lundi 17 août 2009

Le gouvernement Desmardais (1er partie) : l'entente secrète avec Radio-Poubelle-Cadenas (et toute la corruption qui vient avec ça)







Pour bien vous faire comprendre les dangers que nous courons avec le gouvernement mondial de Paul «Barrick Gold» Desmardais qu’est Power Corporation-La Paresse-GESCA, j’ai décidé de séparer les informations que je vais vous présenter en deux billets.


Le billet d’aujourd’hui rééditera la deuxième partie du billet que j’avais publié le 5 avril 2009 et qui s’intitulait «
Les dessous de Radio-Poubelle-Cadenas» et qui traitait de l’entente secrète de convergence entre Radio-Poubelle-Cadenas et Power Corporation-La Paresse-GESCA. Bien sûr, je vous invite à lire ou à relire, si vous le désirez, la première partie de ce même billet où je traitais du biais gau-gauchiste étatiste de la télévision d’État.


Le billet de demain couvrira les alliances que tissent Power Corporation-La Paresse-GESCA à travers le monde pour contrôler la politique internationale.

Alors, allons-y, d’abord, avec la version rééditée de cette enquête sur l’entente secrète de convergence qui existe entre Power-Corporation-La Paresse-GESCA et Radio-Poubelle-Cadenas avec quelques nouveaux éléments!




Deuxième partie du billet «Les dessous de Radio-Poubelle-Cadenas», écrit le 5 avril 2009 sur Le Québec de demain (version rééditée avec quelques modifications)



Quoi? Vous ignoriez que Power Corporation-La Paresse-GESCA et Radio-Poubelle-Cadenas ont une entente secrète de convergence? Ben, voyons donc! Au tournant des années 2000, GESCA, un groupe de presse très important au Québec, représente, environ, 50% de la presse écrite et l’autre 50%, c’est Quebecor. Ils étaient engagé dans une lutte à finir, un combat de titans qui s’imposait, donc, entre ces deux-là, mais Quebecor avait un avantage indu sur GESCA, car Quebecor possède TVA, donc Pierre-Karl Péladeau est capable de combiner presse écrite et presse télévisée. GESCA s’est demandé comment il pouvait faire pour combler ce déficit-là par rapport à Quebecor, alors ils se sont dits qu’ils avaient suffisamment de bons chums à Radio-Poubelle-Cadenas pour faire la sale job à leur place. Cette station de télévision-là étant noyautée par les libéraux et toute leur gang est là, ils se sont, donc, entendus pour partager leurs ressources.


En 2001, Power Corporation-La Paresse-GESCA et Radio-Poubelle-Cadenas ont signé une entente secrète de convergence. En 2006, quand les conservateurs de Stephen Harper sont arrivés au pouvoir, ils voulaient montrer qu’ils étaient un gouvernement propre, comparativement aux crosseurs de libéraux de Jean Chrétien et de Paul Martin qui avaient trempé jusqu’au cou dans le scandale des commandites. Ils ont, donc, soumis Radio-Poubelle-Cadenas à la Loi sur l’accès à l’information. Le lendemain où il a su que les conservateurs soumettaient Radio-Poubelle-Cadenas à la Loi sur l’accès à l’information, le rédacteur en chef du journal Le Québécois, Patrick Bourgeois, a fait les démarches pour avoir l’entente secrète entre GESCA et Radio-Poubelle-Cadenas, entente qui permettrait le partage de ressources entre les deux signataires. Radio-Poubelle-Cadenas permettrait, alors, à des chroniqueurs de La Paresse, comme Vincent Marde-Sale et André Prout, d’aller faire leur tour sur les ondes publiques pour vendre leurs salades monarcho-fédérastes et gau-gauchistes étatistes, en plus de continuer à l’écrire dans La Paresse.

La première chose que Patrick Bourgeois se fait dire par Radio-Poubelle-Cadenas est qu’elle a perdu cette entente-là. Bourgeois n’en revient pas et avec raison, comme si on pouvait perdre un contrat, qui est une entente secrète, liant une société d’État avec l’une des, sinon la, plus grosses entreprises privées du Québec, entreprise qui, de surcroît, est liée à l’Empire Desmardais. C’est impossible! La madame qui a parlé à Bourgeois a dit qu’ils chercheraient l’entente secrète, à condition qu’il paie 350$, tout ça pour chercher un putain de document.


La demande de Bourgeois a, ensuite, été acheminée à GESCA et elle était rendue entre les mains de leurs
avocats, donc c’est le privé qui déciderait ce que le public allait rendre public. Ce n’est quand même pas ordinaire qu’une société d’État signe une entente secrète avec une compagnie privée pour partager les ondes. La madame a rappelé Bourgeois pour lui demander quel document il voulait, car il y en avait 2 qui liaient GESCA et Radio-Poubelle-Cadenas. Ils ont signé 2 ententes secrètes, la première, c’est janvier 2001 et la deuxième, c’est août 2001. Il y a, donc, des ramifications très importantes entre les deux signataires, car dans les ententes, c’est écrit noir sur blanc que Radio-Poubelle-Cadenas et Power Corporation-La Paresse-GESCA partagent des objectifs communs et, donc, qu’ils allaient mettre leurs ressources en commun pour mieux atteindre ces objectifs-là.

Tout ça serait dans la limite de l’acceptable, si il n’y avait pas d’autres choses qui se cacheraient en dessous. Je vais vous parler du dossier que Patrick Bourgeois avait fait sur Radio-Poubelle-Cadenas en 2006. Je vais vous parler des administrateurs de cette station de télévision-là. Vous allez pouvoir constater par vous-mêmes qu’ils sont de bien curieux personnages.

À l’époque, le
Conseil d’administration de la société d’État était dirigé par nul autre que Robert Rabinovitch, une créature de la famille Bronfman. Il a travaillé pour Claridge Inc. et le Groupe Dassault est là-dedans aussi.

Tout est organisé pour qu’on ne comprennent pas. Quand Rabinovitch a été nommé à la tête de Radio-Poubelle-Cadenas,
Pierre Falardeau a été le seul à écrire un article sur le vrai visage de ce type. Aucun journaliste n’a écrit là-dessus! Rabinovitch était, oui président de Radio-Poubelle-Cadenas, mais il était, aussi, trésorier de la Fondation Bronfman. C’est lui qui blanchissait l’argent sale des commandites qui passaient par Bronfman et à ses amis. C’est une ordure, ostie. La télé et tous les osties de médias sont contre nous, alors ils ne nous montrent jamais rien.

À l’époque, Patrick Bourgeois parlait de
Kouldid Rai Sahi, un Indien d’Inde et un ancien membre du Conseil de l’unité canadienne. Ce gars-là s’est mis tellement riche qu’au début des années 2000, il valait, approximativement, 2 milliards $. Comment s’est-il mis riche de même? Parce que Paul Martin lui a vendu à rabais le transporteur Kingsway! Étant donné que Paul Martin lui a permis de devenir riche, il y a toujours des retours d’ascenseur. Quand Paul Martin a voulu devenir le chef du Parti libéral du Canada, il fallait bien que monsieur Rai Sahi l’encourage. Il a, donc, donné 86 260,21$ à la caisse électorale de Paul Martin. Mais, le plus intéressant de tout, c’est que Kouldid Rai Sahi, dont je vous rappelle qu’il est administrateur pour Radio-Poubelle-Cadenas et qu’il siège, donc, sur le Conseil d’administration de la société d’État, fait, également, dans l’immobilier, car il n’est pas assez riche à son goût. Ben, vous saurez que c’est lui qui possède les locaux où est situé Radio-Poubelle-Cadenas/CBC à Ottawa.

Sur le Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas, il y a, aussi, une dénommée Johanne Brunet. Elle possède des compagnies comme Distraction Format, VivaVision Inc., DDI Télévision, etc., où elle est actionnaire. Ces compagnies-là produisent des émissions de télévision comme Watatatow, Un gars, une fille et Tout le monde en parle. Madame Brunet est actionnaire avec François Macerola, un libéral notoire et l’époux de Suzanne Lévesque, qui a eu la chance de se faire prendre en photo avec notre bon premier ministre, John-James Charogne. Macerola est le même salopard et maître de la censure qui bloquait le projet du film «15 février 1839» de Pierre Falardeau, quand il était à Téléfilm Canada. Méchant conflit d’intérêts!


Sur le Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas, il y a, aussi, une dénommée Yasmin Jivraj. Elle a financé la campagne électorale de Paul Martin en 2004. Elle a une compagnie qui s’appelle Acrodex, une compagnie qui fait dans les systèmes de gestion informatique et qui en fournissait, entre autres, à la Défense nationale, ce qui commence à devenir très payant. Madame Jivraj faisait, aussi, des affaires avec CrimsonLogic, une compagnie d’Asie. Parmi les partenaires de cette compagnie, on retrouve la CITIC Industrial Bank. La CITIC est le diminutif de China International Trust and Investment Corporation. Ça fait dans le trafic d’armes. Ça a été fondé dans les années 1970 sous le gouvernement communiste chinois de Deng Xiaoping et ça collabore de près avec….Power Corporation-La Paresse-GESCA. Hé oui! André Desmardais, le fils de Paul «Barrick Gold» Desmardais, siège sur la CITIC Pacific. Il s’agit du même André Desmardais, qui, par un drôle de hasard, est marié avec France Chrétien, la fille de Jean Chrétien. Sur la CITIC Total, on retrouve Brian Mulroney. Il siège là, le tabarnac. Méchant copinage!

Sur le Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas, on retrouve, aussi, une dénommée Trina McQueen, le réseau monarcho-fédéraste à son meilleur. Elle est impliquée, principalement, à la Fondation Historica qui est, généreusement, financée par la Fondation Bronfman. Qu’est-ce que c’est que cette fondation-là? Hé bien, c’est elle qui finançait et qui faisait produire….Les Minutes du Patrimoine que diffusait Radio-Poubelle-Cadenas dans les années 1990.


Sur le Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas, on retrouve, aussi, Peter Herrndorf ou comment acheter le vote des Québécois(es)? Il siège sur la Fondation Hnatyshyn, une fondation qui fait de la p’tite propagande de bas étage, un peu comme en fait la Fondation Historica. Sur le Conseil d’administration de la Fondation Hnatyshyn, on retrouve Brian Mulroney, Joe Clark, John Turner, Ed Broadbent, Michael H. Wilson, feu Antonio Lamer, Kim Campbell et Don Mazankowski.


Le pire dans le Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas, c’est que ça concerne Robert Rabinovitch et lui, c’est Claridge Inc., soit la fiducie de la famille Bronfman. Claridge Inc. a des parts dans Koor, une compagnie israélienne, dans Tadiran Communications, dans Elbit Systems, etc. Ces compagnies-là font dans le militaire, la Défense nationale et le matériel de surveillance et d’espionnage.

Céline Galipeau : Mesdames et messieurs, bonsoir! Fini la non-ingérence et non-indifférence! Le président français, Nicolas Sarkozy, a redéfini les relations de son pays avec le Canada et le Québec dans un discours où il a marqué sa préférence pour un Canada-uni. Le président français remettait l’insigne de Commandeur de la Légion d’honneur au premier ministre Jean Charest. Maxence Bilodeau!


Reportage de Maxence Bilodeau : Cette cérémonie est particulière. Bien sûr, toute la famille immédiate de Jean Charest est présente, mais il y a, aussi, un membre très important de la famille
spirituelle de Nicolas Sarkozy : Paul Desmarais, grand patron de Power Corporation, grand fédéraliste canadien, qui est devenu le mentor de Nicolas Sarkozy et à qui le président avait remis, en février, la plus haute distinction française, la Grand-Croix de la Légion d’honneur.


Céline Galipeau : Les réactions ont vite fusées à Québec, de la part du
Parti québécois et du mouvement souverainiste. Pierre Duchesne, ces propos de Nicolas Sarkozy, est-ce qu’il marquent la fin de l’héritage du général Charles de Gaulle?


Pierre Duchesne : Oui, Céline, et on est bien loin du «
Vive le Québec libre!» du général de Gaulle en juillet 1967! Ça, ça inaugurait une nouvelle politique de relations privilégiées entre le Québec et la France. Hé bien, aujourd’hui, en tout cas, à l’endroit des souverainistes, le président français les associe à des gens sectaires et agressifs!


Reportage de Pierre Duchesne : Selon
Gérald Larose, le président Sarkozy veut liquider l’héritage du général de Gaulle.

Général de Gaulle : Vive Montréal! Vive le Québec! Vive le Québec libre!

Sur le Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas, on retrouve aussi une dénommée
Nezhat Khosrowshahi (tabarnac de nom bâtard!), une multimillionnaire. Avec son mari, Hassan Khosrowshahi, elle posséde la Inwest Investment, une compagnie qui obtient de juteux contrats de la Défense nationale, et ça, ça donne de l’argent aux libéraux, ça, mes amis. Ça finance la caisse libérale aller-retour. Mais là, ce qu’il faut surtout savoir, c’est que le nom de jeune fille de la bonne femme, c’est Nezhat Mottaghi Irvani. Son père, Rahim Mottaghi Irvani, était un Iranien et il a été mêlé de près dans l’Irangate. Qu’est-ce que l’Irangate? Quand l’ayatollah Khomeiny est arrivé au pouvoir là-bas avec la Révolution islamique, ils ont enlevé des membres de l’ambassade américaine en Iran et ils ont essayé d’échanger les otages pour des armes venant d’Amérique du Sud. Les profits de cette vente d’armes sont allés aux Contras, des guerilleros engagés dans une lutte anti-communiste contre le régime sandiniste du Nicaragua.


Le bonhomme Irvani, dont je vous rappelle qu’il est le père de la madame qui siège sur le Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas, avait ses propres compagnies en Iran et elle a travaillé là quand elle était jeune. Elle faisait fonctionner ces compagnies qui étaient au coeur de ces affaires-là, soit l’Irangate, mais aussi l’affaire de
la Bank of Credit and Commerce International (la BCCI), une banque du tiers-monde pour le monde arabe qui a été fondée par un de ses amis personnels, Agha Hasan Abedi, et qui a fait l’une des plus grandes faillites de l’Histoire de l’Humanité. Le bonhomme Irvani était au coeur de cette affaire-là, car il dirigeait la filiale iranienne de la BCCI, peu après sa fondation.


Cette histoire a été qualifiée par le journaliste français
Éric Laurent dans Le Figaro le 17 août 1991 comme étant le plus grand scandale financier de toute l’Histoire de l’Humanité et il a même parlé de la BCCI comme étant la plus grande entreprise CRIMINELLE de toute l’Histoire moderne. La BCCI a été impliquée dans le trafic d’armes, la vente de drogues, le blanchiment d’argent, l’extorsion, la prostitution, la fraude et le financement d’organisations terroristes islamistes. Le but de la BCCI dans cette histoire était de faire mal à l’Occident pour permettre au tiers-monde de prendre sa revanche en se dotant et en dotant l’Iran de…..la bombe atomique, d’où les reportages de cul de Radio-Poubelle-Cadenas en faveur du programme nucléaire iranien et son biais pro-Hamas et pro-Hezbollah. La BCCI fournissait l’argent pour financer les armes nucléaires en Iran. La BCCI a même fait une alliance avec la CITIC, le groupe chinois de traficants d’armes qui collabore de près avec Power Corporation-La Paresse-GESCA dont je parlais plus haut. Avec cette alliance-là, ils sont en train de faire entrer les Wal-Mart en Chine.

Le sénateur américain John Kerry a, d’ailleurs, déjà dit que le KKKanada était très proche de l’Iran et que le KKKanada avait fournit du matériel à l’Iran pour permettre au pays de Mahmoud Ahmadinejad, l’un des plus grands dangers de l’Occident, d’avoir la bombe atomique. Attention, là! Ce n’est pas le méchant républicain George W. Bush qui a dit ça, mais bien John Kerry, l’adversaire démocrate de Bush aux élections présidentielles américaines de 2004. Le KKKanada est donc un État terroriste qui est protégé par Radio-Poubelle-Cadenas et par Power Corporation-La Paresse-GESCA.


Très proches des Services secrets américains, Rahim Mottaghi Irvani a, d’ailleurs, financé la campagne électorale de George Bush père en 1988 et il a participé à de nombreuses opérations bancaires avec l’ancien président de la CIA, feu Richard Helms. Ils ont, d’ailleurs, déjà travaillé de façon serrée ensemble. Helms a fondé, dans les années 1970, une compagnie du nom de Safeer. En passant, Irvani et Helms, c’est du beau monde en christie ça, là! Richard Helms a travaillé avec les États-Unis pour placer….Augusto Pinochet à la tête du régime du Chili en 1973 et, ainsi, renverser le régime de Salvador Allende.

Comme quoi, Paul Martin a toujours la main heureuse, lorsqu’il fait des nominations! Patrick Bourgeois, dans son dossier, nous fait le portrait de cette jolie famille Irvani impliquée dans
le trafic d’influence et le banditisme planétaire. Mais, ce qui nous intéresse, c’est le présent! Même en supposant que Nezhat Irvani n’est pas comme son père, et ce, même si elle a administré plusieurs de ses compagnies, il faut se poser la question suivante : comment est-ce que la filière iranienne de la BCCI se retrouve à être dans le plus proche cercle du pouvoir libéral et qu’elle se retrouve, ainsi, à être liée au clan Martin, hein? C’est vrai qu’on devrait, maintenant, plutôt dire «liée au réseau de l’armement».


Si on exclut le petit gratin et
Guy Fournier, placés là pour faire zartisss, on se rend compte que tout le Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas est bien intéressant à étudier pour voir comment fonctionne la racaille des milieux de l’armement.


Si on remonte la filière Irvani, on retrouve la CITIC qui a été associée à la crapuleuse banque BCCI et à Paul «Barrick Gold» Desmardais, le diable en personne qui a mis au monde Paul Martin, en lui refilant la compagnie maritime
Canada Steamship Lines (la CSL). La CSL a fait de bonnes affaires avec la CITIC et, même, avec la BCCI, qui avait, elle-même, sa propre flotte de navires pour son trafic illicite.

Il faut croire que les liens étaient solides, puisque c’est Paul Martin lui-même qui a nommé la fille d’Irvani au Conseil d’administration de Radio-Poubelle-Cadenas. Voilà, une belle
boucle de bouclée! Mais, combien de questions surgissent, maintenant, hein? Combien de créatures de la CIA gravitent autour de Paul Martin, maintenant, hein?

De plus, tous ces représentants de l’armement, comment sont-ils devenus si amis avec les hauts dirigeants du Parti libéral du Canada, hein? Comment expliquer que l’ancien président de Radio-Poubelle-Cadenas, Robert Rabinovich, soit associé, si étroitement, au groupe Claridge, qui possède, en Israël, des entreprises de
matériel militaire de haute technologie, hein?


Je suppose que c’est, également, un hasard que
Bernd Christmas, l’Amérindien de service sur le Conseil d’administration, soit, en même temps, un lobbyiste pour Lockheed Martin, l’un des principaux fournisseurs de l’armée américaine.

C’est vraiment étonnant de voir toute cette brochette de combinards qui, soudain, se retrouvent à diriger la télévision de
Bobino. On savait, surtout depuis le scandale des commandites, que les libéraux étaient une sorte de club détrousseurs de fonds publics, mais là, ce qu’on voit, c’est que, autour de Paul Martin et de Jean Chrétien, c’est un pouvoir planétaire qui s’incruste dans nos vies. C’est un pouvoir puissant qui est appuyé par des réseaux étatiques clandestins et qui forme une confrérie solidement liée. Le lien, ce sont les armes et le trafic maritime clandestin et ce que Radio-Poubelle-Cadenas vient faire là-dedans, c’est produire une vitrine de ce pouvoir-là, où, gonflés d’orgueil, les nouveaux oligarques, arrogants jusqu’à la bêtise, se dévoilent enfin, se croyant invincibles!

Dis-moi qui te finance et je te dirai quels intérêts tu sers!

Dites-moi donc, à quand
une enquête à la Gomery sur les administrateurs de Radio-Poubelle-Cadenas et sur les activités de Power Corporation-La Paresse-GESCA et de la Canada Steamship Lines, hein? Ah oui, j’oubliais que le gouvernement canadien fait avorter de telles enquêtes!

C’est triste, parce qu’il y en aurait, sûrement, bien plus à découvrir que ce que Patrick Bourgeois a pu faire, mais le système médiatique du KKKanada est tellement pourri qu’il n’y a absolument personne qui fouille ces affaires-là.

Toutes ces informations ont été prises ici, ici et ici!

Décidemment, le Québec est prisonnier dans une cage dorée et il est entouré de criminels médiatiques qui veulent sa peau.



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1 commentaire:

  1. Bon travail! Si les journaux en amérique du nord tombe les uns après les autres c'est parce qu'ils ne font plus ce genre de travail d'enquête.

    Les journalistes sont aujourd'hui à la solde des Desmarais de ce monde.

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