dimanche 8 mars 2009

Propagande fémi-fasciste : la violence conjugale-2e partie

Bon, après avoir tant chialé sur la présence de Mère Térésa David dans un cahier d’exercices de l’aberration sans nom que constitue le cours d’Éthique et culture religieuse, je crois qu’il serait bon d’analyser un peu les propos qui y sont tenus, et ce, autant par la p’tite mère des peuples que par le cahier en tant que tel. Ce cahier est bourré de clichés et de bouillies fémi-fascistes qui méritent d’être réfutés pour le bien de nos enfants, afin qu’ils aillent la vraie information sur ce que raconte leur cahier fémi-fasciste.Le billet d’aujourd’hui portera sur la violence conjugale et il sera le deuxième d’une série de billets portant sur le sujet.

Si vous n’avez pas encore lu
mon billet du 17 février dernier portant sur l’équité salariale, l’ascension professionnel et le chômage chez les femmes ou mon billet du 3 mars dernier portant sur la première partie de cette série de billets sur la violence conjugale, je vous encourage fortement à le faire avant d’aller plus loin.

Creusons encore davantage les fausses statistiques que le gouvernement nous balance sur la violence conjugale et qui sont reprises allègrement et intégralement par le torchon d’ECR qui nous montre la Mère Térésa des pauvres comme modèle à suivre! Le 25 novembre 2008, une publicité fémi-fasciste circulait dans les journaux avec une pile de statistiques tout aussi invérifiables les unes que les autres pour nous dire combien nous, les hommes, on est des écoeurants. Avec l’argent de nos taxes et de nos impôts, dans le ministère de Christine Saint-Pierre, un document fait par des agences de publicité est publié avec une hystérique qui a les larmes aux yeux et la voix tremblotante pour dire combien les hommes sont des écoeurants et que les femmes ne sont pas trop intelligentes d’endurer un tel martyr que leur font subir les méchants hommes assoiffés d’utérus frais. Voici ce que dit le document en question et après, on va l’analyser ensemble grâce à du monde qui connaît ça mieux que moi!






1 femme sur 3 sera victime d’une agression sexuelle au cours de sa vie. 1 sur 3! Ça veut dire que pour 3 femmes que vous croisez dans la rue, il y a une victime potentielle. 30 femmes, 10 victimes! 1000 femmes, 333 victimes! Il y a d’autres chiffres qui font aussi peur : en moyenne, 16 agressions sexuelles sont déclarées à la police chaque jour et on ne tient pas compte des autres agressions, celles qu’on garde pour soi toute sa vie. Au Québec, plus de 80% des victimes d’agressions sexuelles sont de sexe féminin, près de 70% des victimes ont moins de 18 ans et près d’une victime sur 3 a moins de 12 ans. Imaginez! Ça pourrait être votre fille, ton p’tit frère, ta cousine, une collègue de travail, ta meilleure amie, votre petit-fils, ta sœur, toi, moi. Il y a d’autres chiffres qui étonnent : dans plus de 80% des cas d’agressions sexuelles, l’agresseur est une personne connue de la victime, comme un oncle, un cousin, un tes voisins, un ami, un enseignant, ton entraîneur, ton père, ton beau-père, le conjoint de ta mère, ton chum, un proche, proche, proche, proche, Malgré tout, on peut changer les choses en disant haut et fort que toutes les agressions sexuelles sont inacceptables et criminelles, donc passibles de poursuites criminelles. Tu peux aussi faire ta part en envoyant ce message au plus grand nombre de personnes possibles pour les sensibiliser à cette triste réalité. Allez! Un clic! Juste un clic!





Ayoye! Le gouvernement Charogne est probablement le gouvernement du Québec qui n’a jamais autant fait pour éradiquer tous les porteurs de testostérone de l’ensemble du Québec. Maudits sales détraqués sexuels que nous sommes tous, hein les hommes! Pourquoi ne va-t-on pas tout simplement se pendre dans notre cave pour libérer les pauvres femmes que nous maltraitons sans arrêt, hein? J'espère que tous les hommes du Québec qui ont voté aveuglement libéral aux élections du 8 décembre dernier comprennent aujourd'hui qu'ils ont signé leur arrêt de mort. Tous ces chiffres sont-ils exacts? Si il n’y en a seulement que la moitié de vrai, mais c’est épouvantable et il faut faire quelque chose. Mais, ces chiffres sont-ils gonflés par le gouvernement dans le seul but de faire peur au monde et de jouer sur les sentiments primaires des fémi-fascistes et des hommes roses, hein? La réponse à cette question serait oui.

Le 25 novembre 2008, André Arthur a reçu à son émission du midi à TQS monsieur Jean-Claude Boucher, président du groupe L’après-rupture, et monsieur Jean-François Gagnon, recherchiste à L’après-rupture.


Ils nous ont dit que les chiffres du mouvement féministe sont, la plupart du temps, uniquement que des inventions. Les chiffres ci-haut sortent tout droit d’une enquête de perceptions que la ministre Saint-Pierre a ordonné pour faire croire que les hommes québécois sont des écoeurants et que les femmes québécoises sont toujours agressées et ça, c’est dans l’imaginaire collectif québécois depuis plus de 25 ans. Ce lavage de cerveau a porté fruit, car les Québécois croient vraiment dur comme fer qu’une femme sur 3 est agressée au Québec. Youtube a passé ce document et a montré à toute la planète que les Québécois sont des écoeurants, mais cette publicité n’est basée que sur du vent. Christine Saint-Pierre sait qu’il est très facile d’influencer la perception des gens, surtout lorsqu’on a affaire aux maudits losers influençables que sont les Québécois, mais ça, elle s’en sacre, parce qu’elle est dans la gamique elle-aussi.

Messieurs Boucher et Gagnon ont fait une recherche sur la violence conjugale et sur le fameux 300 000 femmes battues par année au Québec. Ils se sont demandés d’où venait ce chiffre. Ils ont fait une demande d’accès à l’information et ils se sont fait dire qu’il n’existe pas de sources pour ce 300 000-là. De là, ils ont continué leur recherche et ils sont arrivés avec un document de recherche extrêmement important qui démontre comment a été créé ce fléau-là à partir de fausses statistiques. Ça nous ramène à la belle enquête pilotée par Linda McLeod, où elle a additionné les pommes, les oranges et les patates en se scandant à la fin : «Voici le chiffre!». Comment a-t-elle calculé son affaire? Elle a dit qu’il y a des femmes qui demandent le divorce sous prétexte de violence conjugale. On était en 1977-1978 où la Justice demandait une raison pour accorder le divorce et la raison facile était la violence conjugale. Dans ce temps-là, avec une telle raison, le divorce était accordé dans le temps de le dire. Elle a additionné ces femmes-là plus les femmes qui sont allées dans des maisons de refuge pour femmes violentées qui ne sont pas toutes violentées, entre autres parce que ce sont des maisons de refuge, plus les femmes qui ont fait des plaintes à la police. La pseudo-chercheure McLeod a additionné tout ce beau monde-là, d’où les chevauchements auxquels on fait face, car une femme qui divorce et qui aurait appelé la police est comptée 2 fois et une femme qui divorce, qui aurait appelé la police et qui est allée se réfugier est comptée 3 fois. De plus, une femme qui divorce et qui ment au juge qui étampera son formulaire de divorce en disant à ce dit juge que son mari la bat est comptée aussi. Non-contente de tout ça, elle a multiplié la somme par 10 en disant qu’il n’y a qu’une femme sur 10 qui se plaint de violence conjugale, les autres femmes endurant leur martyr. Elle est donc arrivée avec un formidable chiffre qui se situait entre 400 000 et 500 000 femmes battues par année au Canada, car il s’agissait d’une enquête canadienne. À l’époque de son enquête, Linda McLeod travaillait pour le Conseil consultatif canadien sur la situation de la femme, organisme subventionné avec l’argent des taxes et des impôts.

Continuons ce voyage dans l’Histoire! Le Parti québécois est au pouvoir à l’époque, Pauline Marois est ministre de la Condition féminine et le gouvernement est en dérive suite à l’échec du référendum de 1980. Il faut donc trouver des votes, car il faut rester au pouvoir. On prend donc les statistiques de Linda McLeod qui sont déjà un peu beaucoup gonflées et fortement discutables. Souvenez-vous que la McLeod a dit qu’une femme sur 10 mariée ou en union de fait est victime de violence conjugale. Le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec a enlevé le «mariée ou en union de fait» pour ne garder que le «1 femme sur 10», ce qui change énormément la donne. On nous arrive donc avec des 260 000-265 000 femmes battues tout dépendant des documents. Mais là, ces chiffres ne sont pas encore assez percutants pour le gouvernement, alors on les gonflent aux stéroïdes pour arriver à 300 000 femmes battues. On ne fait pas seulement que répéter ce faux chiffre pour le rentrer de force dans la tête des gens jusqu’à ce qu’ils finissent par le croire, on l’écrit dans les documents officiels du ministère de la Santé et des Services sociaux et on le répand partout sous la pression des maisons d’hébergement pour femmes violentées qui ont intérêt à se créer une clientèle artificielle pour les emplois et pour les subventions. Là, on a 300 000 femmes battues. L’imprimatur du gouvernement du Québec est absolument idiot. Imaginez! On arrive avec une religieuse sur 10 qui est battue par son conjoint, une célibataire sur 10 qui est battue par son conjoint, une veuve sur 10 qui est battue par son conjoint. Sauf que, quand on prend la population totale de femmes du Québec, on s’aperçoit que 300 000 femmes battues ne représente même pas 1/10, parce qu’il n’y a même pas 300 000 femmes. Pour arriver à 3 000 000 de femmes, il faut prendre les femmes à partir de 7 ans et là, une femme sur 10 donne 300 000 femmes battues, ce qui reflète l’imprimatur du gouvernement.

Je vous recommande donc fortement de rester très vigilants lorsque vous entendez des statistiques gouvernementales sur la violence conjugale. Ces statistiques ne servent qu’à ostraciser les hommes au profit des fémi-fascistes pour les maisons d’hébergement et l’aide psychologique pour femmes seulement, car ce sont des services auxquels les hommes n’ont pas accès. De plus, avec les politiques d’aide aux femmes de 1987, les millions $ commencent à pleuvoir sur les fémi-fascistes, car elles doivent aider 300 000 pauvres femmes battues par année.

L’industrie de la violence faite aux femmes est très payante, surtout qu’elle est basée sur des chiffres complètement farfelus. Il y a à peu près 120 maisons d’hébergement pour femmes violentées au Québec. Récemment, le Vérificateur général du Québec, Renaud Lachance, est allé dans quelques-unes de ces maisons et dans le chapitre 3 de son rapport, il a constaté que les maisons sont vides. Les contribuables financent un demi-million $ par année pour des victimes inexistantes dans chaque maison d’hébergement et on ne compte pas les dons de fondation, le tout sans contrôle des agences de santé. L’après-rupture essaie sans succès depuis 5 ans d’obtenir les bilans financiers de ces maisons en vertu de la Loi sur l’accès à l’information. C’est triste, parce que ce sont les contribuables qui paient pour ce fléau industriel inventé de toutes pièces par le gouvernement et les fémi-fascistes. Les chiffres officiels du ministère de la Sécurité publique du Québec parlent de 15 000 plaintes à la police par année, hommes et femmes pour le total du Québec, donc on est loin du 300 000, là. Attention, qui dit plainte ne dit pas condamnation! Ça fait 25 ans que perdure cette situation, donc on commence à être un peu habitué. Selon l’équipe de recherche de L’après-rupture, les CONtribuables se sont fait volés 10 milliards $ pour des victimes qui n’ont jamais existées.

À côté de ces faits scandaleux-là, le scandale des commandites, qui avait des aspects financier et politique, est un travail d’amateurs, car la culpabilisation et l’anéantissement des hommes du Québec ont une influence sur toute la société. Il faut donc une Commission d’enquête publique et indépendante pour faire la lumière sur toute cette histoire. Malgré le fait que l’Institut de la statistique du Québec ait publié des chiffres qui donnent raison à toutes les recherches internationales sérieuses, notamment aux États-Unis, soit que la violence conjugale est à peu près égale et qu’elle touche autant les hommes que les femmes, ces faits ne sortent jamais. Pourquoi? Parce que la recherche au Québec est contrôlée par les fémi-fascistes et il n’y a absolument aucun chercheur québécois désirant vraiment enquêter sur la violence conjugale qui ne recevra des subventions, si ils ne se met pas à genoux devant les fémi-fascistes et leur credo : «Les femmes sont des victimes et les hommes sont des bourreaux.». Sinon, tu n’auras pas de subventions pour ta recherche.

C’est toujours le père qui est le bourreau au Québec. Il faut aider TOUTE la famille et non pas séparer l’enfant de son père et dire à l’enfant que son père est un méchant agresseur, car c’est ça qu’il va se faire dire à la maison d’hébergement. Donc, on tasse le père et c’est lui qui doit se battre avec les frais d’avocats et pas à peu près seulement pour avoir le droit de voir ses propres enfants. Après la demande d’accès à l’information de L’après-rupture sur le 300 000 femmes battues, il s’est passé deux choses. Premièrement, dès qu’on tapait «300 000 femmes battues au Québec» sur Google, on arrivait avec un «404», soit que la page n’est plus disponible, alors qu’avant la demande, on avait tous les sites fémi-fascistes sur ce 300 000. Aujourd'hui, c'est autre chose, vous irez voir. Deuxièmement, 4 ministres sont sorties en conférence de presse pour annoncer qu’il y avait 15 000 femmes battues au Québec, selon le rapport de police, alors que ce ne sont pas des femmes battues, mais bien des plaintes faites à la police de la part des femmes. On ne connaît pas le résultat. Il y a sûrement des femmes battues dans ça, mais on peut toujours spéculer. Par contre, il n’y a pas une condamnation sur 20, ça, c’est garanti.

En 1998, il y a eu une enquête sur un suivi de ça et on s’est aperçu qu’il y a à peu près 1/3 de ces plaintes-là qui vont jusqu’à la Cour, mais on ne connaît pas la conclusion. Donc, on parle de 5000 à 6000 cas sur 15 000 qui vont se rendre devant la Justice et ça, c’est la réalité. D’autre part, on sait que l’Institut de la statistique du Québec dit que si on prend la même définition de la violence conjugale qu’utilise les fémi-fascistes et qu’on regarde ce que ça donne, nous avons 25 000 hommes victimes de violence conjugale contre 17 000 femmes. Ces faits ont été cachés à la population à cause de toute l’industrie de la violence faite aux femmes qui s’est mis en place, industrie qui découle du torchon de Linda McLeod qui est entériné par le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec.

Le Conseil du statut de la femme, la Fédération des femmes du Québec et le Secrétariat à la Condition féminine (bien sûr, il n'y a rien de tout ça pour les hommes!) ont leurs ramifications dans tout le système politique pour avilir les hommes par la violence étatiste et ça, c’est l’équivalent d’un lent génocide mal caché contre les hommes, génocide opéré par les fémi-fascistes comme Mère Térésa David et son idéologie rétrograde qui sont sanctifiées par le cahier d’exercices d’Éthique et culture religieuse que goberont forcément nos jeunes, étant donné que ce dit cahier leur est dicté par des gens en qui ils ont confiance, soit leurs sales hippies de profs communistes du ministère de l’Ignorance du Culbec qui sont grassement payés par le gouvernement pour faire la sale job et Christine Saint-Pierre qui détient les pouvoirs politiques dans cette affaire.

Ne vous en faites pas, aucun média va vous en parler!

Pour écouter la première partie de l’entrevue qu’André Arthur a mené avec monsieur Jean-Claude Boucher, président de L’après-rupture, et monsieur Jean-François Gagnon, recherchiste à L’après-rupture, cliquez ici!

Pour écouter la deuxième partie de cette entrevue, cliquez ici!

1 commentaire:

  1. Content de réaliser que ce n'est pas l'ensemble des Québécois qui dorment au gaz. Bravo pour ce regard lucide. Une petite visite sur Bisbille101.blogspot.com devrait vous convaincre que la bonne nouvelle se répand !

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