En mars 2007, l'Action démocratique du Québec a fait élire 41 députés, en récoltant près du tiers des votes. On a vu les réactions : l'ADQ «exploite le même filon de l'intolérance que le Front national en France», «les réacs ont la cote» et un «lot de valeurs xénophobes, homophobes et démagogues»! Enfin, la plus succincte et accablante condamnation : «Montée de la droite!»!
Car, ce seul mot, la «droite», se suffit à lui-même! Il est à ce point péjoratif, si clairement identifié au Mal (avec une majuscule), qu'il est inutile d'y ajouter quoi que ce soit, si le but est de pourfendre ou d’insulter.
Ce déchaînement d'animosité, presque unanime, à en croire les médias, était, évidemment, une sorte de déni démocratique. Il a servi à enfermer, dans le cachot de la honte, ce pauvre peuple qui, à la hauteur de 31%, n'avait pas «voté du bon bord». Il a servi à condamner ces «citoyens mis à l'écart, parce qu'ils ne sont pas de gauche ou parce qu'ils ne font pas semblant de l'être» (Être de droite : un tabou français, de Éric Brunet).
Mais, il s'agissait d'autre chose, aussi, soulevant plus d'inquiétude à long terme : à savoir qu'un parti de droite ne peut pas avoir de légitimité intellectuelle et médiatique, au Québec! Même si il est populaire! Même si il ne s'écarte que d'un malheureux millimètre de la zone du centre, à partir de laquelle tous les partis gouvernent, car on sait que la droite québécoise est, selon les critères européens ou américains, extraordinairement modérée! Elle n'est, ni religieuse, ni morale, et, en économie, elle reste «middle of the road», comme disent les Slovaques.
C'est d'autant plus remarquable que s'excentrer, même de façon assez considérable, est fort bien vu à gauche. Québec solidaire, dont le statut intellectuel et médiatique est enviable, est là pour le prouver.
* * *
Depuis ce temps, avec le déclin (rapide) et la chute (pathétique) de l'empire adéquiste, l'infirmité politique de la droite s'est montrée sous un autre jour, encore plus accablant.
On dirait qu'au Québec, les partis situés de ce côté-là de l'échiquier politique finissent, invariablement, par s'autodétruire. Souvenons-nous de l'agonie de l'Union nationale! Triste et interminable! Ou de toutes les déclinaisons du créditisme, qui auront, au moins, eu le mérite de nous divertir, pendant des décennies!
S'inscrivant, plus ou moins, dans cette continuité, c'est, aujourd'hui, le nouveau chef adéquiste, Gérard Deltell, qui, pour employer l'image devenue iconique, a les deux mains sur un volant…privé de roues, de carrosserie, de banquettes et de moteur!
Il serait étonnant que ce véhicule, qu'on rafistolera vraisemblablement avec de la broche, parvienne à renverser l'Histoire de la droite québécoise.
Pendant ce temps-là...
Le Ministère des Transports du Québec a accordé des contrats à une entreprise qui a déjà comploté pour éliminer la concurrence et dont les propriétaires sont de généreux contributeurs à la caisse du Parti des guidounes charognardes soi-disant libérales du Culbec.
Cette fois-ci, c’est au tour du syndicat des policiers de la Sûreté du Québec de réclamer une Commission d’enquête publique et indépendante sur l’industrie de la construction du Québec.
Le Ministère des Transports du Québec a accordé des contrats à une entreprise qui a déjà comploté pour éliminer la concurrence et dont les propriétaires sont de généreux contributeurs à la caisse du Parti des guidounes charognardes soi-disant libérales du Culbec.
Cette fois-ci, c’est au tour du syndicat des policiers de la Sûreté du Québec de réclamer une Commission d’enquête publique et indépendante sur l’industrie de la construction du Québec.
Non mais, c’est vraiment incroyable, ça, c'est rendu que même la police la demande, cette calice de Commission d’enquête-là, et John-James Charogne ne veut toujours rien savoir! Ça vous dis-tu combien le PGCSDLCUL est croche en christie, ça, hein? Le seul moyen que je vois pour qu’on l’aie, cette Commission d’enquête-là, c'est de faire un recours collectif auprès de la Cour suprême pour obliger Charogne d’agir comme un premier ministre responsable. Je ne peux pas croire que l’on va être obligé d’aller jusque-là. Nos dirigeants n'écoutent même plus la populace, c'est pour vous dire combien Charogne se contre-calice éperdumment bien de nous-autres!!!
C'est évident qu'il désire se rendre jusqu’aux vacances de Noël, le tout en espérant très fort que la population aura tout oublié, quand l’Assemblée nationale reprendra ses travaux en février. Charogne prouve, une fois de plus, qu’il est responsable de la démobilisation constante des électeurs(trices), en cultivant, ainsi, le cynisme de la population et la corruption de son gouvernement. Bref, une fois de plus, John-James Charogne met en péril notre démocratie. Il n’est, ni plus, ni moins, qu’un danger pour la démocratie. Mais, cette fois-ci, si il pense s’en tirer à si bon compte, il se trompe royalement! En fait, pour lui, la fête ne fait que commencer! Tiens-toi le bien pour dit, mon p’tit mouton frisé, toi, là!
En tout cas, moi, de par leur refus de vouloir faire toute la lumière sur tout ça, mon idée est faite sur la gang de véreux de Charogne. Peu importe ce que vous me direz pour me convaincre du contraire, je suis convaincu qu'ils trempent, du premier jusqu’au dernier, dans la collusion et dans la corruption jusqu’au cou et qu'ils ont vendu le Québec à la mafia. J'en suis convaincu! Je n’ai jamais voté libéral, ni au fédéral, ni au provincial, et ce n’est pas avec ça que je vais commencer. Bien au contraire, ça va prendre bien des années, avant que je commence à voter pour cette espèce de pomme pourrie remplie de vers de terre qu’est le PGCSDLCUL!
Autres nouvelles en vrac
Pour les deux ou trois fans des CHaudrons de Mouyial qui existent encore, au Québec, et que ça pourrait intéresser : Guillaume Latendresse s’en va, maintenant, se traîner les pieds au Minnesota!
Je vais brailler là-dessus, tout comme je vais sûrement brailler sur le fait que le RMQ ait fermé sa permanence à Québec. Snif!
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