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Pour une Commission d'enquête sur la DPJ!!!
Depuis le
documentaire de Paul Arcand qui s'intitule «Les voleurs d’enfance»
et qui est sorti, en 2005, les choses ont-elles évolué, au sein de
la DPJ??? Qui sait!!! À l’époque, le directeur de la DPJ au
Saguenay avait dit, grosso modo, qu’il valait mieux ne pas trop
parler de ces choses-là, car les gens pourraient perdre confiance,
dans le système, et faire moins de signalements!!! Il invitait même
les gens à «faire confiance au système», rapportait «Le
Devoir»!!!
C’est comme si le
fait d’avoir le mandat de protéger les enfants accordait, à la
DPJ, une aura de sainteté qui la mettait à l’abri de toutes
questions, sur la place publique!!! Or, il y a eu des enfants qui
sont morts, dans un centre jeunesse, tels Lauréalie, Anaïs et Loïc,
à Drummondville, Rébecca Lévesque, à Lévis!!!
Il y a eu des appels
à l’aide qui n'ont pas été entendus, tels ceux des filles Shafia
et des enfants qui ont été confiés, à Langis Malenfant, un
bourreau qui porte bien son nom!!! Il y a eu des décisions qui sont
insensées, pour le commun des mortels, mais pas pour les lologues
instruits de la DPJ, comme celle d'imposer, à une fillette, de
vivre, pendant une semaine sur deux, avec son agresseur sexuel, ou,
encore, celle de forcer une autre fillette à voir son père qui l’a
violée, pendant une fin de semaine sur deux!!! La liste est longue
et elle est, probablement, encore plus longue qu’on ne le croit,
car une enquête journalistique sur la DPJ est, à toutes les fins
qui sont pratiques, impossible à réaliser, à moins de pouvoir
l’infiltrer!!!
Certes, il doit y
avoir des erreurs, de la négligence et du travail qui est mal fait,
mais je veux croire que la DPJ ne retire pas des enfants à leur
famille, sans raison qui est valable!!! Le commérage de quartier ne
suffit pas, pour enlever un enfant à sa famille!!! Mais, comment
savoir où se situe la vérité??? Le parent qui est lésé raconte
son histoire, mais il n’y a personne, pour la confirmer, à moins
qu’on ne se retrouve, avec une cause au criminel!!!
J’ai appelé la
DPJ, sur-le-champ!!! Que s’est-il passé??? Rien du tout!!! J’ai
fini par savoir que l’enseignante de la fillette, qui est, aussi,
celle de ma fille, avait, aussi, signalé le cas et qu'elle s’était
fait dire que c’était culturel et qu’on ne s’en mêlait pas,
sans compter le fait que le père, un mafieux iranien et un caïd de
l’importation de l’héroïne, à Montréal, avait menacé tout le
monde, dans le dossier, avec un «Mêlez-vous de vos affaires ou il
pourrait vous arriver des malheurs!!!»!!!
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