dimanche 23 août 2009

Le gouvernement Desmardais (2e partie) : les alliances mondiales








Pour bien vous faire comprendre les dangers que nous courons avec le gouvernement mondial de Paul «Barrick Gold» Desmardais qu’est Power Corporation-La Paresse-GESCA, j’ai décidé de séparer les informations que je vais vous présenter en deux billets.

Mon dernier billet traitait de l’entente secrète de convergence qui existe entre Radio-Poubelle-Cadenas et Power Corporation-La Paresse-GESCA.


Mon billet d’aujourd’hui traitera des alliances que tissent Power Corporation-La Paresse-GESCA à travers le monde pour contrôler la politique internationale.

Alors, allons-y!

D’abord, allons à la source du problème et la source, c’est
le Groupe Carlyle!

Le Groupe Carlyle est une énorme
firme privée de capitaux d’investissement. Ils font des levées de fonds d’individus bien nantis, de citoyens corporatifs et de fonds de placement. Ils investissent ces sommes dans un marché parallèle à celui de la Bourse. Ce qu’ils font, c’est qu’il passent par-dessus l’intermédiaire. Ils achètent directement au propriétaire ou ils contrôlent les marchés. D’une façon ou d’une autre, ils contournent la Bourse!


Ils contrôlent, souvent, ce qu’ils achètent, ce qui veut dire que, à cause qu’ils sont privés et qu’ils contournent la Bourse, ils ne se conforment pas aux règles du marché ou du pays. Ils achètent la compagnie à une
fraction du prix réel, ils se retournent et ils vendent à gros prix avec des bénéfices énormes. En anglais, cette pratique s’appelle «the bailout practise». Tiens, tiens!

Le nombre connu d’
investisseurs en dépenses aéro-spatiales est, en fait, une liste très courte et c’est bien connu qu’en haut de la liste trône le Groupe Carlyle, situé à Washington D.C. et considéré comme étant le bailleur de fonds de la défense aéro-spatiale, depuis, déjà, plusieurs années. Carlyle engage des politiciens puissants, comme George Bush père et James Baker, et des experts en Défense, comme Frank Carlucci. Ils engagent, aussi, des hommes d’affaires provenant, majoritairement, de l’Ivy League et de partout à travers le monde, comme les Desmardais de Power Corporation-La Paresse-GESCA.


Typiquement américain, on assiste à la convergence de la Défense nationale, des grosses entreprises et de la politique et la
combinaison de ces 3 secteurs est quelque chose que plusieurs présidents américains ont dénoncé et, en particulier, le républicain Dwight Eisenhower, qui, lors de son discours d’adieux le 17 janvier 1961, a mis en garde le peuple américain contre le complexe industrio-militaire. Il voulait faire comprendre à son peuple qu’un groupe a bâti une méga-entreprise comprenant la défense militaire comme pierre angulaire pour influencer les politiques de guerre.


Voici un extrait du
discours de Eisenhower!





Nous vivons, aujourd'hui, dix ans après le milieu d'un siècle qui fut le témoin de quatre guerres majeures entre de grandes nations. Trois d'entre elles ont impliqué notre propre pays! En dépit de ces holocaustes, l'Amérique est, aujourd'hui, la nation la plus forte, la plus influente et la plus productive au monde. Si il est compréhensible que nous soyons fiers de cette prééminence, nous nous rendons, pourtant, compte que la première place et le prestige des États-Unis ne dépendent pas simplement de notre progrès matériel inégalé, de notre richesse et de notre force militaire, mais, aussi, de la façon dont nous employons notre puissance dans l'intérêt de la paix dans le monde et de l'amélioration de la condition humaine.

Au travers de l'aventure d'un gouvernement dans la liberté pour l'Amérique, nos buts premiers ont été de préserver la paix, de stimuler les progrès de la réalisation humaine et de faire grandir la liberté, la dignité et l'intégrité, parmi les peuples et les nations. Ne pas s'efforcer d'en faire autant serait indigne d'un peuple libre et religieux! Tout manquement dû à l'arrogance, au manque de compréhension ou de promptitude au sacrifice nous infligerait, d'ailleurs, un grave préjudice moral, ici comme à l'étranger.

[…]

Cette
conjonction d'une immense institution militaire et d'une grande industrie de l'armement est nouvelle, dans l'expérience américaine. Son influence totale, économique, politique, spirituelle même, est ressentie dans chaque ville, dans chaque parlement d'État et dans chaque bureau du gouvernement fédéral. Nous reconnaissons le besoin impératif de ce développement. Mais, nous ne devons pas manquer de comprendre ses graves implications. Notre labeur, nos ressources, nos gagne-pain, tous sont impliqués! Ainsi en va-t-il de la structure même de notre société!

Dans les assemblées du gouvernement, nous devons, donc, nous garder de toute influence injustifiée, qu'elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe industrio-militaire. Le risque potentiel d'une désastreuse ascension d'un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. Nous ne devrions jamais rien prendre pour argent comptant. Seule une communauté de citoyens prompts à la réaction et bien informés pourra imposer un véritable entrelacement de l'énorme machinerie industrielle et militaire de la défense avec nos méthodes et nos buts pacifiques, de telle sorte que la sécurité et la liberté puissent prospérer ensemble.






Les agences exécutives et les commissions donnent des contrats et des règlements au lobby. Le lobby fait des campagnes de contribution aux comités du Congrès. Les comités du Congrès donnent les budgets et les juridictions aux agences exécutives et aux commissions. C’est ça, le complexe industrio-militaire! C’est ça, le triangle de fer!


Rien ne représente mieux le complexe industrio-militaire que le Groupe Carlyle! Tout est rassemblé sous un même toit. Frank Carlucci, directement du
Pentagone, nommé Secrétaire à la Défense, prend sa retraite après Ronald Reagan et il commence à travailler pour Carlyle. C’est une nouvelle direction que prend le Groupe Carlyle. C’est la fin de la Guerre froide et tout ce qui est la propriété de la Défense dévalue. Personne n’est mieux placé que Carlucci pour le savoir! Le Groupe Carlyle venait de faire un 180° dans une autre direction et, même pas deux ans après, la Guerre du Golfe a commencé.

Tout le monde sait que la guerre est très profitable à la Défense américaine! Quand la guerre a commencé, tous les
achats faits à bas prix par Carlyle ont explosé. Ils ont fait des profits records.


Carlucci, sous Reagan, a fait passer des politiques qui, une fois rendu au privé, lui rendaient la vie plus facile. Depuis ce temps-là, Carlyle emploie des politiciens qui sont au fait des pratiques pour mieux contourner le système, que ce soit George Bush père, James Baker,
feu Richard Darman, Arthur Levitt, John Major, Karl Otto Pöhl, Fidel Ramos et….Paul «Barrick Gold» Desmardais, etc.

Ces hommes influencent, prédisent et contrôlent la politique et le marché pour mieux contrôler leurs propres finances. James Baker et
Colin Powell travaillaient dans l’administration républicaine. Les démocrates prennent le pouvoir, en 1992, et les républicains Baker et Powell vont travailler comme consultants pour la firme de Carlyle. Une fois que les républicains reprennent le pouvoir, en 2000, oups, c’est drôle, ces deux-là retournent à la Maison-Blanche! Méchant conflit d’intérêts!


C’est très difficille de savoir qui travaille pour le Groupe Carlyle. Certains sont payés de façon
ambiguë et d’autres ne sont pas sur le payroll. Du Groupe Carlyle, vous ne pouvez savoir, uniquement, ce qu’il veut que vous sachiez de lui! Si vous allez sur le site du Groupe Carlyle, vous n’y verrez jamais le nom de George Bush père. Pourtant, c’est le leveur de fonds principal de ce groupe. Israël et l’Arabie Saoudite l’adorent et, que ce soit au Moyen-Orient ou en Corée du Sud, il fait beaucoup plus que juste donner des conférences.

C’est l’un des plus grands conflits d’intérêts de l’Histoire : papa travaille à tout acheter et
junior, lui, s’amuse à tout dévaluer! C’est dégueulasse! En 1997, le Groupe Carlyle a acheté United Defense, le plus gros fournisseur d’armes de défense. Tout à coup, au Congrès, on légifère sur l’autorisation du budget de la Défense. Du jamais vu! 400 millions $! Pourtant, avant le 11 septembre 2001, où était tout cet argent-là, hein? Chaque Américain serait millionnaire. Pensez-y deux p’tites secondes, il en resterait, en plus de ça, alors que la guerre en Irak coûte plus de 455 milliards $ par année!

Drôle de coïncidence, aussi, le 11 septembre 2001, tout
l’état-major du Groupe Carlyle (Bush père, Baker, Carlucci, etc.) était réuni avec Shafiq Ben Laden, le représentant de la famille Ben Laden (oui, oui!) et le demi-frère de l’autre, à Washington, dans un hôtel, pour regarder ce qui allait se produire! Quelles sont les chances pour que tous ceux qui sont touchés directement, d’une manière ou d’une autre, soient réunis, à ce moment précis, hein? Par conséquent, je déclare le Groupe Carlyle comme étant le seul groupe terroriste qui sévit en Occident. Ainsi, il doit être démantelé, désarmé et détruit, comme tous les autres groupes terroristes du monde, pour le bien de l’Humanité.


Une autre coïncidence : les Ben Laden avaient des liens économiques avec le Groupe Carlyle! 590 millions $ ont été investis dans
Citigroup par les Saoudiens, par l’entremise du Groupe Carlyle. Ça doit être ça, payer une protection!

Ça nous touche de plus près que vous pensez. Beaucoup plus près, même!

Paul «Barrick Gold» Desmardais siège au Comité
consultatif du Groupe Carlyle. Paul «Barrick Gold» Desmardais et Power Corporation-La Paresse-GESCA possèdent 15% du Groupe Bruxelles-Lambert (le GBL), qui possède 25% des industries allemandes de médias Bertelsmann. Le GBL possède, aussi, 3,7% de Total, l’industrie pétrolière française.


En 1974, Paul «Barrick Gold» Desmardais a nommé
Paul Martin comme président d’une sous-division de Power Corporation-La Paresse-GESCA : la Canada Steamship Lines (la CSL)! En 1981, Desmardais a vendu la CSL à Laurence Pathy et à Paul Martin, lui, qui allait, par un drôle de hasard, devenir premier ministre du Canada.

Desmardais est un opposant vicieux à
l’indépendance du Québec. Il a deux garçons : Paul junior et André! André, par un drôle de hasard, est marié à la fille de l’ancien premier ministre du Canada, Jean Chrétien. Elle s’appelle France.


Quand Paul senior
pend la crémaillère à son humble demeure du domicile de Sagard de 75 km² près de La Malbaie, il figure des anciens présidents américains, comme George Bush père et Bill Clinton, de même que des anciens politiciens canadiens : Jean Chrétien, Paul Martin, Lucien Bouchard, Martin Cauchon, etc.! Bonne chance, si vous n’êtes pas invité! Il y a trois barrières qui sont gardées 24 heures sur 24 et, si jamais vous réussissez à tromper les gardes, 10 km vous séparent de la maison. Sur cette distance, vous risquez de rencontrer des équipes de la GRC ou du FBI (oui, oui, le FBI au Canada!) qui quadrillent les lieux.

Venez me dire, maintenant, que vos votes ont de la valeur! Venez me dire que vous n’êtes pas manipulés! Je suis
Bush-bée! Ne venez pas me dire que vous n’allez pas réagir!

Quand on sait que c’est le même Paul «Barrick Gold» Desmardais qui a forcé
John-James Charogne à démissionner comme chef du Parti progressiste-conservateur du Canada pour venir prendre la tête du Parti des guidounes charognardes soi-disant libérales du Culbec! On comprend, maintenant, pourquoi Pierre Paradis, Marc Bellemare et Yves Séguin ne pèsaient pas lourds dans la balance, eux qui sont de vrais amoureux du Québec, de la même façon que Thomas Mulcair ne pèsait pas lourd dans la balance, lui non plus, lui qui était contre des projets, comme les ports méthaniers, le Suroît ou la privatisation pleine et totale du Mont-Orford.


Les ports méthaniers, c’est le comble de la stupidité, que ce soit
le port de Gros-Cacouna ou celui de Rabaska, c’est de la marde! Le Mont-Orford, c’est important, mais c’est de la poudre aux yeux! Il bouge une main, pendant que vous regardez la main bouger, l’autre main s’active!

Faut-il que je vous rappelle, également, que c’est le
financier canadien, Paul «Barrick Gold» Desmardais qui, avec son bon ami le belge, Albert Frère, contrôle la compagnie Suez, par l’entremise du Groupe Bruxelles-Lambert? Les deux hommes contrôlent, maintenant, Suez-Gaz de France, le deuxième plus grand distributeur de gaz européen. Comprenez-vous, maintenant, pourquoi Charogne est là et pourquoi il pousse les ports méthaniers et les PPP et qu’il poussait le Suroît et la privatisation pleine et totale du Mont-Orford, hein? Peu importe nos opinions politiques, quand on sait tout ça et quand on sait de qui ils viennent et par qui ils sont pensés et élaborés, ces quatre projets-là deviennent tout à fait inacceptables, à moins que vous vouliez faire les frais du Nouvel Ordre mondial que Desmardais est chargé de créer.

Power Corporation-La Paresse-GESCA, l’entreprise du pouvoir et le gouvernement mondial non-élu, celui que l’on ne peut pas élire et que l’on ne pourra jamais élire, a, également, des liens avec
l’ONU et avec la guerre en Irak, c’est pour ça que le Canada est en Afghanistan!


Power Corporation-La Paresse-GESCA est propriétaire oui, de
La Paresse, mais, également, du Soleil, du Quotidien, du Droit, de La Tribune, du Nouvelliste, avec une participation dans le journal Métro. Power Corporation-La Paresse-GESCA et Radio-Poubelle-Cadenas ont, également, une entente secrète de convergence, de là l’appui inconditionnel au monarcho-fédérasme et à la guerre!


Venez me dire le contraire, maintenant! Nos soldats ne vont pas risquer leurs vies en Afghanistan pour défendre la paix. Ils s’en vont, tout simplement, sans le savoir, défendre les intérêts de Bush et de Desmardais!

Les augmentations
d’Hydro-Québec! Le moteur-roue qui reste sur les tablettes! Desmardais vise la privatisation pleine et totale d’Hydro-Québec pour pouvoir, enfin, mettre la main dessus! C’est la même chose pour la privatisation pleine et totale du système de santé, un autre de ses objectifs secrets! Il n’attend rien que ça pour pouvoir, enfin, mettre la main sur notre système de santé. Après les assurances-vie, c’est étendue à l’assurance-santé, ce qui rend, pour le moment, ces deux projets-là tous aussi inacceptables que les quatre autres projets que j’ai nommé plus haut!

Tout est pensé!

Réveillez!

Source :
ici

Ça doit être ça, le Nouvel Ordre mondial annoncé par George Bush père, lors de la chute du
communisme!

Il faut se servir de l’État pour écraser et contre-carrer les plans
machiavéliques de Desmardais, de Bush, de Ben Laden, de Power-Corporation-La Paresse-GESCA et du Groupe Carlyle. Ces gens doivent, donc, être arrêtés, désarmés et jugés pour leurs actions. Leurs activités terroristes doivent être démantelées et stoppées. Ils doivent, aussi, être retrouvés morts ou vifs.

Une fois que nous nous serons libérés de ce
mal, nous ferons sa fête à John-James Charogne, nous élirons le PQ et nous ferons le référendum qui nous donnera, enfin, notre pays du Québec.


Finalement, nous réduirons la taille de l’État jusqu’à
son rôle minimal. C’est le plan de match que les libertariens et les anarchistes devraient, collectivement, se donner, au Québec, pour les prochaines années, car aucun libertarien et aucun anarchiste ne devrait vouloir remplacer la coercition de l’État par encore pire : la coercition de l’État Desmardais et du Groupe Carlyle!

Maintenant que vous savez que le système est
corrompu jusqu’à la moelle de l’os et qu’il travaille contre nous, je vous invite à écrire à l’Opposition officielle péquiste, de même qu’aux quatre candidats à la course à la chefferie de l’Action démocratique du Québec (Éric Caire, Christian Lévesque, Gilles Taillon et Jean-François Plante) et au député «solidaire» (sic) de Mercier, Amir Khadir, afin de les questionner sur les mesures qu’ils prendraient pour nous libérer de ce mal qui nous afflige et qui veut notre peau.

Pour combattre les ignobles
desseins de Desmardais et de son gouvernement mondial non-élu associé au groupe terroriste Carlyle et représenté par John-James Charogne et ses soi-disant libéraux et en venir à bout, nous avons besoin d’unir les forces péquistes, adéquistes, «solidaires» (re-sic), vertes et «piistes».

C’est une guerre et nous devons la gagner pour notre liberté. Il en va de la survie de notre nation. Le président Eisenhower aurait voulu que nous nous tenions debout et que nous soyions
solidaires avec son peuple, la victime des activités de Desmardais et du groupe terroriste Carlyle.



Lire aussi sur ce blogue



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire