dimanche 28 décembre 2008

Les médias bâclent leur job sur ce qui se passe en Israël

Alors que nos chers médias de la gau-gauche étatiste, antisémite et anti-américaine de Mouyial essaient encore de nous faire passer Israël pour un monstre sans coeur qui mange des pauvres petits Palestiniens sans défense pour déjeuner, je crois qu’il est bon de faire un peu le ménage dans toute cette fausse information qu’avale sans broncher le fan club par excellence de ces tristes démagogues médiatiques et certains clowns qui vont jusqu’à s’imaginer que ces mêmes médias sont de droite.

Ne restons pas silencieux au jeu qui se joue actuellement! Dénonçons les médias et leurs perroquets et publions la vraie information qui, étrangement, est même publiée dans des médias arabes! C’est pour tout dire combien le Québec est un pur échec sur toute la ligne. On connaît maintenant les responsables de l’échec québécois. Sur ce, je vous donne l’information sur le champ. Voici un premier article sur tout ça!





Point de vue de Khaled Asmar - Beyrouth
Le pot de terre contre le pot de fer : 210 morts et 750 blessés à Gaza. Les Palestiniens sont sacrifiés par le Hamas au profit de l’Iran, son principal bailleur de fonds
La cause palestinienne reste très lucrative, mais le sang palestinien est très peu cher
samedi 27 décembre 2008 - 19h25, par
Khaled Asmar - Beyrouth

L’heure de vérité semble sonner. Israël a longtemps prévenu le Hamas que sa patience avait des limites et qu’il ne tolèrera pas les provocations quotidiennes. Mais le Hamas semble avoir un autre calcul. Les islamistes sacrifient la population pour exploiter le martyr de Gaza contre les régimes arabes modérés.

C’est en tout cas l’avis de plusieurs commentateurs des médias arabes. La télévision «Al Arabiya» passe en boucle des images insoutenables du «massacre de Gaza», mais précise que les frappes ont visé les permanences du Hamas et des forces de sécurité du ministère de l’Intérieur du gouvernement démis, responsables des tirs de roquettes sur les localités palestiniennes. Une académie de la police a été touchée de plein fouet pendant la cérémonie de promotion de nouveaux policiers, dont une grande partie a été déchiquetée par les raids israéliens. Le ministre de la Défense israélien, Ehud Barak, a précisé aujourd’hui que l’opération n’était qu’à son début, et que le temps d’éradiquer le Hamas était venu.

Les provocations palestiniennes semblent ainsi justifier l’intervention musclée de Tsahal, après plusieurs avertissements israéliens et des appels des pays arabes au Hamas le sommant à la retenue, en vain. L’opération de ce samedi, pourtant «jour de repos sacré dans le judaïsme», comme l’a rappelé la correspondante d’«Al Arabiya» à Gaza, Hanane Al-Misri, prouve que le Hamas n’a pas les moyens de faire face à la puissance militaire israélienne, et que les dirigeants du mouvement islamiste palestiniens ont un autre calcul : ils cherchent à exploiter le «martyr» de Gaza pour embarrasser les régimes arabes modérés, et plus particulièrement l’Égypte.

En effet, une action concertée avec les Frères musulmans (FM) égyptiens n’est pas exclue, d’autant plus que le Guide des FM, Mohammed Mehdi Akef, vient de justifier la politique iranienne dans la région, et de critiquer le régime égyptien. Embarrassé, le Caire vient de rappeler son ambassadeur à Tel-Aviv en guise de protestation contre les raids israéliens. Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Ahmed Abou Al-Ghaïth, a dénoncé «le Hamas qui a tiré plus de 60 roquettes sur Israël, la veille de la visite de Tzipi Livni au Caire, pour empêcher la médiation égyptienne d’aboutir à une trêve».

Ainsi, il apparait que le Hamas joue le jeu de l’Iran, comme l’avait fait le Hezbollah en juillet 2006 au Liban, dans l’objectif de détourner l’attention sur Gaza pour occulter d’autres événements qui se préparent. En 2006, la guerre du Liban provoquée par le parti de Dieu, avait permis à l’Iran de gagner plusieurs mois avant que l’Occident ne traite son dossier nucléaire et n’impose des sanctions, et à la Syrie de retarder la mise en place du Tribunal international pour juger les assassins de Rafik Hariri.

Aujourd’hui, le même scénario semble se reproduire, avec, en prime, l’affaiblissement des régimes modérés. Ce qui permettrait à l’Iran de conforter ses positions et de mieux négocier son programme nucléaire et à repousser toute attaque militaire israélienne ou américaine. Rappelons que le 26 décembre, plusieurs missiles avaient été découverts au Sud-Liban, pointés vers l’État hébreu! Ils étaient prêts à être tirés. Les factions palestiniennes basées au Liban ont démenti toute implication. De ce fait, il pourrait s’agir d’une action concertée entre le Hezbollah et l’Iran, visant directement les négociations de paix israélo-syriennes. Le président syrien Bachar Al-Assad venait en effet de confirmer les souhaits de son régime de négocier directement avec Israël, sous l’égide du parrain américain. Ce qui menacerait l’Iran et le Hezbollah. D’où la surenchère et l’escalade du Hamas et du Hezbollah visent à empêcher toute progression du processus de paix.

Enfin, le paradoxe est de taille : autant la cause palestinienne est très lucrative pour ceux qui en font un commerce (Iran, Syrie, Hezbollah), autant le sang palestinien est peu cher, y compris pour le Hamas.

Khaled Asmar

Voici un deuxième article sur tout ça!

Khaled Asmar - Beyrouth
Comme le Hezbollah en 2006, le Hamas dénonce la riposte israélienne disproportionnée
Moussa Abou Marzouk affirme que le temps d’éradiquer le Hamas est révolu
dimanche 28 décembre 2008 - 02h57, par
Khaled Asmar - Beyrouth

En 2006, le Hezbollah affirmait que "l’entité sioniste" préparait une vaste opération au Liban, en octobre, pour justifier son opération du 12 juillet, déclenchant la guerre de 33 jours. Aujourd’hui, le Hamas adopte la même stratégie.

Le Hamas dénonce les raids israéliens «disproportionnés», et déplore «la violence de Tsahal en riposte à quelques missiles tirés depuis Gaza». Moussa Abou Marzouk, vice-président du bureau politique du Hamas réfugié en Syrie, a été interrogé cette nuit par la télévision « Al Arabiya » (émission Panorama). Comme Hassan Nasrallah en juillet 2006, il a défendu l’idée selon laquelle «Tsahal prétexte les tirs de roquettes pour tenter d’éradiquer le Hamas et d’anéantir toute résistance», sans pour autant expliquer pourquoi le Hamas donnait sciemment l’occasion à Tsahal d’accomplir son scénario?

Cependant, Abou Marzouk reste confiant, affirmant que «le temps d’éradiquer le Hamas était résolu». Les responsables du mouvement islamiste sont déterminés à sacrifier tout le peuple palestinien. Ismaël Haniyeh a en effet affirmé que «la résistance se poursuivait jusqu’au dernier palestinien», et que «le Hamas ne brandira pas les drapeaux blancs». Comme Khaled Mechaal et Abou Marzouk, Haniyeh compte exploiter les images du «massacre» pour sensibiliser les populations arabes et déstabiliser les régimes qualifiés de comploteurs. Mais il a oublié que ces peuples sont de plus en plus informés, et que le Hamas a du mal à les berner une nouvelle fois. Les images des raids israéliens parlent d’elles-mêmes [cliquez ici pour en voir un extrait].

En effet, les 229 morts tombés au cours des raids de ce samedi, et de la nuit de samedi à dimanche, sont dans leur majorité des membres du Hamas, comme le démontre la vidéo. Mais Abou Marzouk continue d’affirmer qu’il s’agit de civils, estimant que les membres des forces de l’ordre et les policiers tués dans les permanences sont des fonctionnaires, donc des civils ! Abou Marzouk précise qu’aucun membre des brigades Ezzeddine Al-Qassam n’a été touché, faisant ainsi la part entre la police, aux ordres du Hamas, le Hamas en tant que mouvement politique, donc pacifistes, et son bras armé.

Ghassan Al-Khatib, enseignant universitaire à Bir Zeit, est intraitable dans son commentaire : «le Hamas veut utiliser l’escalade pour régler ses comptes avec Ramallah, avec le Caire et avec Riyad». Al-Khatib explique que «le Hamas accuse à tour de rôle l’Autorité palestinienne, l’Égypte et l’Arabie saoudite de comploter avec Israël contre la résistance». Ce qui confirme que l’agenda du Hamas lui est dicté par l’Iran, qui est son bailleur de fonds. Téhéran poursuit ainsi son hégémonie dans la région et s’appuie sur le Hamas pour menacer l’Égypte, comme il exploite le Hezbollah pour menacer les monarchies du Golfe. Le Bahreïn vient en effet d’accuser une cellule terroriste démantelée d’avoir suivi des entraînements en Syrie pour commettre des attentats d’envergure à Manama.

L’axe syro-iranien cherche à précipiter la région dans le chaos pour échapper à la pression internationale dans les dossiers nucléaires et dans celui du Tribunal international (Hariri). Damas et Téhéran sont capables de détruire toute la région pour parvenir à leurs objectifs. Prions pour que les Israéliens ne tendent pas la main à Assad pour le renflouer, au nom de la paix! Car Assad est le spécialiste de la guerre et du terrorisme, et ne saurait conclure une paix durable.

Khaled Asmar

Voilà la vérité que les médias de Mouyial nous cachent par pure idéologie! Maintenant, l’ONU se réunit pour encore condamner Israël. Mais, qui a condamné les roquettes Qassam qui sont tombées sur le sud d’Israël depuis novembre, hein? Juste hier, il y a eu plus de 80 missiles, dont des blessés graves, et des morts en Israël. Où était donc l'ONU, hein? Il a fallut que Israël se défende pour ensuite dire que la réunion aurait lieu. Il ne faut surtout pas qu’Israël fasse comme au Liban, sinon il perdra toute force de dissuasion.

Toute la semaine, on n’a demandé à Israël que de la retenue. Qu’est-ce qu’il a eu en retour, hein? Des roquettes Qassam par la tête, voilà ce qu'il a eu! Après on viendra me dire que l’on reconnaît à Israël le droit de se défendre. Mon cul, oui!

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