Ma ville de Québec me décourage et Clotaire Rapaille me fait vraiment penser au devin dans Astérix. Quant au maire Régis Labeaume, on dirait qu'il se pense dans un livre de Dan Brown avec son crisse de code de Québec, code dont il n'arrête pas de nous parler!!!! Bon, d’accord, l'histoire du fameux «code de Québec» venait de Rapaille, mais, malheureusement pour nous, que Rapaille soit un charlatan ou non, Labeaume est toujours convaincu, plus que jamais, que Québec renferme un code secret pour attirer de nouveaux habitants! Moi, plus j'y pense, plus j'en viens à la conclusion que, comme tous les bons politiciens qui se respectent, le seul véritable code que Labeaume recherche activement, c'est celui de mon compte bancaire, afin de me pomper tout mon fric dans des projets qui sont autant insensés qu’inutiles!!!!
N’oublions pas que Labeaume est le roi des projets grandioses qui ont tous le tour de se transformer, plus tard, en éléphants blancs, tous aussi splendides les uns que les autres! N'oublions pas que c'est lui qui nous a pondu, à Québec, une politique de déneigement (un des services essentiels d'une ville, soit dit en passant) tout à fait amateure écrite à la va-vite sur le coin d'une table sur une napkin du McDo de son quartier! J'ai l'impression que, si il continue comme ça, il ne sera plus aussi populaire que ça et il va connaître une méchante débarque dans l'opinion publique de Québec, d'ici la fin de l'année! Enfin, ça, je l'espère!
Si seulement il était capable d’un minimum d’auto-critique!!!!! Mais non, lui, il est parfait, c’est bien connu!!!! Vraiment le pire maire de Québec depuis des décennies!!!! Il peut bien s’en prendre aux journalistes pour s’être fait aussi magistralement déculotté, le pauvre p’tit pit sans défense!!!!
À vous, de Montréal, de Québec et d’ailleurs, qui ne connaissiez pas le vrai Régis Labeaume, il vient de vous fournir lui-même un échantillon très révélateur de qui il est vraiment : un petit homme sans honneur qui ne tolère, ni la moindre contrariété, ni la moindre adversité! La médecine méprisante qu’il a servie aux journalistes, lundi, de même qu'à madame Isabelle Porter, journaliste du Devoir, qu’il a menacé de poursuite judiciaire pour un vieil article vieux de six mois concernant le financement douteux de son parti politique, cette semaine, est la même médecine qu’il sert, à chaque séance du Conseil municipal de Québec, aux deux élus indépendants (le pauvre monsieur Yvon Bussières et la pauvre madame Anne Guérette), aux représentants syndicaux et, parfois même, aux citoyens qui viennent s’exprimer dans la salle du Conseil!
En rejetant, du revers de la main, toutes les offres de débat, pendant la dernière campagne électorale, cette espèce de dictateur-là a répondu : «C’est ça, la démocratie!», tout ça parce que le RMQ s'était comporté comme un lâche, en ne présentant pas de candidat contre lui à la mairie de la ville!!! Voilà qui est cet homme répondant au nom de Régis Labeaume : un arrogant, un autocrate et un revanchard! Si vous vous demandez pourquoi il a fait campagne, si intensément, l’automne dernier, alors que l’élection lui était d’emblée acquise, c’était, simplement, pour faire disparaître du paysage politique le Renouveau municipal de Québec, le parti municipal qui formait l’Opposition officielle, ce même parti qui avait, quatre ans plus tôt, eu le malheur de rejeter sa candidature à la chefferie pour l’élection municipale de 2005, comme l’a si bien dit Alain Loubier, l’ancien chef du RMQ, aux lendemains de l’élection municipale de 2009!!!! La dissolution récente de ce parti a dû être un moment fortement jouissif pour notre Napoléon de la Grande-Allée.
Ceux et celles qui ont connu les années de Jean Pelletier à la mairie de Québec y verront, sûrement, des similitudes! Tout aussi autocrate et vindicatif que peut l’être Régis Labeaume, Jean Pelletier avait déjà répondu à la Cheffe de l’Opposition officielle, Winnie Frohn, qu’elle était «en manque de sexe» et il avait même déjà traité le succeseur de madame Frohn, Pierre Mainguy, de «petit homme en culottes courtes»!
Conclusion qui s’impose d’elle-même : en 2007 et en 2009, les gens de Québec ont élu un petit homme à la mairie de leur ville, point! En passant, j'habite à Québec!!!
Régis Labeaume n’a surtout pas de leçons à donner à qui que ce soit, comme l’a si bien écrit un commentateur du Devoir (le quatrième à partir de la fin dans la section «Commentaires» de cet article où la rédactrice en chef du Devoir, Josée Boileau, remet le maire Labeaume à sa place)!!!!! Il en a surtout à recevoir et elles s’empilent au vu et au su de tous les citoyens de notre ville, sur tous les tapis rouges qui façadent l’Hôtel de Ville de Québec! C’est, d’ailleurs, le miroir de ses quotidiennetés qui le lui rappelle, mais ce sont, aussi, les épais verres fumés clotairiens de son jovialisme rapaillé qui l’empêchent de bien discerner le vrai du faux!
Depuis le début de son mandat, le divin maire téflon qu’est Régis Labeaume brandit les gants de boxe de l'arrogance et de l’insolence, tout en affichant le superflu et en tournant les coins ronds! Il ne se réfère jamais aux conseillers élus pour qu’ils prennent une part active à la gestion de l’entreprise municipale. Il refuse les propos des conseillers de l'opposition. Il s'exaspère et il s’époumone, lors des questions des citoyens! Suivant les élans de son impulsivité, les soubresauts de sa compulsivité et les ardeurs de sa fougue instinctive, il hypothèque, de plus en plus, la sanité des finances publiques de la Ville, en faisant des dépenses exagérément inutiles, le tout sans le moindre sens de la répartie et sans le moindre sens de la consultation participative, étant donné qu’il refuse toutes les critiques!
Le leadership de Régis Labeaume, depuis son élection, en 2007, est fortement négatif!!!! En effet, celui-ci se fait, essentiellement, au détriment du groupe politique et à celui de tous les employés et de tous les intervenants, dont la saine gouvernance a le plus grand besoin!!!! Son leadership de haut-parleur et de fort-en-gueule est actionné par un nombrilisme qui ne peut que servir ses macros-fins personnelles, de même que ses mégas-intérêts personnels que seule la «cuvette de son cabinet» prétend pouvoir contenir et retenir. Dans le seul but de marquer, de ses abracadabrantes steppettes, tous les tapis des allées et des retours de son pouvoir gonflé et exclusif, il cherche à terroriser tout le monde et, surtout, ceux et celles dont les compétences lui portent ombrage!!!! Homme impulsif et compulsif, il est un faux leader, un petit boss des bécosses, qui n’a aucun contrôle sur ses propres incontinences!!!! Régis Labeaume est la plus imprévisible des bombes à retardement. À lui tout seul, il est une mine tout-terrain, dont le détonateur à distance se déclenche au moindre sursaut ressenti!!! Régis Labeaume travaille seul et il se fie aux accords (pris pour acquis) de deux ou trois de ses sous-fifres (yesmen), les larrons de sa droite et de sa gauche, qui s’activent et qui s’exhibent, devant les caméras des festivals et des carnavals bimensuels du lundi soir, à l’Hôtel de Ville.
Si Londres a son extravagant Boris et que L’Anse St-Jean eut son ridiculissime Denis 1er, Québec a, surtout depuis son couronnement du 1er novembre 2009, son excentrique Régis 1er, le plus insolite des bizarroïdes, dont le théâtre s’étend de L’Anse-au-Foulon, jusqu’à la Plage Jacques-Cartier! Tout, absolument tout, n’est imaginé et lancé que pour son auréole et pour sa gloriole fidéennes!!! Cet aventureux irréfléchi ne pompe que les gaz de la témérité. Par contre, et, suivant les constats auxquels fait appel notre souvenance, ce sont les souffrances aiguës et permanentes qui l’assaillent sans répit qui sont les causes les plus étroitement reliées et ficelée serrées à ses limites, à ses inconforts singulièrement pluriels, à sa piètre confiance en soi, à ses incompétences flagrantes, au seul chapitre de la planification, aux profondes frustrations de son insatiabilité, aux influx de son instabilité caractérielle, à ses ressentiments dominants, à ses humeurs volcaniques et à ses émotivités explosives, dont les accélérateurs s’emballent et dont les carburateurs se bouchonnent, au gré de ses tensions pathologiques, au rythme de ses irrégularités et de ses imprévisibilités et aux cadences des battements de son nombrilisme et de sa démesure comportementale!!! Inspirés et mus par les flux du catastrophisme, tous les agissements de cet individu pointent, dangereusement, en direction de la sinistralité et, en ce sens, le fiasco Clotaire Rapaille n’est que la pointe d’un des icebergs, dont son émergence fait parade!!!
Régis Labeaume s’autorise toutes les insultes et toutes les incontinences langagières. Son attitude altière ne carbure qu’au mépris qu’il porte à l’égard des élus qui ont porté sa bannière, mais qu’il ne consulte jamais, de même qu’à l’égard de l’opposition des deux élus indépendants auxquels il en «calicerait bien une dans le front», juste parce qu’ils ont le malheur de ne pas faire partie de sa gang de poteaux et de le questionner sur sa gestion de la ville!!!! Après tout, n’a-t-il pas déjà lancé cette folle menace à l’égard d’un ancien conseiller du RMQ, en 2008, à l’égal et à l’image de son alter-ego provincialiste, John-James Charogne, qui, publiquement, en pleine Assemblée nationale, a déjà traité une députée de l’Opposition officielle péquiste d’«ostie de chienne», hein?
Le haut potentiel d’imprévisibilité et d’explosivité de Régis Labeaume exténuent, pour ne pas dire, tout simplement, écoeurent, plus de 80% de la population de Québec!!! Certaines des sous-couches de la plèbe, son giron, se mirent dans cet homme-leur-miroir!!! Avec leur miroir-aux-alouettes, ses fans des clubs des gras HI-HI-HI, des gros HO-HO-HO et des épais HA-HA-HA, qui sont tous des auditeurs sans borne des crisses de radios-poubelles qui polluent l’atmosphère de cette belle ville en l’inondant de purin, s’imaginent pouvoir canarder tous les citoyens de la ville de Québec qui font preuve de savoir, de savoir-vivre, de savoir-faire, de savoir-être, d’instruction, de culture, d’éducation et de distinction!!!! Les tribunes télévisuelles et radiophoniques de Montréal se l’arrachent, pour leurs propres plaisirs de mégalomanes exploiteurs du méga-phénomène d’excentricité, au profit de leurs moqueries et de leur mépris, à l’égard de la grosse paroisse de Québec, dont le personnage labeaumien, aux tendances napoléonniennes et sarkozyennes, se dit le préfet, parce qu’ils n’ont jamais digéré que ce village de carrure et d’allure mondiales ait été reconnu et inscrit comme étant un joyau du patrimoine mondial par l’UNESCO!!!!!
Régis Labeaume a, certainement, des qualités et des aptitudes qui envahissent et qui cachent la déferlance de ses défauts, de ses déviantes attitudes et de ses arrogantes altitudes, en raison desquels défauts, desquelles attitudes et desquelles altitudes, il a l’air du plus lutin des farfadets, plutôt que d’un magistrat honorable et respectable au décorum irréprochable que son statut de maire de notre ville l’obligerait à devenir et à respecter!!!!! Après trois ans au cours desquelles les citoyens de la Capitale nationale du Québec, le berceau de l’Amérique française, en ont vu de toutes les couleurs avec lui, monsieur le maire, notre rustre et «bougre mestre» a dépassé toutes les limites et il a franchi toutes les frontières de la tolérance collective, surtout depuis l’Affaire Clotaire Rapaille, et de ce qu’ont dû subir les représentants de la presse écrite, qui n’ont fait que servir le droit du public à une information juste et impartiale, dont, principalement, madame Isabelle Porter du quotidien Le Devoir, en regard des excès verbeux qu’alimentent son négativisme et son négationnisme!!!!!
Le phénomène Labeaume n’a déjà que trop duré. La population de Québec a le devoir moral de prendre les actions qui s’imposent pour stopper ce «minable fourreur de système», sinon, pour le déloger, et ce, avant que le degré de sa désinvolture, avant que l’étalement de ses cabrures sans allure, ainsi que celui de ses tocades et de ses ruades insensées, avant que le déploiement de son révisionnisme et que l’étendue de son ascendance négative ne causent plus de dommages à notre merveilleuse ville, dommages irréversibles, quant à la notoriété et à l’honorabilité, quant à la crédibilité et à la respectabilité de l’historique cité du grand Samuel de Champlain, dommages qui ne feront que décoter, définitivement, la ville de Québec, de l’affadir et de figer dans le temps tous ses charmes naturels!!!!!!
Les élus, les employés de la Ville, les commerçants qui vivent du tourisme local, régional, national et international, ainsi que les fiers et les lucides citoyens de la Capitale nationale, doivent placer Québec au centre de leurs préoccupations, ouvrant tous les accès à l’expression de leurs opinions et à l’exercice de leurs influences!!!! Ce faisant, tous et toutes doivent rappeler Régis Labeaume à la raison et ils doivent s’assurer qu’en raison des requis auxquels ses hautes fonctions l’obligent, qu’il mette, immédiatement, fin à l’amateurisme, à l’arrogance, à l’insolence, à l’incompétence crasse, à l’ignorance totale de ses dossiers et aux excès tout azimut qui résultent de son profil caractériel et de son profil de «gestionnaire» de la ville, dont le déséquilibre mental de ce type en inquiète plus d’un!!!! C’est un vibrant appel à mes compatriotes de Québec que je lance, aujourd’hui!!!!!
Il n’y a plus de place, à Québec, pour les folichonneries des émotives pulsions de notre maire, et, encore moins, pour ses polissonneries langagières et pour ses inqualifiables écarts de conduite!!!!!
J’invite, donc, tous les lecteurs et toutes les lectrices de ce blogue à écrire à Reporters sans frontières, afin que notre Napoléon de la Grande-Allée frappe, enfin, son Waterloo!!!! Si la grosse brute qui nous sert de maire veut, impérativement, jouer au p’tit fasciste de salon, il trouvera les résistants sur son chemin et, tout comme ça s’est produit en 1944, les Résistants d’hier seront les vainqueurs de demain!!!!!
VIVE LA PRESSE LIIIIIIIIIIBRE!!!!!!!Lire aussi sur ce blogue
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Rit pas du futur PM péquiste du Québec qui va faire la souverraineté :-P
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