L’ADQ avait-elle vraiment besoin de cette autre tuile? SVP, assez! Ayez pitié du pauvre mourant, débranchez-le et passez à un autre appel, christie, je vous le demande à genoux! Ce que vous êtes en train de faire là n’est, ni plus, ni moins, que de l’acharnement médical! Déjà que l’histoire de Gilles Taillon me rappellait, énormément, celle de Stéphane Dion, soit que le candidat le plus détesté et qui a le moins d’appuis se retrouve élu chef du parti, du jour au lendemain, alors que personne n’a confiance en lui, on croirait vivre, en regardant aller l’ADQ, une mauvaise aventure des Joyeux naufragés ou un remake du cirque du défunt Ralliement créditiste du Québec, mais en plus rapide.
Ce n’est pas pour rien que tout ce qui reste comme adéquiste, au Québec, rêve au couronnement rapide de Gérard Deltell. Mais, si même le charisme et la fougue de Gérard Deltell ne réussissent pas à relever l’ADQ, ce parti est condamné et ça ne servira plus à rien de s’acharner à le maintenir artificiellement en vie, le tout pour rien.
Pendant ce temps-là, chez les libéraux, Jean D’Amour est tellement empêtré dans ces histoires de dons politiques suspects et de sa corruptibilité compulsive qu’il en a été obligé de quitter le caucus de son parti, le temps que la Sûreté du Québec fasse son enquête sur tout ça. Au fait, quand Jean D'Amour nous parle de son intégrité, de quoi nous parle-t-il, exactement, hein?
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