jeudi 3 décembre 2009

Climategate : la whistleblower Nathalie Elgrably continue de briser l'omerta médiatique autour de ce gigantesque scandale...et nous parle de l'avenir











Voilà, maintenant, deux semaines qu'un séisme de forte magnitude a secoué la science du climat! Récapitulons les faits : plus de 1000 courriels, ainsi que des documents et des modèles informatiques du Climate Research Unit (CRU) ont été rendus publics! On a, d'abord, pensé que l'information avait été piratée, mais il semble plus probable qu'il s'agisse de fuites intentionnelles de la part d'un membre du CRU. Ces courriels, dont l'authenticité a été confirmée par leurs auteurs, ont révélé que les données, qui ont permis la rédaction de rapports alarmistes, étaient falsifiées, de manière à cacher l'absence de réchauffement climatique, depuis, bientôt, 15 ans. Le réchauffement anthropogénique ne serait, donc, qu'une vile supercherie! Non seulement, l'Homme ne serait-il pas coupable, mais il n'y aurait même pas de réchauffement!


La
nouvelle aurait été insignifiante, si il s'agissait d'affirmations sans fondements de quelques éco-sceptiques vindicatifs. Mais, ce n'est pas le cas. Il s'agit, plutôt, d'aveux signés de la main des grands prêtres réchauffistes, parmi lesquels figurent Phil Jones, le directeur du CRU, et Michael Mann, l'auteur de la fameuse courbe en «bâton de hockey», deux chercheurs extrêmement influents auprès du GIEC. Ainsi, les rapports à saveur apocalyptique du GIEC seraient basés sur des données savamment corrompues et sur une obsession non-fondée du CO2. Or, c'est en fonction de ces mêmes rapports que de nombreux gouvernements ont ratifié le Protocole de Kyoto, adopté une multitude de programmes coûteux, accru la réglementation, subventionné la production d'éthanol, introduit des écotaxes, mis sur pied des Bourses du carbone, construit des parcs d'éoliennes, etc.! Partout dans le monde, des centaines de milliards de dollars ont été dépensés, parce qu'on a fait confiance aux scientifiques du CRU. Si Bernard Madoff a écopé de 150 ans de prison, quelle peine méritent les instigateurs de la cabale climatique?


Mais,
ressasser le passé est stérile! Tournons-nous vers l'avenir! Cent soixante-dix chefs d'État s'envoleront, bientôt, vers Copenhague, afin de ratifier un traité sur le climat. Or, nos élus sont peu bavards sur le contenu du document de 181 pages, dont les enjeux sont pourtant majeurs et sans précédent. Lord Christopher Monckton, ancien conseiller du gouvernement de Margaret Thatcher, prétend qu'on y discutera de la constitution d'un gouvernement «transnational» non-élu qui serait, irrévocablement, investi de pouvoirs extraordinaires en matière fiscale, financière, économique et environnementale. Espérons qu'il se trompe, car, si il dit vrai, nous devrons sacrifier des libertés, renoncer à la démocratie pour laquelle nos ancêtres se sont tant battus et accepter le mode de vie que nous imposera la nouvelle gouvernance mondiale!


Or, le
Traité de Copenhague est influencé par les recommandations des scientifiques visés par le scandale. Les bases de l'édifice climato-catastrophiste s'effondrent et on s'apprête à bouleverser nos vies, au nom d'un réchauffement fictif. N'est-ce pas invraisemblable, voire même, carrément, démentiel? Ces chefs d'État se fichent-ils complètement de savoir que le réchauffement est une arnaque? N'y en a-t-il pas un seul avec suffisamment de leadership pour réclamer que la lumière soit faite sur le Climategate, avant d'aller à Copenhague?


Évidemment, l'
idéologie peut détrôner la science et on peut choisir de croire avec ferveur au réchauffement anthropogénique. Après tout, chacun est libre de croire en ce qu'il veut! Mais, si la science est évincée, pourquoi est-ce que les discours des gourous réchauffistes seraient-ils plus crédibles que les prophéties du mouvement raëlien ou des scientologues? Les gouvernements n'ont jamais signé de traité en fonction des élucubrations d'une secte quelconque. Alors, pourquoi la politique accorde-t-elle tant d'importance à l'Évangile de l'éco-Armageddon?




Maintenant,
le scandale atteint même la NASA qui aurait, tout comme le CRU, refusé d’émettre des données de recherches sujettes à la Loi sur l’accès à l’information. Hé oui, la NASA aurait, elle-aussi, manipulé des données pour aggraver la situation! Mais, le pire dans tout ça, c’est que, comme si ce n’était pas déjà assez, la NASA aurait manipulé les données pour faire en sorte que 1998 soit l’année la plus chaude et non pas 1934, comme ce serait supposé, en réalité, être le cas.

Ce n’est vraiment pas rien! Décidemment, une
Commission d’enquête publique et indépendante s’impose pour faire toute la lumière sur ce scandale planétaire et historique absolument dégueulasse qui entache, sérieusement, la crédibilité de la science, alors que le Climategate n'est pas de la science, mais, bel et bien, de la fraude et du magouillage. Ce sont toutes les manières de faire de la secte environnementeuse (qui n’a rien de scientifique) qui sont exposées au grand jour.

2 commentaires:

  1. Copenhague : Annulons le sommet de la dépopulation !

    Par Helga Zepp LaRouche

    Appel envoyé par David C. – david.cabas.over-blog.fr

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  2. On résume très bien le climategate à l'émission La semaine verte version radio de Radio-Canada. Il y a des chroniqueurs qui en parlent!

    Dommages pour vous, on y conclut que le climategate n'est que propagande.

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