samedi 20 décembre 2008

Un Conseil des ministres fémi-fasciste, faible, mouyialiais et incompétent

Notre charmant premier ministre majoritairement minoritaire, John-James Charogne, a nommé son Conseil des pénis, oups, ministres, cette semaine.

Si on analyse cela comme il faut, on peut constater tout de suite que ce n’est pas la compétence qui l’étouffe, car il a nommé les mêmes tarlas au même endroit, sans compter que ce Conseil des ministres transpire l’incapacité d’un homme rose à se battre comme du monde contre les fémi-fascistes culbécoises, soit le fait qu’il ait nommé 13 femmes et 13 hommes, mais de ces 13 femmes, il y en a-t-il de réellement compétentes pour occuper un ministère, hein? Quand on voit que des tartes incompétentes comme Julie Boulet, Christine Saint-Pierre, Marguerite Blais, Michelle Courchesne et Monique Gagnon-Tremblay font encore partie du cabinet et ont été reconduites exactement dans les mêmes fonctions où elles ont gaffé royalement ou ont reçues une promotion, on peut très bien se poser la question.

Parlons d’abord de Julie Boulet aux Transports! Même si elle souhaite restreindre encore plus notre liberté de boire comme des trous pour soi-disant améliorer notre catastrophique bilan routier, alors que, par en-arrière, elle laisse son chauffeur ministériel conduire comme si il s’entraînait pour le Grand Prix de Monaco, cette minable pharmacienne de bas étages qui s’imagine ingénieure a été reconduite dans la même fonction où elle a gaffé et où elle s’est illustrée pour son étatisme. Bravo monsieur Charogne!

Parlons maintenant de Christine Saint-Pierre à la Culture! Cette soi-disant ex-journaleuse-veuuuuuudette de Radio-Cadenas s’est montrée tout simplement incapable de défendre adéquatement qui nous sommes comme peuple sur notre propre territoire, notamment en refusant obstinément par pur entêtement idéologique à renforcer notre Loi 101 pour mâter les commerçants et les grandes entreprises de Mouyial à afficher leur publicité et à adopter leur style de travail en français, notre langue à tous et à toutes, alors que l’état de notre propre langue, de même que sa survivance, n’ont jamais été aussi menacés qu’aujourd’hui. Sans compter qu’elle a applaudi des deux mains le rapport Durham II de ces deux traîtres à notre nation bien enfermés dans leur tour d’ivoire à l’université : Gérard Bouchemarde, l’élitiste mouyialiais et anti-régions, et Charles Taylor, l’intégriste catholique qui, ironiquement, a le même nom qu’un ancien tyran africain. C’est la preuve de l’amateurisme de Saint-Pierre à défendre qui nous sommes comme peuple. Bravo monsieur Charogne!

Parlons maintenant de Marguerite Blais aux Aînés! Vous savez, celle qui s’est baladée à nos frais pendant presque tout l’automne 2007 dans tout le Québec pour piloter la Commission d’enquête sur les conditions de vie des aînés? Celle-là même qui a conclu, à l’image de Bouchemarde et de Taylor, que, finalement, il n’y avait pas de problèmes et que tout ça était le fruit de notre imagination. Ça nous a quand même coûté un beau 800 000$ de nos impôts pour son gros show de boucane qui n’a abouti à rien du tout, mais ce n'est pas grave, car on a les moyens de payer ça. Celle-là même qui s’est montrée on ne peut plus arrogante sur le choix démocratique que les Québécois ont fait en 2007 en affirmant, pour justifier les élections purement opportunistes de 2008 de son cheuf, que, si on ne voulait pas avoir d’élections, on n’avait qu’à élire un gouvernement majoritaire. Quel déni de la démocratie! Quel fascisme digne du Parti des guidounes charognardes soi-disant libérales du Culbec! Cette tarte a été reconduite dans la même fonction qu’elle avait avant l’élection. Bravo monsieur Charogne! Jamais je ne mettrai ma grand-mère de 85 ans entre les mains d’une telle incompétente anti-démocratique et fasciste.

Parlons maintenant de Michelle Courchesne à l’Éducation! Celle qui a participé à la nationalisation des corps dans la violente croisade étatiste anti-malbouffe du gouverne-et-ment Charogne. Celle qui ne comprend absolument rien aux sports, au point de souhaiter par derrière la nationalisation de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ) et faire emprisonner notre champion national Patrick Roy. Celle qui est en train de brainwasher nos jeunes avec un prototype de religion d’État qui n’a été essayé nulle part ailleurs dans le monde, où toutes les sectes religieuses sont mises sur le même pied d’égalité, faisant ainsi du rabbin et de l’imam les nouveaux curés du Québec avec les maudits faux eunuques de prêtres, ce qui ne fait que nuire à notre identité nationale, à la laïcité de nos institutions publiques, à l’accentuation des accommodements raisonnables religieux, à la déculturation du Québec, à l’extinction de tout ce qui est québécois et à créer une guerre civile entre athées et croyants, tout ça pour un cours qui est encore plus inutile que l’ancien cours de religion confessionnelle, alors qu’un jeune enfant n’a pas les connaissances suffisantes pour saisir toutes les nuances qu’exige un tel cours. Ça coûte trop cher de crisser deWors TOUTES les sectes religieuses de nos écoles et de nos institutions publiques et de remplacer le sacro-saint cours de religion par plus de cours d’Histoire et de français ou par un cours de science politique ou par un cours d’économie ou encore, à la limite, de ramener les cours d’économie familiale, tabarnac? Hé bien, cette même Michelle Courchesne, qui est en train de passer notre système d’éducation à la scie à chaînes, tout en profitant de l’innocence de nos enfants à des fins bassement monarcho-fédérastes, a été reconduite dans ses fonctions! Bravo monsieur Charogne!

Parlons maintenant de Monique Gagnon-Tremblay aux Relations internationales! Celle qui a protégé jusqu’à s’en époumoner Bruno Fortier, l’escroc qui est le chum de notre charogne de premier ministre et qui a été nommé délégué du Québec à New York à des fins bassement partisanes et personnelles, en allant jusqu’à mentir à la population et à se parjurer, que ce soit en pleine Chambre ou en pleine Commission parlementaire. Celle qui a craché sur la souveraineté des peuples en allant affirmer sans rire que ce concept était dépassé pour le Québec, SVP, alors que l’aspiration à la liberté est normale pour tous les autres peuples. L’incohérence des monarcho-fédérastes à son meilleur! John-James Charogne a même poussé l’affront de lui donner une promotion en lui donnant la présidence du Conseil du Trésor. Bravo monsieur Charogne!

Bref, on constate que la charogne ne veut rien savoir des compétences. C'est un cabinet fémi-fasciste pour bien paraître devant Christiane Pelchat de l’étatiste Conseil du statut de la femme et aux autres fémi-fascistes culbécoises, rien de moins. La compétence a prit le bord avec ces cinq tartes qui ne mériteraient que d’être jetées aux vidanges et c’est la même chose pour Sam Hamad qui est redevenu le ministre responsable de la région de Québec. Vous savez, «le ministre qui ne connaît pas son rôle», dixit le maire Jean-Paul L’Allier en 2004. Bon, c’est sûr que pour être libéral, il ne faut pas être trop qualifié pour ne pas faire de l’ombre au cheuf, mais là, ça en est presque désolant de constater la faiblesse pitoyable de cette équipe et n’allez surtout pas me dire que la psychologue Monique Jérôme-Forget, madame la pépine et ex-supportrice du système de santé mixte public-privé qui se contente des fonds de tiroirs que lui balance le bon gouvernement fédéral, fait une excellente ministre des Finances!

Monsieur Charogne, que fera-t-on lorsque l’incompétence crasse de votre cabinet de fémi-fascistes sautera aux yeux, alors qu’une urgence économique, par exemple, se pointera le bout du nez, hein? J’espère que cette urgence n’arrivera pas avant quatre ans, car on est très mal barré avec vous, autant politiquement, qu’économiquement, que socialement, que culturellement. Je vais vous le dire ce qu’on va faire, moi : on va sécher, car, pour monsieur Charogne, plaire aux fémi-fascistes est beaucoup plus important que de créer un Conseil des ministres en se basant sur la compétence de ses députés. Sur les 26 ministres, je viens d’en brûler au moins six et je suis sûr que ce n’est que le commencement. Vivement le PQ dans 4 ans pour nettoyer, encore une fois, les dégâts du PGCSDLCUL, le pire parti que le Québec n’a jamais connu au niveau de la saine gestion, tous gouvernements libéraux confondus!

De plus, avec une surreprésentation de Mouyial au détriment de Québec, on ne se questionnera même plus sur le nom de la ville que John-James Charogne porte le plus dans son cœur. J’espère que mes concitoyens de Québec réalisent qu’ils se sont fait avoir par son crisse de sourire et ses clins d’œil de traître. Je me félicite de n’avoir jamais embarqué dans le bateau libéral de toute ma putain de vie, que ce soit au fédéral ou au provincial. Si élire des libéraux nous vaut ça à Québec, on aurait dû garder nos députés adéquistes. Au moins, ils faisaient la job, on était respecté avec eux et ils étaient de bons chiens de garde pour la région. Pour terminer, voici une bonne joke : de 1973 à 2007, le comté de Lévis, sur la Rive-Sud de Québec, a été au pouvoir, sauf de 1985 à 1994, soit durant le deuxième gouvernement de Robert Bourassa, et, durant cette période, le comté a toujours eu droit à son ministre, que ce soit avec le libéral Vincent Chagnon de 1973 à 1976, avec le péquiste Jean Garon de 1976 à 1985 et de 1994 à 1996, avec la péquiste Linda Goupil de 1997 à 2003 et avec la libérale Carole Théberge de 2003 à 2007. L’adéquiste Christian Lévesque de 2007 à 2008 a été dans l’opposition sous un gouvernement libéral. Il n’a donc pas été ministre. Mais, le 8 décembre dernier, Lévis a élu Gilles Lehouillier, un libéral, et il n’a pas eu droit à un ministère. Ça en dit long sur John-James Charogne qui a trahi la grande région de Québec au grand complet.

Voici les pénis, oups, les ministres de la grande région de Québec : un médecin d’Alma (Yves Bolduc dans Jean-Talon), un incompétent (Sam Hamad dans Louis-Hébert), une animatrice de radio de Bellechasse (Dominique Vien dans Bellechasse), un cultivateur (Laurent Lessard dans Frontenac) et un ancien chef d’un ancien lobby régionaliste anti-PGCSDLCUL qui existait seulement pour que monsieur puisse s’en mettre plein les poches, oups, d’un parti politique de tout ce qu’il y a de plus normal (Robert Dutil dans Beauce-Sud). Et c’est le même parti politique qui osait, il y a un an à peine, critiquer l’équipe de l’ADQ, dont les députés avaient, au moins, majoritairement, le mérite de provenir du monde des affaires. Pincez-moi, je rêve! Avant de parler des autres, chers libéraux, on prend le temps de se regarder dans le miroir.

Voilà la conséquence du fémi-fascisme institutionnalisé par John-James Charogne! Voilà la conséquence de l’impérialisme mouyialiais défendu et protégé par John-James Charogne! «4 ans à pâtir, à pâlir à vue d’œil», dixit Loco Locass!

1 commentaire:

  1. Les seules que je trouve qui ont de l'allure c'est Nathalie Normandeau et Lyne Beauchamp.

    Pour ce qui est de la surreprésentation de Montréal, faut-il vraiment s'en surprendre, le PLQ prêche pour sa paroisse et redonne à ceux et celles qui ont contribué directement à leur ré-élection, majoritaire cette fois-ci.

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