mercredi 3 février 2010

ACWgate : un scandale permanent ou le plus grand scandale scientifique de toute l'Histoire de l'Humanité?









En ces temps de réchauffement climatique, on gèle dehors, comme ce n’est pas possible. Mais, rassurez-vous, tout le monde! N’oubliez pas qu’il y a un consensus scientifique extrêmement solide qui nous prouve l’existence de ce réchauffement climatique! La glace fond! La mer monte! Les ouragans déferlent! Les gentils ours polaires sont menacés d’extinction! Tout est de votre faute! On va tous mourir! Allons, allons, calmez-vous, là, ce n’est même pas vrai!

Depuis quelques temps, toutes les
tuiles s’abattent, les unes après les autres, sur cette idéologie catastrophiste qu’est le réchauffement climatique anthropogénique.

D’abord,
on a appris que la population d’ours polaires ne cessait d’augmenter, d’année en année. On estime que, durant les années 1950, la population d’ours polaires se chiffrait, au maximum, à 5000 pour atteindre entre 8000 (minimum) et 10 000 (maximum), de 1965 à 1974, 25 000, en 1984, et 20 000 (minimum) et 25 000 (maximum), en 2005! Où est la diminution de la population d’ours polaires là-dedans, hein? Pourquoi ne pourraient-ils plus s’adapter aux changements des températures, alors qu’ils ont toujours réussi à s’adapter, dans le passé, hein? Cette publicité-choc de Greenpeace-Allemagne est, donc, discréditée.

Ensuite,
on a appris que, pour la première fois en 250 ans, les glaciers s’étendaient en Alaska et que les glaces du Groënland étaient à leur plus haut niveau, depuis 15 ans, ce qui prouve que l’ont sort, naturellement, d’une période de réchauffement climatique pour se diriger vers une période de refroidissement climatique.


Ensuite,
on sait, maintenant, et ce, hors de tout doute raisonnable, que le CO2 n’est pas un polluant, mais bien un gaz inoffensif, non-toxique, non-polluant et essentiel à la photosynthèse et au cycle même de la vie sur Terre.

Ensuite, il y a eu cette histoire complètement abracadabrante où on interdit la publication d’un rapport de l’EPA qui va au-delà des idées reçues en prouvant, statistiques à l’appui, les faits suivants :

1) L’Homme n’est sûrement pas à l’origine du réchauffement climatique de la planète. Dans le passé, des périodes de refroidissement ont alterné avec d’autres périodes de réchauffement de l’atmosphère.

2) Les graphiques montrent que la planète a, plutôt, tendance à se refroidir et que les émissions de CO2 n’ont, strictement, aucun impact sur la température globale.





Il a eu à défendre cette affirmation-là, lors d’une entrevue avec Stephen Sackur de la BBC, et son explication est assez troublante, car il admet que Greenpeace utilise l’émotion, plutôt que la Raison, pour capter l’attention des gens, qu’il ne sait pas si les glaces du Groënland (qui était une terre verte, à l’époque des Vikings) fondront d’ici 2030 et qu’il ne lit pas tous les communiqués de presse qu’envoit son organisation aux médias.

Ensuite,
le Climategate, cette fabuleuse histoire des 72 documents et des 1073 courriels (qui s’étalaient sur plusieurs années) piratés (ou publiés par un whistle blower?) d’éminents scientifiques du climat d’une instance, le Climate Research Unit (CRU) de l’Université de East Anglia au Royaume-Uni, reconnue par les autorités du GIEC et publiés sur le Web, est venu démontrer toute la collusion et tous les manquements à la déontologie scientifique qui s’opèrent dans les milieux réchauffistes pour faire croire à un réchauffement climatique causé par l’Homme.


Le directeur du Climate Research Unit (CRU), Phil Jones, a dit, par courriel, à Michael Mann, l’auteur de la crisse de courbe en forme de crosse de hockey, qu’il a trouvé une «astuce» pour «masquer le déclin» des températures et cacher l’existence de l’Optimum Médiéval. Michael Mann avoue avoir trafiqué sa calice de courbe, tout en ignorant les signes évidents de refroidissement. Les scientifiques du CRU parlent de mener une job de bras dans les comités de lecture des revues scientifiques pour empêcher les scientifiques sceptiques de publier leurs études et leurs arguments. On parle de modèle mathématique déficient que l’on doit trafiquer pour montrer au monde qu’il y a un réchauffement climatique causé par l’Homme. Ces escrocs avouent, également, avoir détruit leurs preuves et leurs données pour éviter de les fournir, en vertu de la Loi britannique sur l’accès à l’information. D’ailleurs, ils ont toujours refusé de les publier et Phil Jones était déjà accusé, avant l’éclosion du scandale du Climategate, de fraude scientifique.


Cette affaire, qui
s’est répandue comme une traînée de poudre dans la blogosphère, a été assez sérieuse pour que tous les médias américains et européens en aient parlé (contrairement au Québec, où ce fut l’omerta médiatique le plus total), que le gouvernement britannique ait ouvert une enquête et que Phil Jones ait remis sa démission. Le CRU est le Centre d’études climatologiques de référence du GIEC qui nourrit le GIEC et les scientifiques du monde entier avec leurs données sur le climat. La NASA a, elle-aussi, trafiquée ses données pour faire en sorte que 1998 soit l’année la plus chaude jamais enregistrée, alors que ce serait supposé être 1934, et des données météorologiques russes auraient été truquées pour montrer une augmentation de la température.

D’ailleurs,
voici un article très intéressant qui nous éclaire sur les dessous de la création du CRU et du GIEC!


De plus,
Antagoniste.net nous a informé que les programmes informatiques du CRU ont, aussi, été piratés et que ces programmes informatiques soutiennent le modèle qui a été utilisé par les chercheurs pour prouver leur théorie. Des programmes indépendants ont commencé à analyser ces dits programmes et ils ont découvert qu’ils étaient truffés d’erreurs et d’astuces visant à manipuler les résultats générés par le modèle. Comme si ce n’était pas assez, le très prestigieux magasine Science affirme que les chercheurs du CRU pourraient avoir commis un acte criminel, en tentant de supprimer des données qui étaient visées par la Loi sur l’accès à l’information. Aussi, le CRU utilise un système informatique complètement amateur, tout croche, qui élimine des données, quand il y a des erreurs. Dire que c’est sur ça que se fient des gens pour nous dire qu’il y a un réchauffement climatique causé par l’Homme! Misère!





Ensuite,
il y a ce que l’on peut, maintenant, appeler le Glaciergate. Le GIEC, par la bouche de Murari Lal, lead author des chapitres sur les glaciers, a reconnu, le 17 janvier dernier, que les prévisions catastrophistes de son rapport de 2007 sur la fonte du glacier himalayen devaient être retirées du dit rapport. C’est la première reconnaissance officielle de l’absence totale de fondement scientifique, concernant cette partie. En effet, il est, aujourd’hui, avéré que la partie du rapport qui prévoyait, de manière effrayante, la fonte quasi-intégrale des glaciers de l’Himalaya avant 2035 n’était, en fait, que la reprise d’un mauvais article de presse alarmiste qui reprenait les affirmations d’un scientifique marginal, et ce, en les radicalisant.

En 1999, Syed Hasnain, un scientifique indien inconnu, déclare, dans un entretien téléphonique à Fred Pearce, un journaliste du New Scientist, que, d’ici 2035, une partie du Massif himalayen pourrait fondre. Comme le souligne le journaliste, Hasnain n’a mené aucun travail scientifique sur la question et il n’a rien publié dans une revue à comité de lecture, non plus, et il se contente de donner sa prévision, de manière informelle! L’article reste oublié jusqu’en 2005 et, pour cause, la prévision semble farfelue et le New Scientist est un journal de vulgarisation, sans comité de lecture, ni vocation académique, marqué par l’activisme écologique.

En 2005, l’article émerge, quand une association écologiste, le World Wildlife Fund (WWF), reprend, dans un rapport intitulé «An Overview of Glaciers, Glacier Retreat, and Subsequent Impacts in Nepal, India and China», ces affirmations qui, jusque-là, n’avaient intéressé personne. Le rapport du World Wildlife Fund est un papier militant qui n’est revu par aucun scientifique, mais qui est utilisé pour faire avancer les vues de l’association dans le débat public. Rien d’académique et aucune revue par les pairs!

Pourtant, très rapidement, le document du WWF, un organisme militant, se retrouve comme étant une source majeure du rapport du GIEC sur les glaciers. Apparemment, cherchant un document venant conforter leurs conclusions, certains scientifiques ont présenté ce document comme étant un travail scientifique et ils l’ont intégré, au détriment, bien sûr, d’autres travaux de qualité revus par des scientifiques! La manipulation ne s’arrête même pas là, puisque, non content de reprendre les conclusions du document pour en faire la doxa officielle, le GIEC rend les prévisions encore plus catastrophiques. De moyenne, la probabilité d’une fonte intégrale du glacier himalayen devient «très haute» (very high), soit supérieure à 90%, selon la terminologie officielle du GIEC! Sans l’ombre d’une hésitation, le rapport du GIEC de 2007 mentionne, ainsi : «Glaciers in the Himalaya are receding faster than in any other part of the world and, if the present rate continues, the likelihood of them disappearing by the year 2035 and perhaps sooner is very high if the Earth keeps warming at the current rate»!

Pire, alors que des scientifiques avaient alerté le GIEC avant que le rapport ne soit publié, ce dernier ne le modifie pas et ils reprennent, volontairement, des prédictions fausses! «Fin 2006, [...] j’ai pris connaissance de cette erreur et de quelques autres! C’était après la dernière revue, mais avant la publication, donc, on avait encore une possibilité de modifier le texte!», a déclaré le professeur Georg Kaser de l’Institut de glaciologie d’Innsbrück, en Autriche, selon une dépêche de l’AFP du 18 janvier dernier!

L’accumulation de couches successives d’alarmisme éveille, cependant, de plus en plus, les doutes. De nombreux climatologues rappelent, ainsi, que les glaciers himalayens sont épais de plusieurs dizaines de mètres et qu’aucun glacier ne fond de plus de 50 cm par année! Il est, donc, impossible que la fonte soit aussi rapide, même avec une augmentation catastrophique des températures, qui serait en décalage avec la baisse actuelle! Pourtant, le GIEC fait bloc et son président, Rajendra Pachauri (photo ci-haut), qualifie d’arrogants les scientifiques qui osent remettre en cause ce point du rapport du GIEC ou tout autre, d’ailleurs!

Cependant, comme pour la courbe en forme de crosse de hockey, dont la manipulation est, désormais, reconnue, la pression est telle que le GIEC doit envisager de renoncer. Fred Pearce, l’auteur de l’article du New Scientist, qualifie, lui-même, d’«incroyablement paresseuse» la démarche du GIEC qui s’appuyait sur un communiqué d’une association écologiste pour faire un état des lieux de la science! De nombreuses réserves avaient, aussi, été émises par des scientifiques, comme Graham Cogley! Mais, c’est le tollé médiatique qui force, finalement, le GIEC à se rétracter progressivement. Murari Lal, lead author des chapitres sur les glaciers, a, finalement, reconnu, le 17 janvier dernier, que ces prévisions catastrophistes devaient être retirées du prochain rapport, car elles sont sans fondement
!


Afin de calmer la grogne qui ne voulait pas le lâcher, Rajendra Pachauri a dû présenter ses excuses, six jours après l’éclosion du scandale du Glaciergate!

Le lendemain,
le Sunday Times, un journal britannique, révèle, au grand jour, une autre erreur importante dans le rapport de 2007 du GIEC.

En effet, dans la partie concernant les conséquences du réchauffement climatique sur les catastrophes naturelles et leur aggravation, les prévisions les plus alarmistes n’étaient fondées que sur des documents non-publiés et non-soumis à une relecture par les pairs, canon du travail scientifique contemporain! Le document concerné a été écrit par Robert Muir-Wood.

Plus grave encore, la présentation qui a été faite, dans le rapport du GIEC, tendait, une fois de plus, à accentuer l’impact du réchauffement climatique et elle présentait, de façon partiale, les résultats de l’étude! Ainsi, alors que le rapport du GIEC jouait sur l’alarmisme, le document sur lequel le rapport s’appuyait a compris, dans sa version finale, l’avertissement suivant : «We find insufficient evidence to claim a statistical relationship between global temperature increase and catastrophe losses.»! Soit, traduit en français : «Nous ne trouvons pas de preuves suffisantes pour affirmer qu’il existe une relation statistique entre la hausse des températures au niveau mondial et les catastrophes naturelles.»!

De même, le rapport utilisé par le GIEC étudiait la période 1950-2005 et il soulignait que, entre 1950 et 1975, la hausse des catastrophes naturelles ne pouvait nullement être imputée au changement climatique, tandis que, entre 1975 et 2005, la hausse était due, essentiellement, à des ouragans importants en 2004-2005. Le rapport final du GIEC a occulté toute la période 1950-1975 et il a minoré les très fortes réserves émises par l’auteur même du rapport. On notera, enfin, que ce document était une partie d’un rapport plus général, réalisé pour un séminaire organisé par Roger Pielke. La conclusion du séminaire était qu’il n’existe aucune preuve d’un lien entre le changement climatique et l’importance ou la fréquence des catastrophes naturelles. Choisir ainsi un document, toujours dans le même sens, en contredisant les conclusions générales du séminaire, est une méthode qui est tout, sauf scientifique!

Malgré cela, le GIEC n’a, aucunement, amendé son rapport, ce qui n’empêche pas le GIEC, par la voix de Jean-Pascal van Ypersele, de réaffirmer que les processus du GIEC sont toujours «rigoureux et scientifiques»
! Faites-moi rire, oui! Bref, l’acteur Danny Glover, un activiste environnementeur reconnu, qui a essayé de faire un lien entre le réchauffement climatique et le tremblement de terre en Haïti, s’est discrédité! Allez sur ce site pour savoir comment est vraiment causé un tremblement de terre et venez me dire, après ça, que le soi-disant réchauffement climatique y est pour quelque chose!

Mais, la vraie question que l’on devrait tous et toutes se poser, c’est : pourquoi de telles
manipulations et à qui profitent-elles vraiment? Revenons un peu sur Rajendra Pachauri qui s’est, littéralement, construit, avec son arnaque sur la fonte des glaces himalayennes, un Himalaya de dollars! Ce type est un ingénieur ferroviaire et il est l’actuel président du GIEC et le directeur général, entre autres, de TERI, une société internationale qui est basée en Inde et dont le fond de commerce se trouve à être «les énergies renouvelables». Les multiples conflits d'intérêt, dont ce très curieux personnage est le centre, ont été l'objet de multiples descriptions, d’abord, sur le Web, puis, plus récemment, dans la presse internationale. Cela fait grand bruit en Inde et, le 12 janvier dernier, un article a été publié sur lepost.fr sur cette affaire plus que nébuleuse et des précisions confondantes ont été apportées par le Times du 24 janvier dernier.

Voici une
traduction des passages les plus croustillants :






Le président du GIEC a utilisé des fausses allégations que l'Himalaya fondait, pour obtenir des crédits à la hauteur de centaines de miilliers d'euros.

L'Institut pour l'Énergie et les Ressources (TERI) de Rajendra Pachauri, basé à New Delhi, a reçu 310 000 £ (350 000 €) de la Carnegie Corporation, de même que la «part du lion» d'une subvention de 2,5 m£ (2 850 000 €) de l'Europe.

Cela signifie que les contribuables européens financent des travaux de recherche sur une affirmation que n'importe quel chercheur en glaciologie devrait reconnaître, immédiatement, comme étant fausse.

La semaine dernière, le GIEC s'est rétracté, humblement, et il a corrigé son rapport.

[…]

La subvention a été confirmée par TERI, dans un communiqué de presse du 15 janvier 2010, juste avant que le scandale soit public, et dans lequel Pachauri répétait la menace de fonte des glaciers. Il disait : «D'après les prévisions de scientifiques autorisés, ils pourraient vraiment fondre en quelques décennies!»!

Le même communiqué citait, aussi, le docteur Syed Hasnain, le glaciologue qui avait, en 1999, été à l'origine de la déclaration, aujourd'hui discréditée, selon laquelle les glaciers himalayens pourraient avoir disparu avant 2035. Il est, maintenant, le patron de l'unité de glaciologie de TERI, celle qui a sollicité les subventions et qui conduit les recherches sur les glaciers himalayens!

[…]

La deuxième subvention, de l'Europe, totalise 2 850 000 € et elle était destinée à «expertiser les conséquences du retrait des glaciers himalayens». Cela faisait partie du projet Européen HighNoon, lancé en mai dernier pour financer des travaux de recherche sur la façon, pour l'Inde, de s'adapter à la perte des glaciers.

Lors d'une présentation au lancement du projet en mai dernier, Anastasios Kentarchos, de l'unité «Changement climatique et Risques environnementaux» de la Commission européenne, avait, expressément, cité la fausse alarme, comme étant une raison de mettre l'argent des contribuables européens dans le projet.

Pachauri est intervenu, lors de la même réunion, et Hasnain était, également, présent.

La subvention européenne a été partagée entre des organismes de recherche européens, incluant le «MET Office» britannique, avec TERI comme principal bénéficiaire, bien que sa part exacte ne soit pas connue, parce qu'il représentait le pays hôte
.






Résumons, pour cet aspect des choses : Syed Hasnain, alors qu'il est au GIEC, sous la direction de Rajendra Pachauri, fait une prévision apocalyptique que l'ensemble de l'environnement de Pachauri laisse passer, alors que tout le monde sait que la prédiction est absurde! Alors, Pachauri recrute Hasnain comme patron de son unité de glaciologie à TERI, à charge pour lui de réclamer et d'obtenir les crédits que ses prévisions d'apocalypse vont rapporter. Je ne crois pas que ce soit légal, ça!





Ainsi, le rapport du GIEC prévoit que 40% de la forêt amazonienne est menacée par le réchauffement climatique, si celui-ci devait impacter les précipitations. Pour appuyer cette prévision inquiétante, on se base sur une étude intitulée «Global Review of Forest Fires» et publiée par Andy Rowell and Peter F. Moore. Seul hic, ce document utilisé pour appuyer une menace aussi importante est, une fois de plus, une étude de deux ONG environnementalistes, le WWF et The International Union for Conservation of Nature (IUCN)! Autrement dit, pour appuyer un alarmisme infondé, le GIEC, loin de prendre l’état actuel de la science, s’est appuyé (Steven Guilbeault en serait fier) sur une étude écrite par un journaliste free lance et activiste environnementaliste, ainsi que par un analyste politique!













Comment des groupes écologistes militants peuvent-ils servir de fondement scientifique? Mais, le scandale ne s’arrête pas là! La revue spécialisée en escalade et en mountaineering, Climbing Magazine, a publié, dans son numéro 208, un article sur la fonte des glaces dans les montagnes des Andes, des Alpes et de l’Afrique, suite à des entrevues avec des alpinistes qui ont remarqué des changements, depuis les années 1970. Comment des anecdotes (parce que c’est ce que c’est) de la sorte et une dissertation d'étudiant peuvent-elles constituer une preuve scientifique sur l’évolution des glaces, depuis 1900, hein?

Cette volonté de dramatiser la situation et de cultiver la peur est une tactique revendiquée par ces escrocs de scientifiques-politiciens, dont les visées sont moins scientifiques qu’idéologiques, pour ne pas dire quasiment religieuses, voire même sectaires. Ainsi, en plus de manipuler ses données, James Hansen, le père de la théorie du réchauffement climatique anthropogénique, s’est exprimé en ce sens, allant même jusqu’à dire que les processus démocratiques ne fonctionnaient pas pour traiter la question du réchauffement climatique et qu’il fallait trouver de nouveaux moyens d’action. Une prise de position inquiétante, si il en est une, surtout quand il appelait au procès des responsables des sociétés pétrolières et charbonnières pour «crimes contre l’Humanité et contre la nature», quand il n’a pas hésité, une seule seconde, à comparer les trains transportant du charbon aux trains de la mort emmenant des déportés juifs à Auschwitz et quand il estimait que la lutte contre le réchauffement climatique justifiait de s’exonérer de l’État de droit, en guise de réaction à l’affaire de la centrale électrique de Kingsnorth, au Royaume-Uni!


Espérons que ces multiples scandales permettront à un véritable débat scientifique de revenir et de sortir les sciences de l’atmosphère, du climat et de l’environnement de la prise d’otage politique dont elles sont, actuellement, les victimes! Quelques soient les conclusions des vrais chercheurs et des vrais scientifiques sur le réchauffement ou sur le refroidissement climatique et sur son origine naturelle ou humaine, on aura, au moins, quitté le terrain politique pour revenir sur celui de la science! En attendant, il faut la tenue d’une Commission d’enquête publique, indépendante et internationale sur tout ce merdier-là.

Ourspolairegate, Alaskagate, Groënlandgate, CO2gate, EPAgate, Leipoldgate, Climategate, Santergate, METgate, Glaciergate, Ouragangate, Pachaurigate, Amazongate, Climbinggate, tout ça mis ensemble, ça donne quoi? Le GIECgate? Le ACWgate? ACW étant, bien sûr, le diminutif de «anthropogenic climatic warming», soit l’expression anglaise pour désigner le réchauffement climatique anthropogénique, je crois, maintenant, que tous ces «gates» seront rassemblés sous le nom d’un seul scandale que j’appellerai, dorénavant, le scandale du réchauffement climatique anthropogénique ou, pour faire plus court, le scandale du RCA ou, si vous préférez, le ACWgate!

Qui se propose pour écrire
la page Wikipédia de ce scandale, hein?

Pendant que j’y suis, voici une autre question pour vous : le ACWgate va devoir comprendre combien de scandales encore, avant que vous ne sortiez dans la rue pour crier haut et fort que vous êtes
écoeurés que l’on vous prenne pour des cons et que l’on vous encule avec votre propre argent là-dessus, hein? Quand je dis «on», je parle, bien sûr, des politiciens et des médias!

Bref,
au lieu de se servir de Jim Prentice comme punching-bag, on devrait, plutôt, regarder du côté des environnementeurs!




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