jeudi 15 octobre 2009

Les médias et les fémi-fascistes ont bien du temps à perdre, ces temps-ci!







C’est vraiment incroyable comment les médias et certains lobbys de groupes sôôôciaux de Mouyial peuvent nous faire perdre du temps pour pas grand-chose, ces temps-ci.

La semaine dernière,
Hugo Dumas, journaleux zartissstique à La Paresse, a revélé le nom d’un blogueur anonyme qui fait une meilleure job que lui dans la critique des zartisss. Le blogueur en question est le gars qui se cache derrière le masque de La Clique du Plateau. Avant que Hugo Dumas ne manque à toutes les règles élémentaires d’éthique journalistique en dévoilant le nom d’un simple blogueur qui ne voulait que bloguer en paix, Marc Cassivi avait parti le bal en renchérissant à un article ultra-baveux de Patrick Lagarce, lui qui est tant omnubilé par la fameuse Clique du Plateau. La Paresse a même poussé l’odieux à publier l’adresse civique du blogueur de La Clique du Plateau dans le format-papier de son édition du 6 octobre dernier.


Marc Cassivi, le
Vincent Gratte-Noune du journalisme, ce gau-gauchiste élitiste qui pense que le bon peuple doit être au service des journalisss et des zartisss!!!! Lui et Hugo Dumas peuvent bien chialer après quelqu’un qui fait une meilleure job qu'eux et que leurs comparses (Marc-André «les zartisss ont tous les droits, même les zartisss pédophiles et fugitifs comme Roman Polanski» Lussier et autres Patrick «mon blogue est un Politburo de censure» Lagarce de ce monde) dans la critique de notre belle élite médiatico-zartissstico-culturello-merdique de la gau-gauche étatiste caviar.

En fait, je vote pour que La Clique du Plateau (le blogueur, là, pas l’
organisation médiatico-zartisstique) devienne la référence québécoise par excellence pour ce qui est de la critique de notre belle élite médiatico-zartissstico-culturello-merdique de la gau-gauche étatiste caviar.

Je m’en calice bien de l’identité de la Clique, moi. Que son nom soit Philippe Martin ou Jean-Charles Tremblay ou Herménégilles Déry-Dupont, c’est notre
Perez Hilton du Québec et il commençait à être le temps qu’on en ait un. Au fait, avez-vous remarqué que la Clique ou peu importe son nom a ouvert son blogue en septembre 2008, quand les zartisss déchiraient leurs chemises sur la place publique et perdaient complètement la raison pour des coupures de…1,25% dans le budget des arts, après que celui-ci fut continuellement augmenté, hein?

Personnellement, que cette
fronde laparessienne contre le blogueur de La Clique du Plateau ait eu lieu une semaine avant le premier anniversaire de l’élection fédérale du 14 octobre 2008, qui fut la campagne électorale la plus sale de toute l’Histoire du Canada à l’endroit du parti au pouvoir, est, pour moi, plus qu’une coïncidence, puisque le but de Cassivi, de Lussier, de Dumas, de Lagarce et de leurs semblables est de protéger les zartisss coûte que coûte, même ceux qui n’ont pas de talents et qui sont trop lâches pour se trouver une vraie job, alors ils se font vivre par les subventions que leur verse le gouverne-maman.

Cassivi, Lussier, Dumas, Lagarce et leurs semblables ne sont pas contents, parce qu’ils pensaient avoir le
monopole de la critique incendiaire. Lorsqu’un blogueur qui joue sur leur territoire commence à devenir plus populaire qu’eux, ils fouillent n’importe où pour trouver le moyen de le pendre sur la place publique. Ils ne devraient pas trop s’en faire, car, dans l’industrie du divertissement, il y a toujours de la place quand vous êtes bons et que votre public apprécie ce que vous produisez et qu’il soit prêt à payer pour consommer votre produit. Pour gagner votre vie comme artistes ou comme journalistes, vous avez juste à être bons pour que les gens acceptent de vous donner de leur argent durement gagné. C’est tout! Soyez bons et ça finit là, bon! Plus vous êtes bons, plus les gens voudront acheter et consommer de votre produit!

Mais, pour Cassivi, Lussier, Dumas, Lagarce et leurs semblables, une bonne culture est quand les zartisss sont subventionnés gros comme le bras et que c’est celui qui est le plus subventionné qui gagne. Dites-leur ce que j’ai dit dans mon dernier paragraphe et ils vous traiteront de dangereux
cowboys incultes de l’Ouest et de mangeurs de bébés!

L’art et la culture, c’est quelque chose de personnel qui doit être
financé par les individus eux-mêmes, en fonction de leurs goûts personnels et de leurs choix de consommation, ce qui pousse les artistes à ne plus être des zartisss suceux de subventions, mais bien à créer de la bonne culture sur des bases entrepreneuriales, à libérer leur initiative et leur talent et à se dépasser pour atteindre l’excellence, le tout sans que les CONtribuables financent des zartisss dont ils détestent les oeuvres.


Ma vision de la culture est presque similaire à celle qui prévaut en Alberta. D’ailleurs,
l’Alberta a une culture entrepreneuriale et elle est le coeur de la culture au Canada.


Stephen Harper a essayé, l’année passée, de créer une culture entrepreneuriale, comme c’est la norme en Alberta, afin de libérer le talent des artistes, mais ça a été un vrai scandale absolument époustouflant et Gilles Duceppe a embarqué là-dedans les pieds joints pour garder son chèque de BS. Un peu plus et on aurait juré que Harper est l’incarnation même de l’antéchrist!

Le blogueur de La Clique du Plateau a commis le
péché mortel de critiquer les poumons du Québec, les intouchables que Dieu a choisit pour naître zartisss et que, ce faisant, l’État doit les faire vivre, et ce, pour le restant de leurs jours, alors que, au Québec, on le sait tous, tout le monde est beau, tout le monde est fin, tout le monde est égal, personne n’est mieux que personne, on ne se compare pas, etc., etc., etc.!!!!

Ce que j’aime le plus chez la Clique, c’est qu’il n’est pas subventionné, lui. Il critique en toute indépendance d’esprit. Contrairement à Cassivi, à Lussier, à Dumas, à Lagarce et à leurs semblables, il est libre de ne pas respecter le mot d’ordres que les journaleux du Québec ont de lécher les pieds des zartisss, dans le cadre du plus grand
copinage médiatico-culturel de toute l’Histoire de l’Humanité.

C’est un
libre-penseur, comme Perez Hilton l’est aux États-Unis. C’est pour ça que je continuerai à le lire, n’en déplaise à la Clique du Plateau, l’organisation médiatico-culturelle de Mouyial!


Malgré tout, cela ne m'empêche pas de me poser une question d'importance : mais, qu'est que la Clique est, donc, allée sacrer chez Christiane Charette, hein? Un peu plus et ce gars-là allait se faire crucifier, sans la moindre arme, au Tribunal du Plateau qu'est Tout le monde en parle! Quand on bitch les zartisss, il me semble que l'on ne va pas à l'abattoir et qu'on ne leur fournit pas de munitions pour leur permettre, par la suite, de te rentrer dedans. Être sûr de soi et savoir affronter les ennemis, c'est bien beau, mais il y a toujours bien des osties de limites à ne pas franchir, surtout quand on sait que l'on a acquis sa popularité en bitchant l'élite médiatico-culturelle du Québec. Mais bon, à part de ça, je n'ai rien d'autre à dire là-dessus. Qu'il continue son bon travail!

MORT À L’ORGANISATION DE LA CLIQUE DU PLATEAU!!!!!

VIVE LE BLOGUEUR DE LA CLIQUE DU PLATEAU!!!!!!!


Cette semaine, ce sont les
fémi-fascistes qui grimpent dans les rideaux pour une pub de marde où l’on voit Georges Laraque, l’homme fort du Canadien de Montréal, jouer au hockey-bottines avec des belles filles qui montrent un peu trop leurs seins et leurs cuisses au goût des fémi-fascistes. Il s’est excusé, ce qui est con en maudit, puisque, ce faisant, il a donné raison aux fémi-fascistes.


Je veux juste comprendre, là. Jadis, le féminisme prônait la libération de la femme, le respect de ses
droits fondamentaux, l’amour libre, le contrôle de son corps, la liberté de se maquiller comme elle le voulait, la liberté de s’habiller comme elle le voulait, la liberté de brûler ses brassières, si elle le voulait, etc., bref, le féminisme a été un véritable catalyseur de la libération des moeurs, à une époque où c'était primordial. Sans les idées avant-gardistes du féminisme dans les années 1950, 1960 et 1970, la Révolution sexuelle et le Festival de Woodstock n’auraient, sans doute, jamais eu lieu.

Aujourd’hui, les féministes grimpent dans les rideaux, dès qu’elles voient un peu trop de peau dans une annonce qui met une (des) belle(s) femme(s) en vedette, elles se font les
porte-paroles du look poche-de-patates ou du look garçon pour les femmes, elles sont silencieuses ou elles appuient ouvertement le port du tchador, du niqab et de la burqa pour les femmes musulmanes, alors que ce sont des symboles d’oppression, elles prônent des balises pour les relations sexuelles, etc., etc., etc.


De mouvement de la libération de la femme, le féminisme est devenu une
idéologie d’oppression de la femme qui ment effrontément sur le terrain des chiffres et des faits pour toucher encore plus de subventions, qui brainwashe nos jeunes dans les écoles en leur racontant des faussettés et ses porte-paroles, devenues réactionnaires, décident quelles femmes aider et quelles femmes envoyer paître, de peur de passer pour des racistes, et elles prônent des quotas de femmes dans les Conseils d’administration et en politique, et ce, au détriment de la compétence. Je me souviens du temps où les féministes voulaient que les femmes soient jugées en fonction de leurs compétences et non pas en fonction de leur sexe. Au fil du temps, le féminisme s’est transformé en fémi-fascisme et ma blonde est d’accord avec moi là-dessus.

Cette levée de
boucliers des fémi-fascistes au sujet de la pub de marde de Georges Laraque avec ses pitounes est totalement ridicule. Pourtant, je ne grimpe pas aux rideaux, moi, quand je vois les calendriers des pompiers ou la pub où on montre un gars agissant comme un chat ou une autre où on montre un gars qui agit en imbécile et qui ne réussit même pas à clouer un clou ou à monter une étagère, alors que ces pubs-là peuvent être catégorisées de sexistes envers les hommes.


Les femmes ont plein de lobbys subventionnés mur à mur pour prendre leur défense, même quand elles n’en ont pas besoin (la pub de Laraque), alors que ces mêmes lobbys ne font pas leur travail pour des choses plus importantes (la burqa). Quels lobbys subventionnés les hommes ont-ils pour porter plainte contre les pubs qui les étiquettent comme étant des bons à rien, hein? Ils n'en ont absolument aucun et, anyway, je n’en veux même pas, parce que je suis assez intelligent pour voir que les hommes ne sont pas tous des bons à rien, comme dans les pubs de
Bell, et que les femmes ne sont pas toutes des pitounes, comme dans la pub de Laraque, parce que, les pubs de ce genre-là, c’est une joke, point à la ligne!

Le fémi-fascisme, c'est vraiment de la marde!

De plus, qui dit que les filles dans cette pub-là ne sont pas
avocates, médecins ou qu'elles n'exercent pas une autre profession de ce genre-là et qu’elles ont tourné dans cette calice de pub juste pour avoir du fun, hein? Personne n'a l'air de prendre ça au sérieux, dans cette pub-là! Au contraire, je ne vois que des gens qui s'amusent et qui ont l'air d'avoir du fun en gang, point à la ligne.


Le fémi-fascisme n’est pas le vrai féminisme qui, lui, est l’égalité entre les hommes et les femmes. Les fémi-fascistes honnissent les hommes et, si il leur faut utiliser les femmes pour pouvoir éradiquer les hommes, elles sont prêtes à le faire. C’est pour ça que ma blonde et plusieurs filles que je connais ne se reconnaissaissent plus dans le féminisme d’aujourd’hui.

Parlant des fémi-fascistes, justement,
il y en a une qui a vu sa plainte-bâillon à l’égard d’un animateur de radio de Québec pour une broutille RE-JE-TÉE! Calvace que je suis content!


Je vous dis que, il y en a de la grosse nouvelle au Québec, ces temps-ci, pour que l’on parle de cette niaiserie-là et pour que des journalistes tentent de démasquer des simples blogueurs qui réussissent mieux qu’eux!

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