Je crois l’avoir déjà dit ici ou ailleurs sur la blogosphère : les environnementeurs forment une secte! Pourquoi est-ce que je dit que les environnementeurs forment une secte? Tout simplement parce qu’on ne peut pas tenir un discours contraire à celui des papes de l’environnementerie et à tout leur prêchi-prêcha! C’est un dogme, c’est une Bible et, si vous osez dire le contraire de ce qu’ils disent, par exemple, sur le mythe du réchauffement climatique, vous risquez l’excommunication! L’environnementerie est, aussi, une secte, dans le sens que n’importe quel deux de pique peut se prétendre expert dans le domaine. En autant qu’il ait les bons dogmes environnementeurs et qu’il suive à la lettre les Commandements, de même que l’imprimatur des gouroux de la secte, le deux de pique en question sacré expert dans le domaine par les dits gouroux eux-mêmes n’a pas besoin de diplôme dans le domaine pour répandre la Bonne Parole de la sacro-sainte Évangile de la secte.
Si j’allais sur un plateau de télévision en m’auto-proclamant médecin ou avocat ou chimiste, etc., un moment donné, on me demanderait, et avec raison, mes diplômes. Je répondrais que je n’en ai pas et je me ferais ramasser en me faisant dire que je n’ai aucune crédibilité pour m’auto-proclamer médecin ou avocat ou chimiste, etc., puisque je ne suis rien de tout ça et que je n’ai, ni les diplômes, ni les compétences nécessaires, pour m’auto-proclamer ce que je ne suis pas et pour me donner les compétences que je n’ai pas. Se donner des compétences que nous n’avons pas, c’est, ni plus, ni moins, que de la fraude et, dans certains cas, il y a même des risques de poursuites judiciaires!
Mais, dans la secte environnementeuse, on s’en crisse! L’important pour être reconnu comme étant un expert de la propagande de la secte, c’est que vous ayiez la foi et que vous ayiez la bonne soutane, une belle soutane verte de prêcheur. C’est tout ce que ça vous prend pour jouer les experts en environnementerie!
Malheureusement pour la liberté d’expression, quand on est un chroniqueur québécois ou que l’on patauge, de près ou de loin, dans l’univers médiatique québécois, on ne peut pas commettre le crime inqualifiable, dans nos chroniques, de tenir un discours nouveau, différent et rafraîchissant sur l’environnementerie, sur les environnementeurs eux-mêmes et sur le mythe du réchauffement climatique. Cette censure chaviste orchestrée, de toutes pièces, par les représentants officiels de la pensée unique gau-gauchiste étatiste du Québec vaut, également, pour nos opinions sur les États-Unis, sur Israël, sur les terroristes, sur les 9/11 truthers, sur le rôle de l’État dans l’économie, sur le sacro-saint «modèle» québécois qui est repris par aucun autre pays du monde, sur les syndicaleux, sur le développement économique et énergétique du Québec et sur la société, les enjeux mondiaux et la politique internationale en général.
Depuis la Révolution tranquille, mises à part quelques rares exceptions à Québec, aucun chroniqueur et aucun journaliste du Québec n’a eu le courage de remettre solidement en question ce conformisme crasse et cette pensée unique qui sclérosent, tous les deux, notre société. C’était vrai, jusqu’à l’arrivée de Jacques Brassard dans le paysage médiatique québécois!
Pour ceux et celles qui auraient oublié qui il est, Jacques Brassard (photo ci-haut) est un ancien ministre du Parti québécois, à l’époque où ce parti formait le gouvernement. Il a été député péquiste du comté de Lac-Saint-Jean de 1976 à 2002. Jacques Brassard a toujours été souverainiste et il l’est toujours aujourd’hui. Durant sa carrière de politicien, il maniait la langue de bois comme tous ses collègues de l’Assemblée nationale et, étant membre du Parti québécois, il se devait d’être «solidaire» du sacro-saint «modèle» québécois et d’une vision gauchiste et social-démocrate de la société sous peine d’excommunication et d’être reconnu coupable de «crime contre le peuple». Chroniqueur au Quotidien depuis sa retraite de la vie politique, libéré de toute attache partisane, il parle, maintenant, en son nom, il laisse libre court à ses opinions, il ne mâche pas ses mots, il est coloré et il fonce dans le tas!
Le pire, c’est que Jacques Brassard est, en fait, de droite, pro-américain, pro-Israël, pro-mondialisation, anti-environnementerie, pro-armes à feu, laïc, anti-terroriste, anti-étatiste, anti-cours d’Éthique et cultures religieuses, il appuit la mission en Afghanistan et nos soldats et il croit aux libertés individuelles, au développement économique et hydroélectrique du Québec et à son potentiel pour que l’on se sorte de la médiocrité bourreaucratique généralisée du sacro-saint «modèle» québécois hérité de la Révolution tranquille et il assume totalement qui il est, ce qui, ma foi, constitue plusieurs bons points pour lui. Bref, Jacques Brassard est comme moi : un souverainiste libertarien, donc, un patriote et un chevalier de la liberté pleine et totale du Québec et des individus qui vivent sur son territoire souverain et qui assume pleinement ses idées!
Je vous suggère fortement d’écouter l’entrevue qu’il avait accordé, en 2006, à Patrick Lagarce des Francs-Tireurs, pour vous faire une bonne idée, par vous-mêmes, de la philosophie politique de l’ancien député de Lac-Saint-Jean.
Aujourd’hui, après 6 ans, Jacques Brassard n’est plus chroniqueur au Quotidien. Il a démissionné, parce qu’on voulait restreindre sa liberté d’expression, à la suite de sa dernière chronique sur la secte environnementeuse. Il s’attaquait, dans cette chronique, à l’un des experts auto-proclamés par les gouroux de la secte : Steven Guilbeault, l’espèce de sale hippie qui répand la Bonne Parole environnementeuse à Équiterre et qui la répandait, autrefois, à Greenpeace, qui a une formation, non pas en environnement ou en sciences, mais bien en…théologie de l’Université de Montréal! En fait, tout ceci est vite dit, puisqu’il n’a même pas le diplôme, étant donné qu’il ne s’est pas rendu jusqu’au bout de sa formation. Donc, méfiez-vous de Monseigneur Guilbeault et de ses homélies environnementeuses comme de la peste!
Équiterre a envoyé un courriel au Quotidien pour se plaindre en disant que monsieur Brassard avait fait, sans sa chronique, des attaques personnelles contre Steven Guilbeault (puisque monsieur Brassard n’a pas parlé de la blonde de Guilbeault ou de ce qu’il fait le soir, chez-lui, ou de son apparence, mais bien de sa crédibilité en tant qu’expert environnementeur et principal conseiller du gouvernement du Québec en environnementerie (on a le droit de faire ça), je me demande bien quelles sont ces soi-disant attaques personnelles) et, suite à ça, Le Quotidien voulait imposer, à monsieur Brassard, des contraintes vis-à-vis sa liberté d’expression, sa liberté de choisir par lui-même les sujets de ses chroniques et sa liberté concernant le ton de celles-ci. Bref, on voulait le bâillonner, on voulait le faire taire, exactement comme le CRTC a voulu, il y a 5 ans, faire taire CHOI-FM. Pourquoi? Quel est, donc, le crime commis par Jacques Brassard? L’honnêteté et la transparence pour protéger les intérêts du Québec, qui est la marque de commerce de toute sa carrière politique, qui sont menacés par la secte environnementeuse et ses pseudo-experts qui sont coupables de terrorisme économique sur le territoire québécois en refusant tout développement économique et énergétique de notre part, bien sûr!
Jacques Brassard, en grand patriote et en chevalier de la liberté du Québec qu’il est, a voulu défendre les intérêts économiques du Québec et servir le droit du public à l’information en démasquant, enfin, le charlatan qu’est Steven Guilbeault pour que l’on sache qui il est réellement. Quel homme admirable! Malheureusement pour lui, selon le p’tit catéchisme du sacro-saint «modèle» québécois affilié avec les médias, les zartisss et les environnementeurs, le geste héroïque de monsieur Brassard est, ni plus, ni moins, qu’un «crime contre le peuple».
Au Québec, on peut cracher, librement et en toute impunité, sur la droite, sur les pétrolières, là où la majorité des REER sont investis pour les faire fructifier et qui nous rendent plus riches en contribuant, ainsi, à l'amélioration de notre niveau de vie, sur l’Alberta, sur les entrepreneurs, sur le capitalisme, sur «le monde sale du privé», ces parvenus qui gagnent bien leur vie en entreprenant des choses par eux-mêmes, ce qui, en retour, crée de la richesse et qui profite, ainsi, à toute la société, sur Israël, sur les États-Unis, etc., mais, dès que l’on critique, un tant soit peu, les zartisss, les médias et le copinage qu’il y a entre les deux, l’étatisme, les syndicaleux, les environnementeurs, les pacifisss, les socialistes, etc., on fait notre procès sur la place publique, la Clique du Plateau se fait jury, juge et bourreau et le verdict est clair : nous sommes coupables de «crime contre le peuple» et la sentence, c’est notre retrait forcé du paysage médiatique québécois et notre excommunication de la société québécoise!
Plusieurs noms se retrouvent sur la liste québécoise des «criminels contre le peuple», à cause du simple fait qu’ils ont osé exprimer une (ou plusieurs) opinion(s) contraire(s) à la pensée unique du sacro-saint «modèle» québécois et de la Clique du Plateau. Maintenant, dans cette liste déjà bien garnie, dans cette liste des victimes de tout ce carnage institutionnalisé au service de la gau-gauche étatiste, vous pouvez rajouter le nom de Jacques Brassard. Après ça, vous viendrez me dire que le Québec est une société libre qui reconnaît la liberté d’expression! Mon cul, oui!
Monsieur Brassard, malgré que vous soyiez le dernier martyr de la secte environnementeuse, je tiens à vous faire part de toute l’admiration que je ressens envers vous. Rares sont les journalistes et les chroniqueurs qui aiment assez le Québec pour le voir libérer du démon plateauiste, gau-gauchiste et environnementeur et de ses complices dans l’univers médiatico-zartissstique québécois! Rares sont les journalistes et les chroniqueurs qui auront contribué autant que vous, à votre façon, au réveil collectif du peuple québécois sur son «modèle» en décrépitude totale et qui est sur le point de nous imploser en pleine face sous le poids d’une dette et d’un déficit hors de contrôle et d’une bourreaucratie de plus en plus omniprésente!
Surtout, monsieur Brassard, n’écoutez pas ces p’tits extrémistes gau-gauchistes étatistes qui, bien emmitouflés dans le confort de leur lit dans leur chambre d’étudiants à l’UQAM avec leur iPod, leur cellulaire, leur char et les autres inventions capitalistes et matérialistes qu’ils possèdent (ô sacrilège!), ergotent sur l’anti-américanisme, l’antisémitisme, l’anti-militarisme, l’anti-capitalisme, le pacifisssme et l’environnementerie! Sachez que vous êtes l’un de nos trop rares braves patriotes québécois qui ont vraiment à coeur la liberté du peuple du Québec!
Merci, monsieur Brassard! Merci pour votre amour du Québec et de la liberté et pour tous vos états de service, autant comme politicien que comme chroniqueur! J’espère que votre silence forcé sera de courte durée et que vous vous joindrez au futur LPQ-libre (les Libertariens pour un Québec libre) au sein du PQ et que, après l’indépendance du Québec, vous vous joindrez au nouveau parti de droite qui sera bientôt créé pour remplacer l’ADQ.
Vous êtes le bienvenu parmi nous, monsieur Brassard. Revenez en politique! Monsieur Brassard, la droite québécoise a besoin de vous. Les libertariens québécois ont besoin de vous. Le Québec a besoin de vous. J’ai besoin de vous, de vos idées et de votre fougue. Vous avez la sagesse, l'expertise, la lucidité et l’expérience pour nous aider à réaliser l’objectif que nous partageons tous les deux, monsieur Brassard : libérer le Québec du monarcho-fédérasme KKKanadian pour, ensuite, donner, au pays du Québec, le plus beau cadeau que l’on puisse donner à un pays et à un peuple, c’est-à-dire la liberté et la responsabilité!
Monsieur Brassard, je vous demande, sincèrement, d’y penser. C'est un cri du coeur que je vous lance, ce soir. Avec votre aide, votre sagesse, votre expertise, votre lucidité et votre expérience, nous pourrions construire une merveille avec le Québec. Pensez-y!
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