mercredi 1 juillet 2009

L'Histoire du KKKanada, revue et corrigée par votre blogueur préféré







Regardez ce drapeau! Originalement, ce drapeau, que l’on appelle l’Unifolié, était un symbole des Canadiens français. La feuille d’érable que l’on peut voir sur ce drapeau était aussi un symbole des Canadiens français et le Ô Canada, l’hymne national du KKKanada, était, autrefois, celui des Canadiens français. Originalement, les Canadiens étaient les Canadiens français. Quant au Canadiens anglais, ben, c’étaient juste les Anglais!

Tout ça a changé, lorsque les Anglais, assoiffés du sang des francophones, nous ont volé notre drapeau, notre feuille d’érable, notre hymne national et même notre nom. Ils se sont appropriés nos symboles, notre drapeau, notre hymne national et notre nom pour prendre notre place dans l’Histoire du monde. Ce vol pur et simple s’inscrivait dans
le génocide culturel que les Anglais appliquent contre nous depuis la sanglante Conquête anglaise de 1760.


Ces symboles, ce drapeau, cet hymne national et ce nom ne sont plus les nôtres, car, ce faisant, ils appartiennent aux descendants
des tueurs de masse qui ont bâti ce pays dans le sang de nos ancêtres. Le premier ministre du KKKanada, Stephen Harper, n’est pas seulement que le successeur des multiples terroristes anti-francophones qui assassinaient une partie de leur peuple. Il est aussi le descendant direct de James Wolfe. L’actuel premier ministre est donc le conquérant des temps modernes. Nous l’avons vu, l’an dernier, avec le vol politique du 400e anniversaire de Québec et, cette année, avec sa déclaration de guerre contre la nation québécoise sur nos Plaines d’Abraham.


L’Unifolié et tous nos symboles d’autrefois sont maintenant souillés de façon irréversible par toute cette
imposture frauduleuse. Je leur laisse ce qu’ils nous ont volé, car ce drapeau est maintenant le symbole de l’infamie, de la haine, de la honte, du génocide, de l’apartheid, de la dictature et de la corruption à l’encontre de plusieurs groupes de la population de ce pays qui ne sont pas de la bonne culture anglaise, la race aryenne de ce pays-satellite du Royaume-Uni.

À ce drapeau qui n’est plus le mien, j’ai envie de lui crier : ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’INFAMIE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HAINE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HONTE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DU GÉNOCIDE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’APARTHEID! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA DICTATURE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA CORRUPTION! ENVOLES-TOI ET NE REVIENS PLUS JAMAIS SUR NOTRE TERRE!

D’abord, la Conquête anglaise eut
des répercussions terribles pour notre peuple-frère, les Acadiens.

En 1754, la crise éclate avec le début de
la Quatrième Guerre intercoloniale. Le conflit commence avec des victoires françaises dans la vallée de l'Ohio. La panique gagne les colonies britanniques. Charles Lawrence devient Gouverneur de la Nouvelle-Écosse. Il discute avec William Shirley, Gouverneur du Massachusetts, de la possibilité de remplacer les Acadiens par des colons anglo-américains.

En 1755, 1800 soldats de la Nouvelle-Angleterre arrivent en Nouvelle-Écosse. Ce débarquement est suivi de la prise des forts français par
le général Robert Monckton. Lawrence confisque les armes des Acadiens. En juin, il rencontre des délégués acadiens et il exige d'eux un nouveau serment d'allégeance inconditionnelle en échange du retour des armes. Les Acadiens refusent.

Après la victoire dans
la Bataille de Fort Beauséjour et la prise de Fort Gaspareaux, en juin 1755, Lawrence ordonne aux commandants de Beaubassin, Pisiquid et Annapolis Royal d'attirer les hommes français de leurs districts respectifs, dans les ports, de les y arrêter et de les y détenir. Des navires viennent les chercher pendant que d'autres troupes vont arrêter les femmes et les enfants chez eux. Les déportés sont divisés par groupes d'âge et de sexe, puis embarqués sur les navires. En tout, de 8000 à 10 000 Acadiens seront déportés à Annapolis Royal. Le commandant John Hansfield qui avait épousé une Acadienne ne suit pas l'ordre, mais attend en novembre, soit trois mois plus tard, pour déporter les Acadiens. Il ne sépare pas les familles. On pense que 20% de la population d'Annapolis Royale a pu s'échapper.

On les éparpille le long de la côte atlantique. Ils y arrivent sans avoir été annoncés aux autorités locales, qui les considèrent comme une possible «5e colonne». Les déportés connaîtront des sorts divers. La Virginie et la Caroline du Nord refusent les 1500 Français qui restent à bord des bateaux ou sur les plages jusqu'en mai 1756, moment où ils sont expulsés vers l'Angleterre. La traversée est difficile : deux vieux bateaux, le Violet et le Duke William coulent en cours de route. Après trois mois de navigation, les survivants arrivent en Angleterre, où ils sont très mal reçus.

Les 1226 Acadiens survivants sont répartis en 4 groupes : 336 à
Liverpool, 340 à Southampton, 300 à Bristol, 250 à Penryn. Commence alors pour eux une détention qui durera 7 ans!

On sait peu de choses sur les conditions de vie de ces Français. À Southampton, ils vivent dans des baraquements sur les quais ; à Liverpool, ils logent dans les ruines d'ateliers de potiers ; à Bristol, où personne ne les attend, ils restent trois jours et trois nuits sur les quais avant d'être parqués dans une vieille bâtisse ; à Falmouth, ils sont un peu mieux traités, des jeunes trouvent même du travail. Ils reçoivent, comme prisonniers de guerre, une somme de 6 sols par jour avec l'obligation de subvenir à leurs besoins.

Pendant tout leur séjour, le gouvernement britannique essaie par tous les moyens de les faire devenir citoyens anglais, mais sans résultats.

En Virginie, la colonie refuse platement de recevoir les 1500 Acadiens qui, en conséquence, sont expédiés en Angleterre.

En Géorgie,
colonie pénitentiaire, ils sont d'abord complètement ignorés et livrés à eux-mêmes, puis tous arrêtés en 1756. En 1763, on leur donne 18 mois pour partir. La plupart émigreront à Saint-Domingue.

En Caroline du Sud, une importante communauté de
Huguenots est paniquée à l'arrivée des «papistes». On les force à rester à bord des navires surpeuplés. Une trentaine réussissent à s'évader. En 1756, on organise une levée de fonds pour payer leur expulsion…vers la Nouvelle-Écosse! Ils rejoindront les partisans de Boishébert qui lutte contre les Britanniques.

Au Maryland et en Pennsylvanie, on les emploie à divers travaux serviles. Aucun logement, ni nourriture, ne sont fournis! En 1756, la législature du Maryland adopte une loi qui prévoit la prison pour ceux qui n'ont pas d'emploi. À la frontière Ouest, les troupes reçoivent l'ordre de tirer à vue sur ceux qui tenteraient de quitter la colonie. Tout Acadien qui désire s'éloigner de plus de 16 km de sa résidence doit avoir un passeport.

En Pennsylvanie également, le Gouverneur Morris place les arrivants sous garde armée. Ils sont décimés par les maladies infectieuses et mis en
quarantaine. Confiés aux county townships (juridictions locales) sous la direction du warden of the poor («Gardien des pauvres», magistrat chargé de s'occuper des indigents), ils s'assemblent dans un bidonville de Philadelphie. On leur refuse du travail, mais on force leurs enfants à fréquenter les écoles anglophones. En 1763, les Acadiens du Maryland et de la Pennsylvanie partent pour la Louisiane. Certains s'arrêteront à Saint-Domingue (aujourd'hui Haïti) où le Gouverneur comte d'Estaing les met aux travaux forcés pour la construction d'une forteresse.

Le New Jersey refuse de recevoir des Acadiens. À New York, on les parque à
Staten Island et à Long Island. Environ un tiers d’entre eux sont employés comme indentured servants (servitude à contrat d'une durée limitée). Plusieurs s'évaderont! Finalement, les prisonniers partiront pour Saint-Domingue après le Traité de Paris.

Au Connecticut, ils sont gardés sous surveillance, puis expédiés vers Saint-Domingue en 1763. En 1767, un certain nombre d’entre eux s'installent au Nouveau-Brunswick.

Au moins 2000 Acadiens arrivent au Massachusetts, où une épidémie de
variole les décime. Ils ne reçoivent aucune assistance du gouvernement local. En 1756, on les engage comme indentured servants. On interdit aux navires de les engager comme marins. En 1757, on leur interdit de quitter les villes, où ils sont assignés à résidence. En 1763, certains partent pour Saint-Domingue, mais la majorité pour le Canada.


Environ 3500 Acadiens se réfugient en «
Acadie française», le long du fleuve Saint-Jean et de la rivière Miramichi (Nouveau-Brunswick actuel) sous la direction de l'Abbé Le Guerne. Beaucoup d'entre eux meurent de faim et de froid durant l'hiver 1756-1757, vu l'impossibilité de pratiquer les industries traditionnelles (pêche, agriculture) pendant la guerre. De plus, entre 1756 et 1758, les autorités de la Nouvelle-Écosse offrent des primes pour les prisonniers acadiens et, moins officiellement, pour leurs scalps. Tous ces camps de réfugiés sont détruits par l'avance des troupes britanniques dans les années qui suivent.

En 1763, la France cède ses colonies américaines à la Grande-Bretagne et le gouvernement britannique donne 18 mois aux Acadiens pour quitter
l'Empire britannique et gagner une colonie française.

En 1766, les Acadiens sont officiellement autorisés à s'installer au Québec, où plusieurs s'étaient réfugiés avant 1759, mais, dans les provinces maritimes (ancienne Acadie), les droits politiques leur seront refusés jusque dans les années 1830.

Vers 1766 aussi, d'autres Acadiens, les Cadiens, commenceront à se regrouper en Louisiane, devenue colonie espagnole.

À ce drapeau qui n’est plus le mien, j’ai envie de lui crier :
ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’INFAMIE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HAINE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HONTE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DU GÉNOCIDE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’APARTHEID! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA DICTATURE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA CORRUPTION! ENVOLES-TOI ET NE REVIENS PLUS JAMAIS SUR NOTRE TERRE!

Puis, vient
la Bataille des Plaines d’Abraham, qui ne dura que 15 minutes, mais qui est quand même l’acte de fondation du malheur des Canadiens français! Cette bataille fit 58 morts et 600 blessés du côté des Anglais et 116 morts et 600 blessés du côté des Français. Les deux généraux meurent également au combat.

Le général anglais était James Wolfe. Qui était James Wolfe?

James Wolfe était essentiellement un incompétent qui, condamné par Thomson et un autre de ses acolytes, n’avait besoin seulement que de quelques fusils de plus aux Chutes Montmorency pour qu’il rentre en Angleterre. Il était battu, il s’ennuyait de sa blonde et il avait une dépression nerveuse. Toujours est-il qu’il y a un traître qui lui a donné le chemin de L'Anse au Foulon, mais, ce qu’on ne dit pas dans l’Histoire, c’est que c’est ce même James Wolfe qui a dit, textuellement, dans son manifeste qu’il avait envoyé au général britannique
Jeffery Amherst, qu’il fallait affamer Québec et il a donné l’ordre à ses soldats en débarquant sur terre le long des rives de Rimouski et de Pointe-aux-Trembles en bas de Québec de brûler les fermes, de tuer le bétail et de tuer les civils si jamais ils monteraient le ton trop haut, CE QU’IL VA FAIRE, et nous, à Québec, on lui a érigé une statue à son effigie.

Plus colonisé que ça, tu meurs!

Voici un extrait du manifeste de James Wolfe!




S'il arrivait que, soit lors d'un accident maritime, soit par résistance de l'ennemi, soit par maladie, soit que nos troupes aient été décimées, nous réalisions que Québec, malgré tous nos efforts, a peu de chance de tomber, je me propose de l'incendier par nos tirs de boulets, de détruire les récoltes, les maisons et le bétail, tant en aval qu'en amont, d'exiler le plus grand nombre de personnes possible en Europe et de ne laisser derrière moi que famine et désolation. Mais, nous devons apprendre à ces crapules comment faire la guerre d'une manière qui soit plus digne de gentilshommes.




Les «règles de la guerre»! Entendre ça m’a toujours fait rire!

Wolfe mit ses menaces à exécution et toutes les fermes, le long du Saint-Laurent, furent incendiées, ce qui causa deux hivers de famine. Le journal de John Knox raconta l'horreur d'entendre des femmes et des enfants qui criaient, pendant qu'ils brûlaient vifs.

Voici
la traduction du manifeste publié le 28 juin 1759, afin de terroriser les Québécois (Canadiens à l'époque)!

Contrairement à ce qu'il prétend, Wolfe n'épargnera aucune ferme en aval de Québec sur les deux côtés du Saint-Laurent. Ceux qui lui résistèrent furent tués, certains pendus.

Il s’agit d’une défaite qui s’est concrétisée en une sanglante humiliation nationale dont la victoire a été signée par un sanguinaire, voilà ce que
les monarcho-fédérastes et Ottawa nous demandaient de fêter par l’intermédiaire d’une reconstitution soi-disant historique, pas plus tard qu’au début de l’année!!!!!! En plus, la Bataille des Plaines d’Abraham est la consécration anglaise dans la Guerre de Sept ans, un très long et dur conflit qui provoqua la mort d’environ 10 000 personnes en Nouvelle-France, soit 1/7 de la population. Proportionnellement parlant, c’est plus que la plupart des pays européens durant la Deuxième Guerre mondiale. Si on veut vraiment commémorer tout ça, il ne faut pas passer sous silence les crimes des Anglais en Nouvelle-France, crimes qui s’apparentent ni plus ni moins qu’à des politiques d’épuration ethnique envers nous avant que le terme ne devienne officiel. Ça a commencé avec la déportation des Acadiens et quand Wolfe débarqua à l’Île Saint-Jean, qui est aujourd’hui l’Île-du-Prince-Édouard, il en a massacré 3000 et il s’en vantait dans ses lettres comment il avait massacré tous ces gens innocents. Il a même écrit à sa mère que «c’était donc drôle de ramasser de la vermine». Aujourd’hui, le français n’est plus qu’une langue folklorique dans le ROC. Deux peuples-fondateurs, mon cul, oui!

C’est comme ça que les Anglais ont conquis le Canada, conquête qui sera officialisée en 1763 par le Traité de Paris. Par ce traité, la France abandonne toutes ses colonies de l’Amérique du Nord à l’Angleterre, sauf
Saint-Pierre-et-Miquelon. Qu’il le veuille ou non, Stephen Harper est le descendant direct de James Wolfe. Stephen Harper est donc le conquérant.

À ce drapeau qui n’est plus le mien, j’ai envie de lui crier :
ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’INFAMIE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HAINE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HONTE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DU GÉNOCIDE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’APARTHEID! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA DICTATURE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA CORRUPTION! ENVOLES-TOI ET NE REVIENS PLUS JAMAIS SUR NOTRE TERRE!

Par
la Proclamation royale de 1763, la Grande-Bretagne donne une première Constitution au territoire récemment conquis, soit l’ancienne Nouvelle-France. Le but est de donner un visage britannique le plus rapidement possible à cette nouvelle colonie peuplée essentiellement de Canadiens francophones. On commence, d’abord, par délimiter précisément le territoire qui correspond à peu près à la vallée du fleuve Saint-Laurent et on lui donne un nom : «Province of Quebec». Il ne faut pas se faire d’illusions sur ce mot de province. Il est tiré du latin «pro victis» qui se traduit «pour les vaincus».

On voudra donc introduire les lois anglaises, aussi bien civiles que criminelles. Les lois civiles anglaises, en particulier, mettent en péril
le régime seigneurial, puisqu’on n’en fait aucunement mention dans ce code. Cela crée beaucoup d’inquiétude chez les seigneurs qui doivent arrêter de percevoir les redevances auprès de leurs censitaires. On tolère la pratique de la religion catholique, mais elle n’a pas d’existence légale ce qui veut dire que les curés ne sont pas autorisés de percevoir la dîme auprès de leurs paroissiens.

De plus, le nouveau Gouverneur
James Murray reçoit l’instruction de n’admettre aucune ingérence de l’Église de Rome dans la province. La raison est bien simple. Puisque les catholiques d’ici n’ont plus d’évêque (il est mort en 1760), on ne peut donc plus procéder à l’ordination de nouveaux prêtres. Cela signifie qu’avec le temps, le clergé catholique s’éteindra de lui-même. Toujours sur le plan religieux, on avise le Gouverneur qu’il devra exiger le Serment du Test à tous ceux qui voudrait obtenir une charge civile. Cela visait à exclure les Canadiens en pratiquant, à leur endroit, une politique discriminatoire.

Enfin, pour attirer le plus vite possible et en grand nombre une immigration britannique dans la province, on incite le Gouverneur à fonder des écoles
anglicanes et à créer des cantons qui sont la manière anglaise de découper les terres.

Puis, en 1774, vint
l’Acte de Québec, qui augmenta énormément les frontières de la Nouvelle-France en créant la Province de Québec, un vaste territoire qui longe la vallée du fleuve Saint-Laurent de Terre-Neuve aux Grands Lacs, le pourtour de ceux-ci, ainsi que la vallée de l'Ohio. Il donna un large territoire aux Amérindiens, afin de stopper une éventuelle Rébellion de leur part. Il restaura les droits des propriétaires des seigneuries, abolit le Serment du Test, un serment de fidélité au roi et au chef de l'Église anglicane qui excluait les catholiques de la fonction publique, ramena l'usage du droit civil français, mais conserva le droit criminel anglais, moins sévère.

Cet acte du Parlement britannique récompensa les deux groupes qui avaient permis aux Britanniques de contrôler la population :
le clergé et les seigneurs, afin qu'ils poussent les descendants des Français à soutenir les Britanniques contre les Américains.

L'Acte de Québec eut l'effet escompté dans la province, mais il accentua le mécontentement et l'indignation chez
les Treize colonies et il fut donc une cause indirecte de la Révolution américaine. Ils considérèrent cet acte (loi) comme une «loi intolérable». Plus, inique était qu'on les taxait, eux-aussi, sans qu'ils n'aient de représentation politique, d'où le slogan en anglais : «No taxation without representation», ou «Aucune imposition sans représentation (au Parlement britannique)».

Puis, en 1791, c’est
l’Acte constitutionnel qui est promulgué.

Fruit d'un compromis visant à maintenir la loyauté des Canadiens français, tout en accommodant les immigrants
loyalistes, cette loi divisa donc le territoire de la Province de Québec en deux parties en utilisant la rivière des Outaouais comme point de séparation. Le territoire à l'Est de la rivière prit le nom de Bas-Canada, soit le Sud du Québec actuel, et la partie Ouest, le nom de Haut-Canada, soit le Sud de l'Ontario actuelle. Le Haut-Canada se vit attribuer des institutions coloniales entièrement britanniques, alors que le système faisant cohabiter le droit civil français et le droit criminel anglais dans le Bas-Canada fut maintenu. Cette loi instaura aussi le parlementarisme de type britannique, accordant à certains propriétaires terriens le privilège de participer à l'élection des membres de l'Assemblée législative.

Cette loi créa, de plus,
le système des comtés.


Quoiqu'elle répondît à une partie des demandes immédiates des sujets loyalistes, la nouvelle loi constitutionnelle apporta son lot de problèmes politiques nouveaux. En effet, une partie du peuple était maintenant en mesure d'élire des représentants pouvant, à leur tour, voter des lois, mais ces lois devaient d'abord être entérinées par un
Conseil législatif nommé par le Gouverneur général. Le Gouverneur de la province devait, par la suite, l'appuyer à son tour et possédait un droit de veto sur tout projet de loi soumis à l'Assemblée législative. Donc, il s’agissait d’une démocratie truquée, car le gouvernement n’était pas responsable. C’était donc, ni plus, ni moins, qu’un gouvernement fantoche. L’envahisseur colonisateur britannique a tout fait pour qu’on ait moins de droits que lui.


À ce drapeau qui n’est plus le mien, j’ai envie de lui crier :
ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’INFAMIE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HAINE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HONTE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DU GÉNOCIDE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’APARTHEID! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA DICTATURE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA CORRUPTION! ENVOLES-TOI ET NE REVIENS PLUS JAMAIS SUR NOTRE TERRE!

Il y a eu
des braves Patriotes qui ont voulu régler le problème. En 1834, les 92 Résolutions sont présentées devant la Chambre d'assemblée. Les 92 Résolutions ont été rédigés par Louis-Joseph Papineau. Il s’agit d’un volumineux document qui résume tous les griefs que les francophones du Bas-Canada entretenaient à l'endroit des autorités britanniques, en plus d'exiger plusieurs réformes, dont les plus importantes étaient l'élection du Conseil législatif, la responsabilité ministérielle, la protection de la langue et du droit français, la présence d'un plus grand nombre de Canadiens dans l'administration publique et le contrôle du budget par l'Assemblée.

Les membres du Conseil législatif, nommés par le Gouverneur général, pouvaient s'opposer aux projets de loi votés par les députés.

Le Gouverneur général et son exécutif n'étaient pas obligés de tenir compte des décisions de l'Assemblée législative, tandis que le contrôle de toutes les dépenses de l'administration échappait aux représentants élus par le peuple. Les 92 Résolutions demandaient donc un système beaucoup plus démocratique.

Celles-ci sont envoyées au Parlement d'Angleterre, mais sont refusées par le ministre britannique
John Russell, qui lui-même proposera, en 1837, ses 10 Résolutions. Celles-ci rejettent en bloc les 92 Résolutions du Parti patriote, en plus de retirer à l'Assemblée législative le seul pouvoir dont elle disposait, soit celui de voter le budget! Le tout se transforma, finalement, en un affrontement armé. J’ai parlé du déroulement de cette légitime résistance populaire pour la quête de la liberté, de la justice et de la démocratie au Bas-Canada ici.


Les Anglais écoutent, alors, leurs plus bas instincts en s’adonnant au
pillage, aux massacres et aux crimes de guerre pour venir à bout de la résistance des Patriotes.

Le 3 novembre 1838, une colonne de réguliers britanniques, accompagnées des Glengarry Volunteers, disperse les insurgés à Beauharnois et incendie le village. Dans tout le sud-ouest du Québec, mais surtout dans le comté de La Prairie,
les milices anglo-protestantes de Montréal, constituée d'orangistes fanatiques, se déchaînent sur la population. Peu importe s'il s'agit de paysans qui n'ont jamais participé au soulèvement, on met le feu à leurs maisons et à leurs granges et on vole le bétail. Des familles dépossédées sont abandonnées dans la nuit glaciale devant leurs maisons en flammes. À cette occasion, The Montreal Herald va jusqu'à en appeler au génocide : «Pour avoir la tranquillité, il faut que nous fassions la solitude. Balayons les Canadiens de la face de la Terre!»

Douze chefs du mouvement Patriote sont arrêtés et pendus, dont le Chevalier de Lorimier, qui laissera un testament émouvant à la veille de sa mort.

Le 25 septembre 1839, 58 autres Patriotes sont condamnés à l'exil vers le continent-prison des Britanniques : l'Australie. Un monument australien leur rend aujourd'hui hommage.

Suite à la Rébellion du Bas-Canada, la Grande-Bretagne ne pouvait plus ignorer la situation. Le Gouverneur Bond Head fut rappelé et remplacé par
Lord Durham, qui avait pour mission de faire un rapport sur les mécontentements des colons et trouver une façon de les apaiser.


Son rapport comportait deux volets : unir le Haut et le Bas-Canada et donner une plus grande autonomie à la nouvelle colonie.

Voici un extrait du rapport Durham!




On ne peut guère concevoir nationalité plus dépourvue de tout ce qui peut vivifier et élever un peuple que les descendants des Français dans le Bas-Canada, du fait qu'ils ont gardé leur langue et leurs coutumes particulières. C'est un peuple sans Histoire et sans littérature.




Le Canada-Uni fut ainsi créé en 1840, à la suite de l'Acte d'Union. Elle visait à assimiler les Canadiens français, et donc d'éliminer la possibilité de récidive, en les submergeant dans une mer anglaise toujours en augmentation, grâce à l'immigration venant du Royaume-Uni. La plus grande autonomie se traduisit par l'octroi du gouvernement responsable (une des recommandations de Durham qui a été ignorée par Londres) qui ne viendra finalement qu’en 1848, grâce à l’Alliance Baldwin-Lafontaine.

Les Canadiens français, qui jouirent d’une représentation égale avec celle des Anglais dans l’Assemblée législative, représentation égale conférée par l’Acte d’Union, réagirent par
la revanche des berceaux, sous l'impulsion de la secte catholique, pour maintenir leur nombre relatif.

À ce drapeau qui n’est plus le mien, j’ai envie de lui crier :
ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’INFAMIE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HAINE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HONTE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DU GÉNOCIDE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’APARTHEID! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA DICTATURE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA CORRUPTION! ENVOLES-TOI ET NE REVIENS PLUS JAMAIS SUR NOTRE TERRE!

Résumons!

Ici, un petit peuple massacré, littéralement, éparpillé par-dessus un conquérant qui écrase et qui impose sa loi par la force des armes. C’est ça, la Conquête! C’est à ce moment-là que nous commençons à être remplacés dans tous les domaines, surtout dans les domaines politiques et économiques. C’est important de le savoir, parce que nous souffrons encore aujourd’hui de ce remplacement qui commence à la Conquête. C’est ça, notre Histoire! Tout cela commence
véritablement en ce milieu du XIXe siècle, où là, devenant une minorité, il nous faut perdre espoir en ce Canada et ce statut de minoritaires qui sera consacré en 1867 a institutionnalisé par
l’Acte de l’Amérique du Nord britannique.

C’est là que l’on nous dira : «Ah, là, vous êtes devenus une minorité. Alors là, nous allons changer les règles du jeu. Vous n’aurez plus droit à une représentation égale, vous aurez, désormais, droit à une représentation PROPORTIONNELLE selon votre nombre.».

1867 : On a institutionnalisé notre statut de minoritaires.

Commence alors les immenses batailles de la survie! Même pas de la vie, mais de la survie, parce que le génocide culturel s’abat sur le peuple canadien-français! Le
racisme anglais va faire des ravages partout à travers le Canada. Ici, au Québec, c’est déjà très difficile de se faire servir en français à Mouyial, même si nous sommes encore la très vaste majorité. Tout se passe en anglais! La loi est anglaise. Les ordres sont anglais. Les affaires sont anglaises. La vie est anglaise. Nous devons prendre notre courage à deux mains simplement pour survivre. On peut facilement s’imaginer ce que c’est en dehors du Québec, là où les minorités françaises se font littéralement massacrées. Imaginez ce que ce sera dans 50 ans!

1871 : On abolit le français au Nouveau-Brunswick.

1885 : On pend
Louis Riel, le père du Manitoba et chef du peuple des Métis dans les Prairies canadiennes pour avoir dirigé deux mouvements de résistance légitime contre le gouvernement canadien, dans le but de protéger les droits et la culture des Métis, alors que l'influence canadienne se faisait de plus en plus sentir dans les Territoires du Nord-Ouest.

1890 : Cinq ans après la mort de Riel, on abolit le français au Manitoba. J’y vois plus qu’une coïncidence.

1912 : On abolit le français en Ontario.

À ce drapeau qui n’est plus le mien, j’ai envie de lui crier :
ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’INFAMIE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HAINE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HONTE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DU GÉNOCIDE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’APARTHEID! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA DICTATURE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA CORRUPTION! ENVOLES-TOI ET NE REVIENS PLUS JAMAIS SUR NOTRE TERRE!

C’est ça qui suit le monarcho-fédérasme KKKanadian. C’est ça, l’Acte de l’Amérique du Nord britannique : le génocide, et c’est par centaines de milliers qu’à travers le KKKanada, on nous assimile, les Canadiens français, et nous disparaissons. On se bat, mais on perd presque toutes les batailles. Puis, un beau jour, un grand général du nom de
Charles de Gaulle est arrivé au Québec et il a dit à son peuple français que nous étions vivants et que nous parlions encore français. Nous étions vivants, en effet, mais les batailles ont continué, jusqu’à ce qu’un beau jour, pour la première fois, le Parti québécois prenait le pouvoir à Québec. Enfin, un parti souverainiste prenait le pouvoir à Québec.


Il avait fallu 300 ans avant d’en arriver là. Ce mouvement qui s’ancre si profondément et qui continue aujourd’hui est marqué par le courage et la persévérance pour que le Québec puisse vivre dans la liberté, la justice et la démocratie sur son territoire.

J’ai traité de la période 1914 à 2005 de notre Histoire de façon beaucoup plus détaillée
ici.


Pour aller plus en profondeur sur la période 1980 à 2006 de notre Histoire, c'est par là.


Nous étions Canadiens. Nous sommes maintenant Québécois. Mais, nous resterons toujours et avant tout des humains.

À ce drapeau qui n’est plus le mien, j’ai envie de lui crier : ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’INFAMIE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HAINE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HONTE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DU GÉNOCIDE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’APARTHEID! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA DICTATURE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA CORRUPTION! ENVOLES-TOI ET NE REVIENS PLUS JAMAIS SUR NOTRE TERRE!

Pensiez-vous que les francophones du Canada, les Acadiens et les Métis ont été les seules victimes de ce drapeau de la mort qu’est l’Unifolié, hein? J’espère que non, parce que
les autochtones, les immigrants chinois et les Canadiens d’origine allemande, ukrainiennes, slaves et japonaises auraient honte de vous.

Les Canadiens d’origine allemande, ukrainienne, slave et japonaise seront emprisonnés sans procès durant les deux grandes guerres mondiale en vertu de
la Loi sur les mesures de guerre.

À ce drapeau qui n’est plus le mien, j’ai envie de lui crier :
ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’INFAMIE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HAINE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HONTE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DU GÉNOCIDE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’APARTHEID! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA DICTATURE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA CORRUPTION! ENVOLES-TOI ET NE REVIENS PLUS JAMAIS SUR NOTRE TERRE!

Avant 1923, l'immigration chinoise vers le Canada était fortement régulée par la Loi de l'immigration chinoise de 1885, qui imposait une taxe d'entrée à tous les immigrés de Chine. Suite à la pression de membres du gouvernement fédéral et de gouvernements provinciaux, notamment celui de la Colombie Britannique,
la Loi de l'immigration chinoise fut votée et entra en vigueur au 1er juillet 1923. La loi interdisait l'entrée du territoire à toute personne chinoise, à l'exception des marchands, des diplomates, des étudiants étrangers, et sauf «circonstances spéciales», une exception dont bénéficia la famille de Adrienne Clarkson, la 26e Gouverneure générale du Canada.


Cette loi ne s'appliquait pas qu'aux ressortissants chinois, mais aussi aux populations considérées d'«ethnicité chinoise», y compris notamment les ressortissants de Hong Kong possédant la citoyenneté britannique.

L'entrée en vigueur de la loi correspond à
la Fête du Canada et de nombreux Sino-canadiens refusent, alors, de participer à la célébration, baptisant ce jour Humiliation Day, et avec raison.

Au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, la prise de conscience provoquée par la découverte des
camps de concentration et d'extermination nazis et le rôle joué par les soldats sino-canadiens et sino-américains pendant le conflit aboutit à l'abrogation de la loi le 14 mai 1947, nécessaire pour l'entrée en vigueur de la Loi sur la citoyenneté canadienne de 1946 le 1er juillet 1947. L'immigration chinoise indépendante vers le Canada n'aura cependant véritablement lieu qu'après la libéralisation des politiques d'immigrations canadiennes en 1967.

À ce drapeau qui n’est plus le mien, j’ai envie de lui crier :
ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’INFAMIE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HAINE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HONTE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DU GÉNOCIDE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’APARTHEID! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA DICTATURE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA CORRUPTION! ENVOLES-TOI ET NE REVIENS PLUS JAMAIS SUR NOTRE TERRE!

Pour ce qui est des autochtones, disons simplement
les choses comme elles se sont produites! Au XXe siècle, le KKKanada, omnubilé par son idée de «race pure», a voulu «intégrer» les autochtones. Une assimilation autant rapide que radicale! Le gouvernement canadien a mis en place un programme. Les enfants autochtones, très jeunes, étaient enlevés par le gouvernement et confiés à des pensionnats qui avaient pour mission de les «intégrer» de façon accélérée en cassant leur culture et en leur interdisant de parler leur langue. Pour faire le sale boulot, le gouvernement fédéral mandata une organisation criminelle qui ne s’est jamais vraiment embarrassée des questions d’éthique, soit la secte catholique. 75% de ces pensionnats de la mort étaient catholiques.

On connaît la suite. La secte catholique a énormément profité de ce chèque en blanc étatique. Des allégations d'abus de toutes sortes : psychologiques, physiques, sexuels, etc. Combien de victimes? Difficile à dire avec précision! Je dirais des milliers et des milliers de victimes.

Il y a eu des poursuites. Des déclarations publiques fracassantes, notamment celle de Phil Fontaine, qui avouait publiquement, en 1990, avoir été victime d'abus. Des drames humains inouïs qui s’apparentent à une tentative d’épuration ethnique envers les Premières nations!

À ce drapeau qui n’est plus le mien, j’ai envie de lui crier :
ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’INFAMIE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HAINE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA HONTE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DU GÉNOCIDE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE L’APARTHEID! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA DICTATURE! ENVOLES-TOI, DRAPEAU DE LA CORRUPTION! ENVOLES-TOI ET NE REVIENS PLUS JAMAIS SUR NOTRE TERRE!

Tout ça s’inscrit dans la nature même du KKKanada et l’Unifolié, le drapeau qui n’est plus le nôtre, est maintenant le plus puissant symbole de tout ça.

Va te faire foutre, sale dictature raciste de mes deux! Je ne veux plus rien avoir de toi et, puisque c’est ta fête, c’est à moi de chanter ce qui devrait être ton VRAI hymne national! Puisque le KKKanada s’est construit sur le dos de nos ancêtres, sauf ceux de la «race pure» anglophone, je ne reconnais pas cet hymne national comme étant le mien, alors je peux en faire ce que j’en veux, même le réécrire, si j’en ai envie. De plus, j’ai renié ce drapeau de la mort il y a bien longtemps.




Ô KKKanada


Ô KKKanada! Terre de l’apartheid,
Ton front est sale de crimes des plus immondes!
Car ton bras sait massacrer ton peuple,
Il sait tuer de sang-froid!
Ton Histoire est une dictature marquée
Des plus grands génocides.
Et ta haine, de foi honteuse,
Liquidera nos foyers et nos droits,
Liquidera nos foyers et nos droits.




NOUS VAINCRONS!!!!

SOLIDARITÉ ENVERS TOUS LES PEUPLES DU MONDE!!!!!

VIVE LA LIBERTÉ!!!!!

VIVE L’INDÉPENDANCE!!!!!

LIBÉREZ LE QUÉBEC!!!!!

PAIX AUX HOMMES DE BONNE VOLONTÉ!!!!!!

2 commentaires:

  1. C'est drôle de voir comment le drapeau du Québec n'est plus le mien, il a été volé par des séparatistes anglophobes assoiffés de vengeance d'une guerre terminée depuis des centaines d'années.

    C'est du délire ce post. Un petit Falardeau en culottes courtes.

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  2. J'avais pourtant dit que je ne reviendrais pas ici, mais je me suis fait avoir, j'ai été redirigé ici par un lien. PAs besoin de répondre a mon commentaire, je ne reviendrai pas le lire. Trop déconnecté de la réalité. N'oublie pas de prendre tes médicaments....

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