du curé en soutane d’Équiterre, Steven Guilbeault, ces demandes syndicales-là sont carrément choquantes pour n’importe quel travailleur de la classe moyenne qui est étranglé par les taxes, les impôts et les tarifs de toutes sortes, qui n’a pas de porte-parole ou de lobby pour se faire entendre, qui élèvent sa famille et qui essait, tant bien que mal, de boucler son budget à la fin du mois, le tout dans l’anonymat le plus complet.


D’ailleurs,
selon l’Institut de la statistique du Québec, la rémunération globale des professionnels du secteur public est déjà plus élevée que celle de ceux du secteur privé, lesquels servent, ni plus, ni moins, qu’à payer les impôts qui sont utilisés pour payer les salaires des premiers, donc, c’est le public qui profite du privé, tout en crachant sur lui, en prétextant un écart épouvantable avec le privé, dont le public serait l’éternelle victime, alors que c’est complètement faux, d’ailleurs! De plus, les professionnels du public ont la sécurité d’emploi, alors qu’ils arrêtent de se comparer avec leurs homologues du privé et qu’ils arrêtent de nous marteler le message de l’écart entre les emplois du privé comparables!

Au privé, si vous êtes
incompétent, vous perdez votre emploi! Si votre entreprise rationnalise ses dépenses, malgré d’énormes bénéfices, vous perdez votre emploi! Si votre entreprise décide de quitter pour un pays qui dispose d’une main-d’oeuvre presque gratuite, vous perdez votre emploi! Cette sécurité d’emploi vaut, facilement, la différence de rémunération qui, supposément, désavantagerait le public, et même beaucoup plus, à mes yeux! Au privé, il y a des cibles de performance, de la compétition et du rendement exigé, ce qui est loin d’être le cas au public, là où l’évaluation des programmes ne se fait jamais! L’écart devrait être d’au moins 20% pour des emplois comparables pour les raisons que je viens de mentionner. Or, ce n’est pas du tout le cas!


Pauline Marois a, donc, admis une évidence qui, à mes yeux, est pleine de lucidité. Ne pas critiquer les demandes des syndicats, à l’aube de négociations qui s’annoncent plus que difficiles, aurait été, tout simplement, indigne de son rôle de Cheffe de l’Opposition officielle, car, essayant de naviguer en eaux troubles, et ce, depuis plusieurs mois, le gouvernement de John-James Charogne aurait, sans doute, laissé libre court à ses vieux réflexes électoralistes et cédé aux chantages des syndicats, dans le but évident de retrouver la faveur de l’électorat dans les sondages, au détriment, bien sûr, des gens ordinaires qui, à la fin, paieront encore la note du party des syndicats! Il ne faut pas oublier que, depuis qu’il est au pouvoir, Charogne ne s’est pas vraiment illustrer en défenseur de la classe moyenne et des finances publiques du Québec, alors la vigilance et la méfiance à son endroit est, donc, de mise et, tout à fait, saine et à propos.

C’était le minimum qu’elle pouvait dire là-dessus! Elle ne pouvait, quand même, pas dire que le gouvernement a raison et que l’on signe le
chèque, puisque le gouvernement en question s’apprête à négocier avec les syndicats, et ce, au nom de tous les contribuables et avec leur argent durement gagné! Mais, avant de penser à faire le ménage dans la machine gouvernementale, madame Marois devrait, d’abord, penser à faire le ménage dans son propre parti!

Je m’explique!

Personnellement, sans sentir un virage à droite de sa part dans ses idées, je suis de ceux qui croient que Pauline Marois devienne, de plus en plus,
lucide avec l’âge. La lucidité commence bien à quelque part et, à mon avis, s’inquiéter de la dette, du déficit, de la gourmandise vorace des syndicats, de l’état lamentable de nos finances publiques et de la lourdeur de l’appareil gouvernemental, est, déjà, en soi, un très grand début. Par contre, à chaque fois qu’elle souhaite donner libre court à cet élan de lucidité qui semble l’animer depuis quelques temps, elle se fait rabrouer par une espèce de club politique d’extrême-gauche qui a été créé, lors du Conseil national du PQ de juin 2004, et qui se nomme le SPQ-libre, soit les Syndicalistes et Progressistes pour un Québec libre. Il s’agit du seul club politique autorisé et accrédité au sein du PQ et qui exerce un poids et une influence considérable, lors des Conseils nationaux du parti.


Il ne suffisait pas que le PQ, nous dit Jacques Brassard, depuis sa fondation, soit, en quelque sorte, fasciné et ensorcelé par les postures et les évangiles de gauche! Il a fallu, en plus, faire une niche dorée, au sein du Conseil national, à un véritable commando bien organisé d’experts propagandistes de l’archaïque credo socialo-étatiste. Sous la houlette de l’ancien président de la CSN, Marc Laviolette, le club des Syndicalistes, ayant appris, à la bonne école, l’art de la manoeuvre et de la rhétorique enflammée et invoquant même la figure emblématique de René Lévesque, réussit à subjuguer une majorité de membres.

Mais, réellement, qu’est-ce que c’est, donc, que cette
étrange bibitte qu’est le SPQ-libre qui a tant critiqué madame Marois sur ses propos lucides concernant les demandes des syndicats qu’elle juge «un peu élevées», hein? Après tout, elle est dans un parti politique dont elle est la cheffe et elle n’a pas dit que les demandes syndicales étaient exagérées et que les syndicats étaient tombés sur la tête! Elle a juste dit qu’ils faisaient des demandes «un peu élevées». C’est tout!


Hé bien, le SPQ-libre est une sorte de parti dans le parti! C’est un
groupe que Bernard Landry, quand il était le chef du PQ, a autorisé et qui réunit, sous sa bannière, des membres du PQ qui appartiennent au mouvement syndical et à la gauche politique et qui s’affilient au PQ pour prendre une place dans ses stratégies politiques et dans l’élaboration de son programme électoral.

Voici
un extrait de la déclaration de principes du SPQ-libre :






Pour sortir de la marginalité, la gauche syndicale et progressiste doit constituer une tendance organisée et reconnue à l’intérieur du Parti québécois, avec la perspective d’y défendre ses idées et de faire élire un certain nombre de ses portes-parole, lors d’éventuelles élections partielles et, bien entendu, lors des prochaines élections générales.






Vous voyez, maintenant, l’objectif de ce groupe syndicaleux qui veut prendre sa place dans le PQ et qui veut influencer ses décisions, parce qu’il trouve que le PQ n’est pas assez à gauche à son goût! Tape sur ma tête avec un marteau!

Voici les membres du Conseil d’administration du SPQ-libre :





1) Marc Laviolette : président du SPQ-libre et ex-président de la CSN ;

2) Hélène Guay : vice-présidente du SPQ-libre et syndicaliste à la
retraite du SEPB-FTQ ;


3)
Pierre Dubuc : secrétaire du SPQ-libre et rédacteur en chef de L’Aut’journal, le journal préféré de la gau-gauche québécoise et des militants de l’extrême-gauche québécoise ;

4) Jean Baribeau : trésorier du SPQ-libre et
militant syndical à l’Alliance des profs de Montréal ;

5)
Robert Dean : conseiller du SPQ-libre et vice-président de la FTQ de 1969 à 1981 et ministre dans un gouvernement du Parti québécois de 1981 à 1985 ;

6) Michel Parent : conseiller du SPQ-libre et président du
Syndicat des cols bleus de Montréal ;

7) Sylvain Charron : conseiller du SPQ-libre et trésorier du
Syndicat des débardeurs du Port de Montréal ;

8) Sylvain Martin : conseiller du SPQ-libre et
permanent au TCA-Québec ;

9) Alain Dion : conseiller du SPQ-libre et ex-président de la
Fédération autonome du Collégial (FAC) ;

10) Jacques Beaumier : conseiller du SPQ-libre et permanent au
Syndicat de la fonction publique du Québec.






Bref, ce sont tous des gens qui sont très influents dans le monde syndical, mais qui affirment, haut et fort, que le mouvement syndical n’a pas assez d’influence dans le PQ! Curieusement, la fondatrice du SPQ-libre, Monique Richard, qui est, également, l’ancienne présidente de la CSQ, est devenue présidente de ce mouvement-là et présidente du PQ et, aux élections québécoises du 8 décembre 2008, elle a été élue, sous la bannière du Parti québécois, députée du comté de Marguerite-D’Youville et, la cerise sur le sundae : la seule candidate en lice à l’investiture péquiste pour choisir la personne qui représentera le PQ, lors de l’élection partielle qui aura, bientôt, lieu dans le comté de Vachon, est une ancienne membre du SPQ-libre!


Il vient, cependant, un moment où le silence, nous dit Joseph Facal, devient impossible! Le PQ ne peut pas, d’un côté, blâmer le gouvernement pour l’état actuel des finances publiques et, de l’autre côté, endosser des propositions qui l’empireraient! Or, sitôt que madame Marois énonce une évidence, le SPQ-libre la critique avec une virulence qu’aucune autre instance de ce parti ne saurait se permettre, sans en subir les conséquences! Dès 2007, plusieurs personnes avaient conseillé à madame Marois de mettre fin à cette nuisance qu’était le SPQ-libre, avant que les échéances politiques ne limitent sa marge de manœuvre. Faute d’avoir agi, l’affaire s’est, aujourd’hui, singulièrement, compliquée : ou le PQ continue à faire des compromis avec ces hurluberlus qui lui causent énormément de tort, ou il y met fin, casse des œufs et déplaira aux syndicats, et ce, dans une conjoncture particulièrement délicate! Il faudra choisir!

Les propos du SPQ-libre, poursuit Facal, étaient, aussi, extraordinairement, révélateurs de ce qui heurte tant de péquistes et d’ex-péquistes! Dans une sortie, franchement, délirante qui a été rapportée dans Le Devoir du 30 janvier dernier et qui mettait, dans le même sac, la collusion dans l’industrie de la construction, Norbourg, Earl Jones, les gens qui ne paient pas d’impôts et les «riches de la société», Marc Laviolette disait d’eux : «tous des pourris»! C’est si consternant qu’on ne sait plus par où commencer! Être riche et honnête est présumé impossible, les syndicats ne jouent, évidemment, aucun rôle dans ce racket de la construction et le Québec est rempli d’autres Vincent Lacroix et Earl Jones qui nous éviteraient de devoir faire des vrais choix! Pathétique!

Marc Laviolette a, aussi, l’outrecuidance, conclut-il, de laisser entendre que l’argent qui dormirait à Ottawa règlerait, comme par enchantement, nos problèmes! C’est rire du monde! Ottawa est dans le rouge par-dessus la tête, tout comme nous, et les péquistes qui ont une tête sur les épaules savent que la souveraineté ne se fera pas mardi prochain. Son acolyte, Pierre Dubuc, disait que les syndicats du secteur public s’attendent à ce que «leur parti» les défende. Au moins, c’est franc! À la différence de René Lévesque, jadis, pour qui le PQ devait penser, d’abord, au «monde ordinaire» et ne pas avoir les mains liées par quiconque, il faudrait, donc, que le PQ soit, carrément, la courroie de transmission des syndicats, comme l’est le NPD fédéral. On se demande, ensuite, pourquoi tant de nationalistes décrochent du PQ! Avec de tels «amis», madame Marois n’a pas besoin d’ennemis!


Bref, si le PQ se ramasse dans le
trouble, c’est, spécifiquement, à cause de son aile la plus à gauche qui se paie un party corpo-fasciste sur son dos, depuis la création du SPQ-libre, et qui fait éloigner du parti son aile plus à droite, car les péquistes qui sont plus à droite que la moyenne des péquistes sont, tout simplement, dégoûtés du poids et de l’influence que possède le SPQ-libre, au sein du parti! Mais, le PQ est dans l’Opposition officielle et la prochaine élection québécoise n’aura pas lieu avant 2012, ce n’est, donc, pas si pire que ça! Mais, vous êtes vous questionné sur le scénario où le Parti québécois était au pouvoir et que Pauline Marois avait les rênes de l’État québécois, hein? Un lobby aux idées archaïques et socialo-syndicalo-étatistes autorisé et accrédité à l’intérieur du parti qui fait chanter la cheffe (et la première ministre, dans ce scénario fictif), qui fait la pluie et le beau temps sur les décisions qui sont prises, lors des Conseils nationaux du parti, qui pense représenter la majorité des péquistes et des Québécois(es), mais qui, en fait, ne représente que les cols bleus et le reste du gratin syndical québécois et qui vient jouer dans tout ce qui concerne les négociations dans le secteur public, comme si c’était un vrai parti politique reconnu et un groupe parlementaire reconnu est quelque chose de très malsain, non seulement, pour la crédibilité du parti, mais, aussi, pour la saine gestion de l’État!


J’encourage, donc, fortement, Pauline Marois à faire le ménage dans son parti, avant qu’il ne soit trop tard, ce qui veut dire qu’elle doit mettre son poing sur la table, faire très bien comprendre à Laviolette et à sa gang de
clowns que la cheffe du parti, c’est elle, mettre la hache dans ce groupe de Baby-boomers nostalgiques des idées soixantes-huitardes complètement périmées et qui ne cadrent plus à la réalité actuelle et de leur dire que, si ils ne sont pas contents de ne plus pouvoir nuire au PQ et de le faire passer pour un parti de bouffons de l’intérieur, ils n’ont qu’à continuer à le faire de l’extérieur, en allant nuire au PQ dans le parti attitré pour se faire, soit Culbec suicidaire, cet archaïque parti communiste, pro-terroriste et anti-occidental, dont la co-cheffe a pris d’assaut les manuels scolaires de nos écoles pour brainwasher nos jeunes avec sa propagande marxiste! En fait, la façon dont le SPQ-libre s’y prend, actuellement, pour nuire au PQ, et ce, à l’intérieur même du parti, est la plus hypocrite qu’il n’y a pas, car ça donne des munitions aux libéraux et à leurs médias pour dire que les péquistes ne sont pas dignes de confiance, car ils se chicanent tout le temps entre eux.

Personnellement, les clowns du SPQ-libre ont tellement nuit au parti et à
la cause souverainiste avec leurs idées syndicalo-marxistes indigestes que je ne les considère même pas comme étant des vrais péquistes. Ils se sont tellement appropriés l’idée du pays dans les médias, alors qu’elle ne leur appartienne pas, et ils ont, pratiquement, réussit à faire croire à la population que la souveraineté du Québec était, d’abord et avant tout, un projet de gauche, au lieu d’un projet de libération nationale, qu’ils ont découragé une bonne partie de la droite de nous suivre. Certains droitistes qui militaient au PQ pour faire l’indépendance ont même quitté le parti, suite à certaines altercations verbales et philosophiques qu’ils ont eu avec cette aile de gau-gauche radicale, ce qui n’était pas pour aider le parti à grandir et à faire porter bien haut la flamme souverainiste dans la population qui, par-dessus le marché, a souvent été témoin de ces altercations de fond de ruelle qui n’ont pas leur place dans un parti politique, quel qu’il soit! Les membres d’un parti politique doivent pouvoir s’entendre et parler d’une seule voix autour d’un sujet commun. Or, à cause de la mouvance du SPQ-libre, le PQ a délaissé son objectif commun (l'indépendance du Québec) qui rassemblait les différentes factions qui le compose (gauche-centre-droite) pour se diviser, plus souvent qu’autrement, sur les questions socio-économiques, et ce, au grand plaisir des libéraux.

En fait, si j’étais
conspirationniste, je croirais presque que Laviolette et sa gang sont, en réalité, des agents provocateurs payés par Ottawa (donc, des fédéralistes qui se font passer pour des souverainistes, comme ce fut le cas de Claude Morin, cet agent de la GRC qui était payé pour espionner, de l'intérieur, le PQ et René Lévesque) pour créer la zizanie au sein du PQ, pour que le parti s’éloigne de son objectif premier qui est l’indépendance du Québec et, ainsi, nous empêcher de la faire!


Souverainiste de droite que je suis, je dois même admettre que la présence de cette faction
soviétique au sein du parti avait contribué à me faire, moi-même, délaisser le PQ et à me faire opter pour l’ADQ, lors des élections québécoises du 26 mars 2007. J’avais parlé de mon vote adéquiste de 2007 beaucoup plus en profondeur ici. Je suis revenu au PQ en 2008, quand j’ai réalisé que l’ADQ était encore plus un gros n’importe quoi que le PQ. Ainsi, en allant nous nuire chez Culbec suicidaire, les faux péquistes du SPQ-libre rendront un immense service au PQ, en le délestant de ses troubles-fêtes qui l’empêchent de prendre des décisions et des positions cohérentes et en phase avec les réalités et les défis d’aujourd’hui, car il est totalement impossible que le Québec, une fois souverain, puisse continuer à faire les choses comme il les fait, depuis la Révolution tranquille!

Heureusement, les prochaines élections québécoises sont encore loin et c’est le temps, pour madame Marois, de nous montrer ce qu’elle a dans le ventre et de faire
preuve d’un incroyable exemple de leadership et de courage politique en purgeant son parti de ses extrémistes socialistes qui nuisent à l’image et à la crédibilité de celui-ci chez les gens ordinaires. Si elle ne le fait pas, elle risque de le regretter amèrement dans un avenir très rapproché, en se faisant, tout simplement, montrer la porte de sortie, soit par les membres de son parti, soit par la population, en subissant une deuxième défaite électorale de suite qui sonnera, à coup sûr, le glas de sa fructueuse carrière politique, défaite qui débouchera, également, sur un quatrième mandat libéral consécutif dont le Québec ne se relèverait pas!

Étrangement, tout comme les joyeux
lurons de la nébuleuse de gauche qu’est le SPQ-libre, des anciens députés péquistes, comme Guy Chevrette, Robert Burns et tant d’autres, étaient, eux-aussi, issus du monde syndical et ils ont eu de longues trajectoires au sein du PQ, le tout sans jamais ressentir le besoin de créer un parti dans le parti!

La vraie question que l’on devrait tous et toutes se poser est celle-ci : quel est, donc, l’
intérêt d’avoir un regroupement, dont le but avoué n’est pas de faire avancer les idées du PQ dans la société, mais, bel et bien, celles du monde syndical et de la gauche politique dans le PQ, contribuant, ainsi, à lui faire défendre tout et son contraire et à diluer, dans une mer gauchiste, le vrai message de ce parti qui est l’indépendance du Québec, hein?


Ah, et, une petite question pour les souverainistes de gauche : croyez-vous vraiment que c’est
en exigeant l’intervention du gouvernement fédéral pour que celui-ci, avec ses gros sabots, aille dicter à l’Alberta la marche à suivre dans le développement des ressources naturelles (une compétence provinciale) qu’elle a sur son territoire que l’on renforcera la crédibilité de notre mouvement politique, tout comme le fait de maintenir le Québec dans le BS de la péréquation et la dépendance fiscale, tout en se réjouissant de cette situation, absolument, intolérable*, que l’on créera des conditions favorables à l’accession à la souveraineté, hein?

* De toute façon,
comme l’a si bien dit notre super-ministre des Finances, Raymond Bachand, un ancien président de la FTQ-Construction, soit dit en passant, la finalité, ce n’est pas d’équilibrer le budget! La finalité, c’est d’être heureux comme peuple!

6 commentaires:

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  2. Bon, j'espère que tout le monde ici a compris le message! Je gère un blogue, pas une garderie!

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  6. Bon, ça suffit!!! Carton rouge pour tout le monde!!! Le vrai Jacques St-Pierre n'est jamais tombé, que je sache, dans les distribes pro-peine de mort et le vrai Joseph Facal a trop de classe pour tomber dans une telle vulgarité.

    Je croyais que je m'étais très bien fait comprendre, mais, puisque c'est comme ça, je pénaliserai donc tout le monde, à cause d'une seule pomme pourrie qui s'amuse à troller mon blogue sous de multiples identités.

    Désormais, les commentaires anonymes seront totalement IN-TER-DITS sur ce blogue!!!! Est-ce que je me fait bien comprendre? J'espère bien que oui!!!

    Si vous voulez commenter, vous allez devoir vous identifier avec un compte Google. Ma décision vient de tomber et elle est irrévocables.

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