Il y a quelques semaines, alors qu’il faisait la promotion de son livre «Saving Freedom : We Can Stop America’s Slide into Socialism», le sénateur républicain de la Caroline du Sud, Jim DeMint, s’est livré à une critique du président démocrate, Barack Obama, en comparant les États-Unis sous la présidence de celui-ci à l’Allemagne nazie.
Voici la déclaration de DeMint!
Une des choses que nous tentons de faire dans «Saving Freedom», c’est, tout simplement, de démontrer que nous sommes, à peu près, dans la même situation où se trouvait l’Allemagne, avant la Deuxième Guerre mondiale, lorsqu’elle est devenue une social-démocratie. On a toujours le droit de vote, mais c’est rendu une question de coup de force, comme ce qu’on voit en Iran et à certains autres endroits d’Amérique du Sud, comme le Venezuela, qui court à sa perte avec Hugo Chavez. Les gens dépendent plus du gouvernement, de sorte qu’il est plus facile de les manipuler et ils continuent de voter pour plus de gouvernement, car c’est là qu’ils y trouvent la sécurité.
Suite à ça, le piètre romancier de Cyberparesse, Richard Têtu, a réussi à descendre encore plus bas en défendant son Messie, le président Barack Obama, en ridiculisant DeMint, et ce, en ayant aucun argument à présenter pour réfuter la thèse du sénateur républicain et son p’tit fe-fan-club d’extrémistes gau-gauchistes étatistes qui donne vie à sa swamp a renchérit en disant que le sénateur était un dangereux démagogue d’extrême-droite, car, «tout le monde sait que le nazisme est une dangereuse idéologie d’extrême-droite qui n’a rien à voir avec la gauche».
Sur le seul aspect de l’axe autoritarisme-libertarianisme, je suis d’accord avec eux, le nazisme est une idéologie d’extrême-droite. Mais, sur le plan économique, si Têtu et son p’tit fe-fan-club avaient fait des recherches, ils auraient découvert que le nazisme était une idéologie de tout ce qu’il y a de plus gau-gauchiste, socialiste, étatiste, coercitive, ultra-nationaliste, anti-capitaliste, raciste, antisémite, anti-parlementariste, populiste et marquée par la défense des «petits», la paranoïa, la création de plusieurs classes de citoyens, le rejet des traités de paix et la privation des libertés fondamentales.
Voici, donc, le programme du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP), élaboré en 1920, alors que celui-ci n’était encore qu’un groupuscule sans réelle influence! Ce programme fut l’avatar des remous révolutionnaires des lendemains de l’Armistice de 1918.
Munich, 24 février 1920
Le programme du Parti ouvrier allemand est un programme à terme. Lorsque les objectifs fixés seront atteints, les dirigeants n’en détermineront pas d’autres dans le seul but de permettre, par un maintien artificiel de l’insatisfaction des masses, la permanence du parti.
1) Nous demandons la constitution d'une Grande Allemagne, réunissant tous les Allemands sur la base du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes.
2) Nous demandons l'égalité en droit du peuple allemand au regard des autres nations et l'abrogation des traités de Versailles et de Saint-Germain.
3) Nous demandons de la terre et des colonies pour nourrir notre peuple et résorber notre surpopulation.
4) Seuls les citoyens bénéficient des droits civiques! Pour être citoyen, il faut être de sang allemand, la confession importe peu. Aucun Juif ne peut, donc, être citoyen!
5) Les non-citoyens ne peuvent vivre en Allemagne que comme hôtes et ils doivent se soumettre à la juridiction sur les étrangers.
6) Le droit de fixer la direction et les lois de l'État est réservé aux seuls citoyens. Nous demandons, donc, que toute fonction publique, quelle qu'en soit la nature, ne puisse être tenue par des non-citoyens. Nous combattons la pratique parlementaire, génératrice de corruption, d'attribution des postes par relations de parti, sans se soucier du caractère et des capacités.
7) Nous demandons que l'État s'engage à procurer à tous les citoyens des moyens d'existence. Si ce pays ne peut nourrir toute la population, les non-citoyens devront être expulsés du Reich.
8) Il faut empêcher toute nouvelle immigration des non-Allemands. Nous demandons que tous les non-Allemands établis en Allemagne depuis le 2 août 1914 soient immédiatement contraints de quitter le Reich.
9) Tous les citoyens ont les mêmes droits et les mêmes devoirs.
10) Le premier devoir de tout citoyen est de travailler, physiquement ou intellectuellement. L'activité de l'individu ne doit pas nuire aux intérêts de la collectivité, mais s'inscrire dans le cadre de celle-ci et pour le bien de tous. C'est pourquoi nous demandons :
11) La suppression du revenu des oisifs et de ceux qui ont la vie facile, de même que la suppression de l'esclavage de l'intérêt.
12) Considérant les énormes sacrifices de sang et d'argent que toute guerre exige du peuple, l'enrichissement personnel par la guerre doit être stigmatisé comme étant un crime contre le peuple. Nous demandons, donc, la confiscation de tous les bénéfices de guerre, sans exception.
13) Nous demandons la nationalisation de toutes les entreprises appartenant aujourd'hui à des trusts.
14) Nous demandons une participation aux bénéfices des grandes entreprises.
15) Nous demandons une augmentation substantielle des pensions des retraités.
16) Nous demandons la création et la protection d'une classe moyenne saine, la remise immédiate des grands magasins à l'administration communale et leur location, à bas prix, aux petits commerçants. La priorité doit être accordée aux petits commerçants et industriels pour toutes les livraisons à l'État, aux Länders ou aux communes.
17) Nous demandons une réforme agraire adaptée à nos besoins nationaux, la promulgation d'une loi permettant l'expropriation, sans indemnité, de terrains à des fins d'utilité publique, la suppression de l'imposition sur les terrains et l'arrêt de toute spéculation foncière.
18) Nous demandons un combat sans merci contre toutes les activités qui nuisent à l’intérêt commun. Les «coupables de crimes contre le peuple» (Volksverbrecher), les usuriers, les fraudeurs, etc., doivent être condamnés à mort, et ce, sans qu’il soit tenu compte de leur confession ou de leur race.
19) Nous demandons qu'un droit public allemand soit substitué au droit romain, serviteur d'une conception matérialiste du monde.
20) L'extension de notre infrastructure scolaire doit permettre à tous les Allemands bien doués et travailleurs l'accès à une éducation supérieure et, par là, à des postes de direction. Les programmes de tous les établissements d'enseignement doivent être adaptés aux exigences de la vie pratique. L'esprit national doit être inculqué à l'école, dès l'âge de raison (cours d'instruction civique). Nous demandons que l'État couvre les frais de l'instruction supérieure des enfants particulièrement doués de parents pauvres, quelle que soit la classe sociale ou la profession de ceux-ci.
21) L'État doit se préoccuper d'améliorer la santé publique par la protection de la mère et de l'enfant, l'interdiction du travail de l'enfant, l'introduction de moyens propres à développer les aptitudes physiques par l'obligation légale de pratiquer le sport et la gymnastique et par un puissant soutien à toutes les associations s'occupant de l'éducation physique de la jeunesse.
22) Nous demandons la suppression de l'armée de mercenaires et la création d'une armée nationale.
23) Nous demandons la lutte légale contre le mensonge politique conscient et sa propagation par la presse. Pour permettre la création d'une presse allemande, nous demandons que :
a) Tous les directeurs et collaborateurs de journaux paraissant en langue allemande soient des citoyens allemands.
b) La diffusion des journaux non-allemands soit soumise à une autorisation expresse. Ces journaux ne peuvent être imprimés en langue allemande.
c) Soit interdite par la loi toute participation financière ou toute influence de non-Allemands dans des journaux allemands. Nous demandons que toute infraction à ces mesures soit sanctionnée par la fermeture des entreprises de presse coupables, ainsi que par l'expulsion immédiate hors du Reich des non-Allemands responsables. Les journaux qui vont à l'encontre de l'intérêt public doivent être interdits. Nous demandons que la loi combatte un enseignement littéraire et artistique générateur d'une désagrégation de notre vie nationale et ordonne la fermeture des organisations contrevenant aux mesures ci-dessus.
24) Nous demandons la liberté au sein de l'État de toutes les confessions religieuses, dans la mesure où elles ne mettent pas en danger son existence et où elles n'offensent pas le sentiment moral de la race germanique. Le parti, en tant que tel, défend le point de vue d'un christianisme positif, sans toutefois se lier à une confession précise. Il combat l'esprit judéo-matérialiste à l'intérieur et à l'extérieur et est convaincu qu'un rétablissement durable de notre peuple ne peut réussir que de l'intérieur sur la base du principe que l'intérêt général passe avant l'intérêt particulier.
25) Pour mener tout cela à bien, nous demandons la création d'un pouvoir central puissant, l'autorité absolue du Comité politique sur l'ensemble du Reich et de ses organisations, ainsi que la création de Chambres professionnelles et de bureaux municipaux chargés de la réalisation, dans les différents Länders, des lois-cadres promulguées par le Reich.
Les dirigeants du parti promettent de tout mettre en œuvre pour la réalisation des points ci-dessus énumérés, en sacrifiant leur propre vie, si besoin est.
Sources : Wikipédia et Wikiwix.
Comme programme économique d’extrême-droite, j’ai déjà vu mieux! Certains de ses points-là sont même dignes de Culbecistan suicidaire et fémi-fasciste.
24) Nous demandons la liberté au sein de l'État de toutes les confessions religieuses, dans la mesure où elles ne mettent pas en danger son existence et où elles n'offensent pas le sentiment moral de la race germanique. Le parti, en tant que tel, défend le point de vue d'un christianisme positif, sans toutefois se lier à une confession précise. Il combat l'esprit judéo-matérialiste à l'intérieur et à l'extérieur et est convaincu qu'un rétablissement durable de notre peuple ne peut réussir que de l'intérieur sur la base du principe que l'intérêt général passe avant l'intérêt particulier.
25) Pour mener tout cela à bien, nous demandons la création d'un pouvoir central puissant, l'autorité absolue du Comité politique sur l'ensemble du Reich et de ses organisations, ainsi que la création de Chambres professionnelles et de bureaux municipaux chargés de la réalisation, dans les différents Länders, des lois-cadres promulguées par le Reich.
Les dirigeants du parti promettent de tout mettre en œuvre pour la réalisation des points ci-dessus énumérés, en sacrifiant leur propre vie, si besoin est.
Sources : Wikipédia et Wikiwix.
Comme programme économique d’extrême-droite, j’ai déjà vu mieux! Certains de ses points-là sont même dignes de Culbecistan suicidaire et fémi-fasciste.
Des pays de gauche économiquement et autoritaires, ça, on en voit presque partout (ex-URSS, Cuba, Venezuela, Bolivie, Chine, Corée du Nord, etc.), de même que des pays de droite économiquement et libertariens (les pays de l’Europe de l’Est, les États-Unis) et des pays de gauche économiquement et libertariens (Israël). Par contre, des pays de droite économiquement et autoritaires, mis à part, peut-être, la Russie, qui est l’exception qui confirme la règle, je n’en vois pas beaucoup.
Pourquoi? Parce que les principes de la droite économique, soit le libéralisme économique, sont aux antipodes de ceux de l’autoritarisme! Un pays ne peut pas être libéral sur l’économie, tout en privant ses habitants de leurs droits civiques et de leurs libertés individuelles par l’intermédiaire d’un État policier et totalitaire. Un pays ne peut pas avoir un État minimal en n’intervenant pas dans l’économie, tout en intervenant à fond dans la vie des gens et dans la société. C’est contraire aux valeurs de la droite économique, de même qu’aux valeurs libérales et aux valeurs libertariennes.
L’autoritarisme emmène l’intervention de l’État et l’intervention de l’État emmène l’autoritarisme. C’est la nature des choses. Un État de droite économiquement et autoritaire, ça n’existe pas! Non seulement, cet État serait incohérent dans ses idées, mais, en plus, il ne serait pas un vrai État libre pour faire fonctionner les valeurs libérales et/ou libertariennes.
On voit, maintenant, que le nazisme était tout le contraire des valeurs libérales et libertariennes et que l’horrible bilan des nazis devrait être le poids de la gauche et non pas celui de la droite.
Richard Têtu a, donc, encore une fois, parlé à travers son chapeau. Pas étonnant que lui et son p’tit fe-fan-club d’extrémistes gau-gauchistes prônent la censure de Fox News, ce qui rappelle drôlement le dossier de CHOI-FM, ici même, au Québec, en 2004-2005! Ils sont vraiment malades. Oui, la liberté d’expression est la liberté de dire n’importe quoi, même si on n’est pas d’accord avec ce n’importe quoi.
Pourquoi prônent-ils la censure de Fox News? Parce que, à l’émission Fox and Friends, Glenn Beck, un animateur-vedette de cette station de télévision, a tenu les propos suivants concernant le Messie de la Maison Blanche :
Ce président s’est montré, encore et encore et encore, comme un gars qui a une haine profonde des Blancs ou de la culture blanche.
Je ne dis pas qu’il n’aime pas les Blancs. Je dis qu’il a un problème. Ce gars-là est, je crois, un raciste.
Et après, hein? Le Messie a bien fréquenté, et ce, pendant plusieurs années, une secte raciste, anti-blanche et anti-américaine, mais ça, Richard Têtu et son p’tit fe-fan-club d’extrémistes gau-gauchistes étatistes qui compose ses charmants disciples ne vous en parleront jamais ou alors, ils passeront très très rapidement par-dessus ce fait. Tabou!
En prônant la censure de Fox News, Richard Têtu et ses disciples montrent leurs vraies couleurs en agissant de la même façon qu’agit leur idole du Venezuela à l’égard de la liberté d’expression.
Ces gens-là sont vraiment les pires réactionnaires que je n’ai jamais vus de toute ma vie. Jamais je n’aurais pu croire qui puisse exister de pareils dhimmis au Québec!
Pour terminer, je citerais ce brillant article de Guy Millière.
Ben Laden en a rêvé, Obama le fait
Millière Guy - jeudi 16 juillet 2009
Oussama Ben Laden en a rêvé en détruisant le World Trade Center le 11 septembre 2001, Barack Hussein Obama le fait! Si la politique étrangère d’Obama est la plus dangereuse, la plus inepte et la plus irresponsable menée par un président des États-Unis depuis le début du XXe siècle, sa politique intérieure conduit son pays vers une ruine qui ressemble à celle vers laquelle l’Europe glisse aujourd’hui. Si rien ni personne ne l’arrête, il pourrait créer des dégâts irréversibles qui, vue la place de l’économie américaine, concernent la planète entière.
Les causes de la crise économique actuelle sont connues et Thomas Sowell, l’un des grands économistes de ce temps, vient de leur consacrer un ouvrage magistral : «The Housing Boom and Bust»! Les remèdes sont connus, aussi.
Mais, Obama n’a que faire de la crise et ne se préoccupe pas des remèdes. Ce qui l’intéresse est d’abaisser les États-Unis, d’y détruire l’initiative individuelle et la liberté de choix et de commencer à y construire une forme de socialisme ou, dit Sowell, de «fascisme».
Tout s’est enclenché très vite avec le «plan de stimulation» qui est, en fait, un plan de gonflement des dépenses publiques et de l’endettement public qui, s’il se poursuit au rythme actuel, se trouvera multiplié par cinq en moins de dix ans et soumettra le pays au bon vouloir de ses créanciers. Les projets de restructuration du système bancaire ont, largement, mis celui-ci sous tutelle du Secrétariat au Trésor. En parallèle, Obama a accru la quantité de monnaie mise en circulation d’une manière si vertigineuse qu’il ne peut y avoir qu’une seule issue : un effritement de la valeur du dollar et une inflation forte!
Plutôt que de laisser des entreprises comme Chrysler ou General Motors déposer leur bilan et se restructurer, après assainissement, Obama a préféré s’en emparer. Il a fait entrer dans l’actionnariat de la première les syndicats et Fiat et injecte massivement l’argent des contribuables dans la seconde.
Fiat a été choisie, entre autres, parce qu’elle produit de très petites voitures, et qu’Obama voudrait que les Américains roulent dans des véhicules de ce type. Il n’a pas encore révélé ses choix pour la seconde, mais on parle pour elle, non seulement de la fabrication de voitures minuscules, mais de celle, à marche forcée, de modèles hybrides. Les syndicats, qui n’ont pas été oubliés chez Chrysler, ne le seront pas, non plus, chez General Motors. Obama en profite, aussi, pour punir les concessionnaires des deux marques qui ont versé de l’argent pour les campagnes des républicains en les plaçant en tête des unités à fermer.
L’EPA, l’agence américaine de protection de l’environnement, a classé le dioxyde de carbone dans la catégorie des gaz polluants et, dès lors qu’elle s’est vue chargée par Obama de «lutter fortement» contre la pollution, il n’est pas difficile de voir ce qui se profile : un projet de taxe sur le carbone («cap and trade») qui va rendre plus coûteux les déplacements et les activités de production!
Obama avance à grands pas vers la mise en place d’un système d’assurances-santé qui se rapprocherait des systèmes britanniques et canadiens et qui impliquerait un rationnement des soins, la faillite de multiples entreprises de ce secteur et leur remplacement par des administrations. Les entreprises qui survivraient à ce traitement de choc d’ensemble doivent s’attendre, non seulement à un alourdissement des impôts et des charges, mais, aussi, à une planétarisation de la fiscalité américaine, puisque les entreprises qui réalisent l’essentiel de leurs profits à l’étranger, tout en ayant leur siège social aux États-Unis, savent qu’elles risquent fort de se trouver soumises au fisc américain pour toutes leurs opérations.
Le renoncement à une exploitation de divers gisements aux États-Unis contribue à une remontée nette du cours du pétrole. La destruction de l’économie américaine conduirait à des taux de chômage élevés et à une croissance asthénique. Elle entraînerait la disparition de sa position de principale puissance du monde libre et c’est là, je pense, le souhait fondamental d’Obama. Si la perspective inquiète en Chine, là où la croissance dépend de la croissance américaine, elle réjouit de multiples dictateurs et autocrates. Elle devrait inquiéter en Europe, car, si les États-Unis devaient tomber, le déclin de l’Europe deviendrait une chute libre!
Jamais je n’aurais pensé écrire ça un jour, mais je m’ennuie presque de Bill Clinton!
Jamais je n’aurais pensé écrire ça un jour, mais je m’ennuie presque de Bill Clinton!
JLP
RépondreSupprimer*** Un pays ne peut pas être libéral sur l’économie, tout en privant ses habitants de leurs droits civiques et de leurs libertés individuelles par l’intermédiaire d’un État policier et totalitaire. ***
Ce passage est totalement faux. Voir la Chine.
Le capitalisme n'a rien à voir avec la démocratie. Il peut très bien vivre sans.
*** si les États-Unis devaient tomber, le déclin de l’Europe deviendrait une chute libre! ***
RépondreSupprimerTu te bases sur quoi pour nous sortir une telle affirmation? L'Europe peut très bien survivre sans les USA.
Tiens, Cali! Ça faisait longtemps, vieille branche!
RépondreSupprimer«Ce passage est totalement faux. Voir la Chine.»
La Chine a libéralisé ses échanges, mais pas vraiment son économie. En fait, la bureaucratie chinoise n'a presque pas été réduite depuis Mao, ce qui permet de maintenir la dictature post-Mao avec Deng Xiaping et autres Hu Jintao.
La Chine se définit elle-même comme étant une économie socialiste de marché, ce qui veut tout dire.
«Le capitalisme n'a rien à voir avec la démocratie. Il peut très bien vivre sans.»
Le socialisme et le communisme sont incompatibles avec la démocratie, car la démocratie sous-entend la protection des libertés individuelles et des droits civiques, l'État de droit, l'égalité des chances et la poursuite du bonheur.
Le libéralisme emmène la démocratie. La démocratie est causée par le libéralisme et, donc, par le capitalisme.
«Tu te bases sur quoi pour nous sortir une telle affirmation? L'Europe peut très bien survivre sans les USA.»
C'est Guy Millière qui a écrit le passage que tu cites. Selon ce que je comprends de ce passage, c'est que si les États-Unis ne sont plus en état d'assurer leur rôle de première puissance du monde libre, l'Europe court tout droit à sa perte sur le plan économique et, aussi, qu'elle ne serait plus à l'abri de l'islamisme radical qui la menace, surtout si les États-Unis sont trop faibles pour pouvoir la défendre en assurant leur rôle de protecteurs de la liberté et de la démocratie sur cette Terre.
P.S. : Si j'étais Américain, je militerais pour le Parti libertarien, car, comme c'est là, autant les républicains que les démocrates me donnent la nausée.
Caligula l'anti-américain a sérieusement besoin de leçons en économie! Faut pas trop en vouloir à un sectaire d'Obama LOL
RépondreSupprimerIndice de liberté économique de la Chine: 6.3/10, on est loin du libre-marché.
Indice de liberté de la supposé Suède socialiste: 7.4/10
Concernant l'Eurabie, c'est sans espoir que les USA tombent ou non...
Martin
@ Martin.
RépondreSupprimerTu as trop lu Bat Ye'or. ;-)
Mais, si l'Islam réussi à prendre le contrôle de l'Europe, c'est vrai qu'il n'y aurait plus une grande différence entre l'oeuvre de Ye'or et la réalité.
Excellent texte !
RépondreSupprimerJe profite de cette tribune -qui parle de Richard Hétu- pour vous faire part d'un message qui a été censuré plusieurs fois son blogue.
---» http://blogues.cyberpresse.ca/hetu/
***
Petit rappel:
Seulement 25% des Américains ont voté pour Obama.
Même chose pour Bush.
Et dire que “les absents ont torts”, démontre une méconnaissance certaine du corset anti-démocratique imposé par le bipartisme américain.
L’autre moitié (des électeurs) se considère comme ni démocrate, ni républicaine et ne vote pratiquement jamais, car elle ne voit aucune différence entre ces 2 partis étatistes:
- de gauche étatiste: au niveau social, économique, etc
ou
- de droite étatiste au niveau militaire/sécuritaire, moral, etc
Même que les dépenses sociales globales ont augmenté sous Bush (oui, oui!), et les dépenses militaires -sous Obama- continuent d’augmenter à la vitesse grand V.
Obama veut même constituer une « force civile armée » aussi forte et bien financée que l’armée régulière.
---» http://www.youtube.com/watch?v=Tt2yGzHfy7s
Ouch !
Pour une majorité d’américains (qui ne vote pas/plus), il n’y a plus de grandes différences entre les politiques interventionnistes de Bush et d’Obama :
Voir ses droits diminuer par la gauche ou par la droite, ça reste une perte quand même.
Voir les "Big" banques(ou autres 'big' de ce monde) recevoir de l’argent de Bush ou d’Obama, ça change quoi ?
Voir les troupes militaires augmenter sous Obama ou Bush, ça change quoi ?
Voir les troupes diminuer en Irak ( ?) et les voir un peu plus à l’est et en plus grand nombre (en « Afghonisant » et au Pakistan), ça change quoi ?"
Etc.
Bon, je suis un anti-américain maintenant... Vaut pas la peine de répondre à quelqu'un incapable de s'élever au-dessus de ce genre d'attaque gratuite.
RépondreSupprimerGros soupir. Je vais quand même spécifier que je suis depuis toujours un américanophile confirmé et fier de l'être.
Je répète ce que j'ai dit : Le capitalisme n'a pas besoin de la démocratie pour vivre. Par contre la démocratie peut difficilement se passer de libre marché.
Pour ce qui est de l'Europe, je persiste à croire qu'elle peut très bien combattre le terrorisme sur son territoire sans l'aide de personne.